C‘est sous le label ‘Juste Une Trace’ (LOFOFORA), que les franciliens de ARTWEG sortent « Drunk’N High », le successeur de « Should We Get Violent ? » et trois ans après, les cinq explosent littéralement tout sur leur passage avec leur univers musical qu’eux-mêmes qualifient d’’Art-core’ et c’est précisément le terme qui convient à leur passionné et dynamiquement furieux autant qu’intelligent mixage entre Hardcore-Punk-Metal: Oui, ARTWEG détonnent via les trois à la fois!
« Drunk’N High », c’est option 'claque' au rendez-vous à chacun de ces douze titres où tout explose d’énergie : les riffs bruts de puissance s’alignent comme des détonations, les vocaux qui se répondent en anglais et en français, sont éructés comme des boulets revendicatifs aux textes affutés, les basse et batterie qui assènent et martèlent un tempo hypervitaminé : prenez votre souffle avant le départ, car il n'y a, ici, pas d'arrêt, pas de compormis, tout y est à fond en excellent 'rentre-dedans', à la fois brut et riche, intelligemment mené et transporté par une authentique passion qui éclate littéralement tout au long de « Drunk’N High ».
Une passion sauvage et contagieuse, qui anime ces cinq furieux ARTWEG qui ont tout simplement ‘décidé de consacrer leur vie à leur passion’.
ARTWEG et leur « Drunk’N High » sont un coup de cœur, de ceux qui font qu’on ne décroche plus de l’écoute d’un album, encore et encore et qu’on guette les gigs, pour se prendre la même déferlante d’’Art-core’, cette fois, en live et la bande a déjà amplement prouvé sa valeur sur scène: alors, bougez les murs, ça va déménager! :)
Tasunka
« Drunk’N High » Track-List :
ARTWEG Line-Up :
-Mugen : V -Akonit : V -Yero : G -Vlad : B -Crusty : D
Le quintette londonien de COUNTING DAYS sort son premier album « Liberated Sounds » et il est clair, dès la claque de la première note, que les anciens membres de, au choix, TRC, HEIGHTS, LAST WITNESS et ROUGH HANDS, ont su conjuguer leurs apports respectifs et la puissance de leurs anciens groupes, pour produire une de ces explosions de Metalcore qui ne vous laisse pas intact, une secousse sismique bien nommée « Liberated Sounds », puisque la déferlante sonore s’exprime, ici, bel et bien en toute liberté.
La mèche est allumée par un savant cocktail de Metalcore, Thrash, Punk et une touche Heavy Metal Anglais, le tout agité par un savoir faire marquant, ainsi qu’une dynamique qui l’est tout autant doublée d’une de ces pèches dans la vitesse et la qualité technique et humaine, d’exécution, autant des instruments que ces vocaux qui frisent le débit sonique et ce, avec panache, tout autant pour ce qui est des chants écorchés, des riffs de guerre, que des mélodies.
Metalcore à la puissance 1000, COUNTING DAYS se font remarquer avec un ‘debut album’ qui mériterait la note maximum, tout y étant de haut vol. Le groupe a, d’ailleurs, sollicité pour la production, non moins que l’apport et toute la compétence du Fredrik Nordström (At The Gates, Arch Enemy, In Flames, Opeth, Architects, Bring Me the Horizon), afin d’être certain d’avoir le résultat qu’il mérite et effectivement, les morceaux sonnent de façon belligérante et efficace au possible pour magnifier le propos.
A noter que pendant l’enregistrement en Suède, COUNTING DAYS ont demandé en guest vocal, l’une de leurs plus grandes influences, AT THE GATES et Tomas Lindberg, ayant écouté et apprécié ce que la bande proposait, a largement accepté l’offre et posé ses vocaux sur la nouvelle version, du coup, re- enregistrée du titre « Sands Of Time ». Et puisqu’il est question de cet album fort, il est à noter que ses paroles le sont tout autant, elles qui évoquent la mortalité, la religion ou encore les relations humaines.
COUNTING DAYS, retenez ce nom, un groupe vient de se présenter dans la cour des plus grands avec leur « Liberated Sounds » classieux et sauvagement réussi.
Tasunka
Track-List « Liberated Sounds »:
01. Burned By Faith 02. Die Alone 03. Beaten & Scarred 04. Life & Death 05. Liberated Sounds 06. Fire From The Sky 07. Days Go By 08. The Vines 09. Sands Of Time (Guest vocals: Tomas Lindberg of At The Gates) 10. Prison Of Misery 11. Cold Truth 12. Reunion
COUNTING DAYS Line-Up:
- Thomas Debaere : V - Charlie Wilson : G - Lasselle Lewis : D - Bobby Daniels : G - Alex Dench : B / V
COUNTING DAYS- Official Music Video for "Liberated Sounds". Directed by Jordan Green, edited by Charlie Wilson.
Pierre Le Pape (ex-Embryonic Cells, Wormfood) s’est taillé une belle réputation grâce à sa créativité prolifique à tous niveaux, à commencer par la composition et les paroles, notamment avec son projet ambitieux de Metal Opera, MELTED SPACE. Un projet avec un premier jet « From The Past », en 2012, puis, l’album « Between » (2013) qui est à prendre comme une transition vers « The Last Lie » de 2015.
Des sorties saluées par tous, des critiques, du public aux artistes eux-mêmes, dont beaucoup avaient déjà accepté de figurer en guests notamment sur « Between », dont Liv Kristin de LEAVES’ EYES avec qui MELTED SPACE sera d’ailleurs en tournée. Ceci étant posé, il tardait d’autant plus de découvrir « The Great Lies », tout d’abord via son artwork, à nouveau confié au talent graphique de Hicham Haddaji [Strychneen Studio] (Hacride, Klone, Trepalium, Shining). Sobre et efficace à la fois, intrigante et fascinante, la pochette reflète l’effet envoutant produit par cette seconde œuvre issue de l’imagination artistique, fertile et inspirée du compositeur, arrangeur, pianiste et artiste de talent qu’est Pierre Le Pape.
Fort de sa signature récente sur le label SENSORY Records, MELTED SPACE a bénéficié de tous les atouts pour donner sa pleine dimension à cet ambitieux opéra de Metal progressif symphonique aux magnifiques et opulentes orchestrations.
En effet, « The Great Lie » se révèle être abouti au point qu’il vous emporte immanquablement sur ses ailes lyriques et mélodiques, ses émotions multiples et puissantes à fleur de vocaux, d’instruments, d’orchestrations. On vibre aux côtés de tous les intervenants, qui se montrent totalement et avec passion, investis pour narrer l’histoire de ce frère et cette sœur partis en quête de leur mère, la reine des fées. Que ce soit des chants féminins, masculins, en voix claire ou rauques ou des instruments et orchestrations, tout participe à donner vie à de multiples atmosphères dignes de véritables tableaux issus d’un opéra, dont on goûte et savoure chaque chapitre, notamment sur « No Need To fear », « Terrible Fight », l’émouvant « A God Is Dead », “Hopeless crime”, “The One Who Lost The Faith” ou “Lost Souls From The Other Side”.
La liste des guests est, quant à elle et une fois encore, bien garnie (voir ci-dessous), entre pointures du Metal et orchestre philarmonique de Prague et côté co-production de François-Maxime Boutault et Pierre Le Pape, le niveau est relevé lui aussi, offrant finesse minutieuse et intensité à la fois.
« The Great Lie » mérite d’être couronné du titre d’Opéra Metal’ et le fait qu’un français, Pierre Le Pape, en soit le créateur n’a que peu d’importance, car son œuvre est avant tout universelle !
Tasunka
Tracklist” The Great Lie”:
01) Listen To The Song Of Despair 02) Called By The Queen 03) No Need To Fear 04) Terrible Fight 05) A God Is Dead 06) Trust & Betrayal 07) Glass Castle's Beast 08) Hopeless Crime 09) The One Who Lost The Faith 10) Titania 11) Lost Souls From The Other Side
Le casting impressionnant de "The Great Lie" est quant à lui le suivant :
David Vincent (ex-Morbid Angel) Attila Csihar (Sunn O))), Mayhem) Mikael Stanne (Dark Tranquillity) Arjen Lucassen (Ayreon) Ailyn Gimenéz (Sirenia) Kobi Fahri (Orphaned Land) Mariangela Demurtas (Tristania) Guillaume Bideau (Mnemic) Niklas Kvarforth (Shining) Sylvain Coudret (Soilwork) Adrien Grousset (Hacride) Christine Rhoades (Jeff Loomis) Manuel Munoz (The Old Dead Tree) Arnaud Strobl (Carnival In Coal) Clémentine Delauney (Visions Of Atlantis) Virginie Goncalves (ex-Kells)
FORMATION:
Pierre Le Pape: claviers, Arrangements
Adrian Martinot: guitare (invité) Adrien Grousset: guitare (invité) Ailyn Giménez Garcia: chant (invité) Virgine Goncalves: chant (invité) Arjen Anthony Lucassen: guitare (invité) Arno Strobl: chant (invité) Attila Csihar : chant (invité) Brice Guillon: basse (invité) Christine Rhoades: chant (invité) Clémentine Delaunay: chant (invité) David Vincent: chant (invité) Guillaume Bideau: chant (invité) Kobi Farhi: chant (invité) Lucie Blatrier: chant (invité) Manuel Munoz: chant (invité) Mariangela Demurtas: chant (invité) Michael Saccoman : batterie (invité) Mikael Stanne: chant (invité) Niklas Kvarforth: chant (invité) Sylvain Coudret : guitare (invité) The City Of Prague: Orchestre Philarmonique (invité)
Video Line-Up : MELTED SPACE dévoile, en vidéo, la liste des musiciens participants au nouvel opera métal "The Great Lie" (label SENSORY/ The Laser's Edge) :
Guitar Legends MICHAEL DENNER and HANK SHERMANN of MERCYFUL FATE have given an offering ofsupremely, classic heavy metal infused with an overload of their signature, dark magic shredding.
According to the legendary guitar duo, getting SNOWY SHAW (King Diamond/Therion/Sabaton) on Drums, MARC GRABOWSKI (Demonica) on Bass Guitar, andSEAN PECK (Cage/Death Dealer) on vocals, onboard to form the band was a critical component to bringing these 4 tracks to life.
"SATAN'S TOMB" Track-Listing:
01. Satan's Tomb 02. War Witch 03. New Gods 04. Seven Skulls
A l’occasion de la sortie officielle du premier livre sur le festival Hellfest, nous vous donnons rendez-vous le mercredi 7 octobre à la "Maison des tanneurs" ( paris 1er) à partir de 17H30 pour faire l’acquisition du premier livre sur le Hellfest.
Toute l’équipe sera présente pour répondre à vos questions autour d’un verre. En présence de :
Alex Rebecq (Chargé de communication du Hellfest) Guillaume Delautre (Responsable merchandising du Hellfest) - Bénédicte beaujouan (Chef de projet) Lelo Jimmy Batista (Redacteur – Noisey/Vice) Ronan Thenadey (Photographe officiel)
Le Hellfest ? Le troisième plus gros festival de musique en France.
Cet événement majeur et incontournable de la musique Métal est reconnu dans le monde entier. Sa fréquentation s’est multipliée par six en neuf ans, atteignant en 2014, 150 000 spectateurs sur trois jours. Il reçoit chaque année les grands noms de la scène Métal internationale et française, soit plus de 800 artistes en 10 ans. En 2015, le Hellfest fête ses 10 ans. Cet ouvrage rend hommage à tous les acteurs du festival (artistes et équipes dédiées) qui ont permis de rendre cet événement possible et durable, et pour honorer son public, plus fidèle et plus nombreux aux fils des éditions. Retrouvez les portraits et interviews des artistes majeurs qui se sont produits sur la scène du festival (Kiss, Motörhead, Deep Purple...), les coulisses et ambiances de backstage, les décors extraordinaires du festival et bien sûr les festivaliers et leur univers.
DU FURY FEST AU HELLFEST TOUTE L’HISTOIRE DU FESTIVAL
336 PAGES I PLUS DE 140 ARTISTES I PRÈS DE 500 PHOTOS
1 - DERRIÈRE LA SCÈNE LES BACKSTAGES DU FESTIVAL 2 - DEVANT LA SCÈNE HELLFEST PARTY 3 - AUTOUR DE LA SCÈNE UNE SCÉNOGRAPHIE UNIQUE EN FRANCE 4 - SUR SCÈNE PRÈS DE 140 ARTISTES REPRÉSENTÉS DES TÉMOIGNAGES D’ARTISTES INÉDITS.
Formé de façon spontanée et naturelle, 21 OCTAYNE, c’est avant tout une histoire d’amis, de complices partageant le même goût de donner vie, créer un Rock / Hard Rock de qualité au feeling palpable, et non pas une histoire d’avoir assemblé la somme pourtant considérable d’expérience technique, scénique et live que le groupe cumule, pourtant, au travers de leur longue expérience individuelle, qui fait de eux tous, des artistes chevronnée, ayant gagné leurs galons au panthéon du Hard Rock.
Non, c’est avant tout le plaisir qui est visiblement le moteur, la moelle épinière de 21 OCTAYNE et cela s’entend, se ressent intensément lorsque courent les dix morceaux originaux et variés de ce « 2.0 » de grande qualité tout autant qu’accrocheur et enivrant.
Hagen Grohe, le chanteur-producteur et créateur de pochette, définissait, lors du premier effort «Into The Open » (2014) , leur musique comme étant du ‘Classic Rock 2.0 ‘ et chose confirmée en 2015 via un « 2.0 » au nom qui sied au mieux pour ce Hard Rock résolument moderne, aux riffs et soli au top, tout autant que les vocaux ou la ligne rythmique. Et cerise sur la galette, la variété préside, ici, puisque 21 OCTAYNE montre avec ce second opus, ses multiples facettes autant au niveau du son, des idées que musicalement parlant, entre Hard Rock intense au tempo enlevé, mid-tempo Rock ou frôlant le prog et toujours mélodique au meilleur ratio du terme.
« Take Me Back » ou « Devil In Disguise » font montre d’un rythme Hard Rock soutenu, pour se voir contre-balancés et complétés par un Pop/Rock « When You Go » qui devrait assurer en radio, ou encore, le martèlement Rock de « Fly With Me » ou l’hymnique et superbement fédérateur « Love’s Just A Heartbreak Away » qui est l’un des 'must' de « 2.0 » et en final qui touche au prog, le magnifique et poignant autre 'must' qu’est : « Tale Of A Broken Child ». Ah oui et sans oublier le très drole de par ses paroles et musicalement catchy à souhait, « Date With Myself ».
Même si leur bassiste, Andrew Lauer, est parti en 2015, pas de quoi ébranler le groupe qui va assurer ses gigs avec des bassistes de remplacement, en attendant de retrouver un line-up au complet.
Fin de l’aparté pour en revenir à l’essentiel, le second opus de 21 OCTAYNE,et le verdict à son sujet :
c’est simple, « 2.0 »est hautement recommandé à l’achat et le groupe chaleureusement, à suivre ! :)
Tasunka
“2.0” Track-List:
01. Devil In Disguise 02. Take Me Back 03. When You Go 04. Love’s Just A Heartbreak Away 05. Take Me Away 06. Lost 07. The Circle 08. Date With Myself 09. Fly With Me 10. Tale Of A Broken Child
available as CD, Digipak (3 bonus tracks) & ltd. Box (inkl. Digipak, Magic and bag)
21OCTAYNE Line-Up:
-Hagen Grohe (‘The Joe Perry Project’ from Aerosmith’s guitarist): V -Marco Wriedt (ex-Axxis) : G -Alex Landenburg (Rhapsody): D
In 2015 the band parted ways with bass player Andrew Lauer. For current/future live gigs they will use replacements until a steady new member has been found.
Sorti en auto-production puis, à nouveau une seconde fois et un nouvel artwork, ce coup-ci, sous le label Metal Blade Records, avec qui le groupe a signé en juillet 2015, voici « Poliferation », le second effort des australiens de HARLOTT et que le quatuor peut délivrer le feu de l’enfer d’un Thrash nourri des influences classiques du genre des années 80s mixé et secoué avec ce vent de modernité, avec leur forte patte identitaire pour un résultat qui arrache tout, entre son tempo hyper speedé et ce Thrash riche aux mélodies aussi accrocheuses que les parties agressives peuvent l’être.
Les australiens se bonifient encore avec ce second album qui montre une maturation évidente, puisque forts de conserver l’ardeur Thrash sans failles qui les caractérise, le quatuor use de compositions carrées et riches, ainsi que d’une technique remarquable en soli ou pour donner le ton, et assurer la balance entre mélodies et Thrash option bolide sans freins. Les soli de guitare, les vocaux, la rythmique de furie, sont accomplis, réussis et on s’en prend plein les oreilles et avec délice, encore, notamment sur des « Denature », « Civil Unrest », « Legion », « Systematic Reduction », « Restless » au top, sans oublier, « Means To An end », « Bloodlust », « Cross Contamination » et bien sûr « Proliferation ».
HARLOTT confirment avec « Proliferation », être une formation de valeur dans le paysage Thrash et Metal en général, à l’image de groupes tels que TESTAMENT principalement ou encore SLAYER, EXODUS;TESTAMENT auquel il est d’ailleurs difficile de ne pas penser en entendant HARLOTT.
En résumé, les titres de « Proliferation » vous entrainent , vous passent à la lessiveuse australienne et on en redemande, alors, songez à l’effet en live…
Justement, HARLOTT seront en tournée européenne avec ANNIHILATOR et ARCHER, dont une date à Paris, le 6 octobre 2015, alors, prêts pour les moshpits ? Le groupe va tout arracher sur son passage !
Tasunka
"Proliferation" track-listing:
01. Proliferation 02. Denature 03. Systematic Reduction 04. Restless 05. The Fading Light 06. Lord of War 07. Civil Unrest 08. Hellbent 09. Bloodlust 10. Cross Contamination 11. Legion 12. Means to an End
HARLOTT Line-Up:
-Andrew Hudson - G / V -Ryan Butler - Lead Guitar -Tomas Richards - B -Tim Joyce - D
HARLOTT are hungry for the World, and in October 2015, they will be dominating Europe with Canada's Annihilator, the first step in what is to be a long and grueling career in total devastation!
Annihilator + HARLOTT + Archer
30/09/15 UK - Birmingham - O2 Academy 01/10/15 IE - Dublin - Button Factory 02/10/15 UK - Glasgow - O2 ABC2 03/10/15 UK - Sheffield - O2 Academy 04/10/15 UK - London - O2 Academy Islington 06/10/15 FR - Paris - Divan du Monde 08/10/15 ES - Bilbao - Santana 27 09/10/15 PT - Porto - Hard Club 10/10/15 ES - Madrid - But 11/10/15 ES - Barcelona - Razzmatazz 2 13/10/15 CH - Pratteln - Z7 14/10/15 IT - Brescia - Circolo Colony 15/10/15 SI - Ljubljana - Kino Siska 16/10/15 SR - Belgrade - Dom Omladine 17/10/15 RO - Bucharest - Maximum Rock Festival 19/10/15 HU - Budapest - A38 20/10/15 AT - Wörgl - Komma 21/10/15 AT - Wien - Szene 22/10/15 CZ - Zlin - Masters of Rock Café 23/10/15 PL - Krakow - Fabryka 24/10/15 PL - Warsaw - Proxima 25/10/15 DE - Berlin - Lido 27/10/15 DK - Kolding - Godset 28/10/15 DE - Hamburg - Grünspan 29/10/15 DE - Aschaffenburg - Colos-Saal 30/10/15 DE - München - Backstage Halle 31/10/15 DE - Karlsruhe - Substage 02/11/15 DE - Nürnberg - Hirsch 03/11/15 LU - Luxemburg - Den Atelier 04/11/15 NL - Tilburg - 013 05/11/15 NL - Haarlem - Patronaat 06/11/15 BE - Kortrijk - De Kreun 07/11/15 DE - Bochum - Zeche 08/11/15 DE - Köln - Underground
Un rêve devenu réalité pour CHEMIA, que de voir leur second album « Let Me » produit par non moins que le légendaire Mike Fraser (AC/DC, Metallica, Aerosmith) et il faut dire que dès que le groupe a présenté en amont,son projet et idée de nouvel album, « Let Me », à leur ami et mentor Marc LaFrance (Scorpions, Mötley Crüe, The Cult), ce dernier en a été impressionné et convaincu au point de vouloir mettre CHEMIA en contact avec le dit Mike Fraser, qui a accepté, sans hésiter, de travailler avec les polonais.
De cette collaboration fructueuse sont sortis douze nouveaux titres au son richement ciselé et au feeling voulu par le groupe et accompli par un producteur aux doigts d’or, à savoir restituer au long de « Let Me », une puissante sensation live qui met l’accent principalement sur le duo des guitares et la voix, la basse, laissant volontairement tout clavier de côté pour un rendu naturel et des plus convaincants à tous niveaux : vocal, interprétation et feeling.
Ici, pas de compromis, ni de concession à un aspect Pop, comme pouvait le présenter le premier album; non, avec « Let Me », place au ‘véritable CHEMIA’, ainsi que le précise Wojtek Balczun, son lead guitariste-compositeur de riffs classieux de son état. Et le ‘véritable CHEMIA’ est une perle qui s’affirme, en 2015, avec un second opus au Rock garanti de la première à la dernière note. Grace à sa grande variété, le terme ‘Metal Rock Alternatif moderne’ peut englober « Let Me », vu que la diversité du voyage est très prenante, entre Rock, Metal alternatif, Stoner et des accents de Grunge, qui évoquent, selon le morceau, NIRVANA, PEARL JAM et souvent, l’influence de ALICE IN CHAINS sans la singer pourtant.
Des titres tels que « Don’t Kill The Winner », « Send Me The Ravens”, “We Toxic” sont des imparables, quant à “The Luck”, avec en guest derrière les futs, Brent Fritz (Slash, Alice Cooper), « Done », « I Love You So Much » ou « Grey », « Let me », impossible d’y résister.
« Let Me », dans son ensemble et à commencer par son réussi artwork, va certainement accomplir un autre souhait des polonais de CHEMIA, à savoir leur ouvrir les portes d’une reconnaissance internationale et le quintette, qui a déjà joué aux côtés des pointures mondiales, va certainement être exaucé : leur
« Let me » étant l’un de ces albums-surprises qui vous tombent dessus et auxquels on s’attache sans coup férir! :)
Tasunka
Track-listing “Let Me”:
01-Fun Gun 02-She 03-The Luck (featuring on drums Brent Fitz (Slash, Alice Cooper) 04-Let Me 05-I Love You So Much 06-Grey 07-The Shadow 08-Done 09-Don’t Kill The Winner 10-We Toxic 11-Gotta Love Me 12-Send Me The Ravens
Line-Up CHEMIA:
-Luke Drapala : V -Wojtek Balczun : G -Maciek Maka : G -Chris Jaworski : B -Adam Kram : D
Pour leur troisième opus, « Symbiosis », les français de Think Of A New Kind (T.A.N.K.) continuent d’enfoncer le clou et de graver dans le marbre du Death mélodique, la forte impression laissée à chacune de leurs sorties depuis le tout premier album « The Burden Of Will » unanimement salué par tous.
Leur Death mélodique se montre toujours plus mature, incisif, marquant de mélodies, de riffs de tueurs ou de narrateurs, de cette agression qui vous emporte et donne la chair de poule de par son intensité, son côté naturel et droit au but. L’équilibre est trouvé entre Death massivement coup de poing et mélodiquement abouti pour que chacun apporte à l’autre, se réponde, se complète, se mette en valeur sur tout un « Symbiosis », qui fait se prendre une claque au long de ses diverses atmosphères.
La production, une nouvelle fois confiée aux manettes expertes de David Potvin (One-Way Mirror, Lyzanxia, Phaze 1), au Dome Studio, est de qualité pour rendre la dynamique, la subtilité, l’agressivité et ce côté vivant des nouvelles compositions, interprétées assurément toutes tripes et passion dehors. La technique des musiciens et chanteur est assurément au service des compositions pour les rendre vibrantes, parlantes et accrocheuses au possible et c’est bien le cas : notamment sur des morceaux tels que les superbes «Troubled Days », « Like Vultures », « Blood relation » et le final « The Edge Of Time », sans oublier de mentionner « Symbiosis », « From The Straight And Narrow », « Legacy ».
Tout comme le groupe avait accueilli un featuring pour le précédent et second album, « Spasms Of Upheaval» (2012) sur le titre « Inhaled » avec Jon Howard de THREAT SIGNAL, cette bonne habitude est perpétuée avec, cette fois, le chanteur de SOILWORK, Björn « Speed » Strid, en guest sur le très accrocheur et riche « Blood Relation ». T.A.N.K. seront d’ailleurs en tournée européenne avec SOILWORK et HATESPHERE dont quatre dates en France, mi décembre 2015. Ce sera l’occasion pour la bande de présenter son nouveau guitariste, Charly Jouglet, le duo des six cordes avec Nils Courbaron étant de nouveau au complet; une bonne nouvelle qui se salue tout comme ce nouveau membre du groupe. (voir la vidéo de présentation)
T.A.N.K. est un groupe de valeur que la scène Metal peut se vanter de compter à son bord: à l’image de son artwork classieux, « Symbiosis » en étant la preuve accomplie.
Merci à tous ceux qui ont aidé T.A.N.K. lors de leur campagne INDIEGOGO pour rassembler des fonds : but atteint grace à vous ! :)
Tasunka
« Symbiosis » Tracklisting :
01-Away ? 02-Symbiosis 03-From The Straight And Narrow 04-Baneful Storm 05-Nihil 06-Blood Relation 07-The Chrysalis 08-Troubled Days 09-Drawing Hope 10-Legacy 11-Like Vultures 12-The Edge Of Time
Line-Up T.A.N.K. 2015 :
-Raf Pener: V –Charly Jouglet: G (2015) -Nils Courbaron: G -Olivier d’Aries: B -Clément Rouxel: D
-Additional guests on “Symbiosis” album:
-Björn “Speed” Strid: Guest Vocals on “Blood relation” -Jessy Christ: Guest Vocals on “The Edge Of Time” -David Potvin: Additional Choirs / Backing Vocals -Mine Krause: Violin -Andrei Malakhov: Viola
27th November : KB , Malmö , Sweden 28th November : Herford X , Herford , Germany 29th November : Kufa , Lyss , Switzerland 30th November : Le Port Franc, Sion, Switzerland 1st December : Colony Club , Brescia , Italy 2nd December : Backstage Halle , Munich , Germany 3rd December : Schlachthof , Wiesbaden , Germany 4th December : Hellraiser , Leipzig , Germany 6th December : Bi Nuu, Berlin , Germany 7th December : Logo , Hamburg, Germany 8th December : Luxor , Koln , Germany 10th December : 013, Tillburg , Netherlands 11th December : Biebob , Vooselaar , Belgium : 12th December : Rock n Noël, Lievin, France (Headliner) 14th December : Trabendo, Paris, France 18th December : CC John Lennon , Limoges , France 19th December : CCO , Lyon , France
Depuis 2011 et leur EP « The New Rock’n Roll Explosion », suivi de « Back To Mayhem » (2012) et à présent via leur dernier effort « Blessing In Disguise », les hollandais de BLACK BONE ne cessent d’ encore et toujours brandir haut et fièrement la bannière du Rock’n Roll, pour en prendre la relève, une relève ancrée sur les bases traditionnelles du genre, tout en sachant y insuffler un vent frais, la jeunesse de leur enthousiasme passionné.
Au long des nouveaux titres, les vocaux, guitare, basse et batterie sonnent de cette production volontairement directe ce qui donne ce côté ‘rugueux’ qui sied au mieux aux compositions et à l’esprit Rock classique pur jus matiné de modernité, pratiqué par le trio. Production, d’ailleurs, due aux bons soins de non moins que Peter van Elderennon, le guitariste et frontman de Peter Pan Speedrock, qui a su, avec adresse, capter toute l’énergie live du groupe et la restituer en plein en studio.
BLACK BONE se sont fait remarquer par leurs qualité et passion fougueuse par pas mal de monde, dont la maison de disques Steamhammer/SPV avec qui, à l’été 2015, a été signé un contrat. Forts de leur première sortie sous cette bannière, BLACK BONE délivrent un second album, « Blessing In Disguise » qui montre une maturation dans les compositions, puisque ce trio de grands bosseurs qu’est BLACK BONE délivre, ici, des morceaux diversifiés qui vont du Rock’n Roll salement furieux via des fort réussis, « Suicide (ain't no way out) », « Enemy », « Loaded – Weighted », « You Gotta Nerve », « Believe » à des titres d’un Rock plus seventies planant, intense et tout aussi accrocheur qui fait songer à DEEP PURPLE : « Ashereah », « Wasted Years » ou la ballade « Wrong ».
Pros et passionnément spontanés, BLACK BONE injectent ce duo d’atouts gagnants dans leur Rock’n Roll dynamique et confirment ainsi avec brio, grace à leur « Blessing In Disguise » être une solide formation sur laquelle compter.
A noter que BLACK BONE seront en tournée européenne en support de VALIENT THORR, dont deux dates en France, le 13 octobre à Paris et le 14 à Nantes pour des concerts à ne pas manquer ! ;)
Tasunka
Tracklist CD:
01. Nothing But History 02. Loaded - Weighted 03. Suïcide (ain't no way out) 04. Enemy 05. Wrong 06. Never Too Loud 07. Ashereah 08. You Gotta Nerve 09. Wasted Years 10. Save It For Tomorrow 11. Believe
Tracklist LP: Side A 01. Nothing But History 02. Loaded - Weighted 03. Suïcide (ain't no way out) 04. Enemy 05. Wrong 06. Never Too Loud
Side B 01. Ashereah 02. You Gotta Nerve 03. Wasted Years 04. Save It For Tomorrow 05. Believe
BLACK-BONE Line Up:
- Steef van den Bogaard – G / Lead Vocals - Sven Hompes – B / V - Jules Eck - D
Return of the Intergalactic Roadwarriors Part 1 VALIENT THORR (USA) Support: BLACK BONE (NL)
02.10.2015 CH-Pratteln , Z7/Up In Smoke Festival 2015 03.10.2015 I-Milano , LoFi 04.10.2015 I-Roma, Init 05.10.2015 I-Bologna , Freakout 06.10.2015 A-Innsbruck , PMK 07.10.2015 A-Vienna , Viper Room 08.10.2015 GER-Berlin , Urban Spree 09.10.2015 GER-Giessen , On The Rocks/Under The Rocks 10.10.2015 NL-Haarlem , Patronaat 11.10.2015 BE-Antwerp , Trix/Desertfest Belgium 12.10.2015 UK-London , Boston Music Room 13.10.2015 FR-Paris , Glazart 14.10.2015 FR-Nantes , Le Ferrailleur 17.10.2015 GER-Munchen , Feierwerk/Keep It Low Festival 19.10.2015 GER-Jena , Rosenkeller 20.10.2015 GER-Osnabruck , Bastard Club 21.10.2015 DK-Copenhagen , Loppen 22.10.2015 GER-Kiel , Schaubude 23.10.2015 DK-Aalborg , 1000Fryd
Black-Bone Headliner Shows:
06.11.2015 NL-Uden , De Pul/Welcome to Pul Fiction Festival (NEW) 19.11.2015 NL-Tilburg , Extase 21.11.2015 NL-Sint Pancras , PancRock Festival 11.12.2015 NL-Vlaardingen , Kroepoekfabriek
Strasbourg le 13 octobre et Lyon le 14 octobre 2015, attendez-vous à une claque
de concert de la part des trois groupes : KAMELOT, GUS G. et KOBRA AND THE LOTUS, étant donné que Paris, la première date de la tournée emmenée par KAMELOT, a été un moment fort, un excellent démarrage, avec un public venu de la capitale mais aussi de partout pour cette soirée de Heavy Metal de premier choix.
(Live Report / Photos : Tasunka)
La Cigale est l’une de ces salles parisiennes taillées pour passer un moment de qualité quand les groupes le sont et ils l’étaient bel et bien, de qualité et heureux d’être là en ce 17 septembre :
en ouverture, c’est devant une salle correctement remplie qu’a démarré le set des canadiens de KOBRA AND THE LOTUS, qui délivrent un Heavy Metal traditionnel avec l’accent mis sur la voix de la frontwoman, Kobra Paige, épaulée par une solide section de guitares aux riffs efficaces, le tout sur des lignes mélodiques classiques et qui passent impeccablement bien, surtout en live.Pour la première fois du groupe à Paris, le courant est bien passé de part et d’autre de la scène. Gene Simmons de Kiss qui les a remarqués, ne s’est pas trompé.
GUS G.est le projet solo de ce talentueux guitariste que l’on ne présente plus, Gus G. (OZZY OSBOURNE, FIREWIND). Cet artiste qui vient à peine de fêter ses trente cinq ans, peut se vanter d’avoir déjà arpenté les plus grandes scènes et joué avec les plus grands et pourtant, le guitariste grec est et reste simple, avant tout passionné par ce qu’il aime: s’exprimer et laisser parler le feeling, le groove, la puissance via sa six cordes.
Il laisse d’ailleurs la place belle à ses acolytes, sur scène et en studio. Son groupe ou plutôt ses complices et lui, ont assuré un concert de pur Heavy Speed, accrocheur, racé et accueilli par un public connaisseur qui n’a pas manqué de s’enthousiasmer au long des morceaux : l’ambiance est montée d’un cran avec GUS G. assurément.
Gus G. en a d'ailleurs chaleureusement remercié et en français, la salle, avec et au nom de son groupe, un sourire ravi de tous, aux lèvres.
Si, depuis le début de la soirée, une interrogation s’était faite sur les jeux de lumière réduits à leur minimum pour les deux premières formations, au point de voir Gus G. lui-même exécuter ses solos sans projecteurs braqués sur lui, la réponse a éclaté dès que KAMELOTont mis un pied sur scène : le jeu de lumière avait été calibré pour donner sa pleine puissance pour la tête d’affiche et là, le déferlement a été au rendez-vous : des lumières et bien sûr, du Heavy symphonique, varié, puissant et mélodique, parlant et bardé de sentiments, que peut délivrer KAMELOT depuis ses débuts en 1991.
Un Metal fort de ces atouts qui font que la salle s’était, d’un coup, remplie à bloc d’un public de fans venu acclamé la formation : débauche aussi côté set list via des classiques du groupe ainsi que quelques nouveaux morceaux tirés de « Haven », un chanteur au top, Tommy Karevik qui joue avec le public tel un maestro avec son orchestre, tout comme l’a fait à un moment le bassiste Sean Tibbetts, en faisant s’époumoner la salle, solo de batterie de l’incontournable Casey Grillo, de guitare de Thomas Youngblood, bien sûr, voix en guest féminine (chorus ou en passages lead) et claviers classes de Oliver Palotai, tout y était!
Un grand moment qui a vu le public et le groupe à l’unisson pour un concert au top et en général, une soirée de choix pour ce coup d’envoi du 'Haven European Tour'
Oui, ‘Paris was amazing’ de l’avis de tous, groupes et public! :)
"Abysmal" s’ouvre sur un intense « Receipt », ce morceau émotionnel et très personnel qui tient plus qu’à coeur au chanteur, Trevor Strnad, pour le reflet qu’il est d’une sombre période que l’artiste a traversée et su surmonter grace à l’écriture du titre en question. Le chanteur souhaite, d’ailleurs, que « Receipt » puisse apporter le même effet libératoire à d’autres traversant de sombres moments similaires et, pour le citer, considère le morceau comme étant 'le meilleur réalisé par THE BLACK DAHLIA MURDER, à ce jour'.
Inutile de dire combien cet avis est justifié, puisque non seulement « Receipt » est un must de Death Metal en lui-même mais aussi l’entrée en matière convaincante d’un album qui l’est tout autant : « Abysmal » est, en effet, un puissant, vivant et dynamique déferlement de Death aux mutliples dimensions puisqu’à la fois au tempo speedé comme jamais et aussi à l’émotion à vif que l’on sent à fleur de riffs, de vocaux, de tempo, de compositions et d’interprétation.
Si "Re-Faced" et "Threat Level Number Three" sont taillés pour invoquer le chaos, « Receipt », Asylum » et « Abysmal » sont, eux, les morceaux inscrits dans l’urgence, les plus rapides jamais exécutés par TBDM et ce, à l’initiative notamment du batteur, Alan Cassidy, qui a pu pleinement apposer sa patte avec le nouvel album. Le tempo de l’enfer est dû aussi au guitariste Brian Eschbach, à Ryan Knight et à tout le groupe qui a foncé dans l’aventure. La basse de Max Lavelle ayant, quant à elle, un rôle important en live, le bassiste a donc tenu une place en conséquence dans la composition des nouveaux titres. Pour ce qui est du duo des six cordes, le brut et agressif Death cotoie le mélodique, le mélancolique dont le personnel "Vlad, Son Of The Dragon" et le tout avec des saveurs de Black plus un soupçon de NWOBHM (new wave of british Heavy metal) des années 80s et l’ensemble sur fond d’une technique imparable et d’une de ces vitesses de jeu en ‘shred’ de Ryan Knight, qui, comme le souligne le chanteur, mériterait d’être mentionnée et Ryan reconnu en tant que ‘shredder ‘ véritable.
Côté production, tout « Abysmal » sonne de façon vivante, avec ce son brut, agressif et live, qui donne son cachet aux américains, grace notamment au travail de Mark Lewis (Cannibal Corpse, Whitechapel) et de l’ancien bassiste Ryan Williams, qui avaient déjà officié pour l’acclamé « Everlast » (2013).
Sinon, pour poursuivre sur les morceaux eux-mêmes, on peut nommer notamment :
-“The Fog” qui vaut tout l’or de l’enfer avec ses riffs, sa technicité qui laisse parler sa puissance subtile et brute à la fois
-« Asylum » qui est un haut moment de "Abysmal", rapide et chaud comme l’enfer; il fait savourer cette sensation d’urgence, d’impétuosité qui donne tout son éclat à l’album,
-« The Advent »: déchainé comme le feu, brulant, avec un pont mélodique vocal sur fond de tempo un peu ralenti pour mieux reprendre et exploser sur un solo de guitare qui vous prend, vous secoue, vous envoute, ne vous laisse pas en paix , puis, retour au chant écorché avec chœurs superbes, et c’est « reparti la cavalcade des chevaux d’outre tombe: un superbe titre indubitablement.
Enfin, pour compléter le menu, voici qu’arrive en conclusion « That Cannot Die Which Eternally Is Dead », cette perle une nouvelle fois brutale, habile, mélodique, subtilement en attaque : le dernier morceau reflète l’album tel un joyau brulant qui brule et attire, dévore et accroche, un univers en soi qui ne laisse pas intact. Tout comme l’œuvre qu’est la pochette due au talent de l’artiste russe, Daemorph.
En résumé, le quintette du Michigan délivre, avec « Abysmal », un Death Metal racé, haut en atmosphères dramatiques variées, qui vous marque au fer rougi de son empreinte pour longtemps.
TBDM peuvent déclarer fièrement que « Abysmal » est leur meilleure oeuvre : en effet, elle l’est ! Le challenge était pourtant grand après le succès de « Everlast » en 2013.
« Abysmal » mérite un 10/10 et au-delà ! Un véritable ‘ass-kicking’ album ! :)
Tasunka
« Abysmal » Track-List :
01-Receipt 02-Vlad, Son of the Dragon 03-Abysmal 04-Re-Faced 05-Threat Level No. 3 06-The Fog 07-Stygiophobic 08-Asylum 09-The Advent 10-That Cannot Die Which Eternally Is Dead
THE BLACK DAHLIA MURDER Line-Up :
-Alan Cassidy: D -Trevor Strnad : V - Max Lavelle : B - Brian Eschbach : G - Ryan Knight : G
10/01 Syracuse, NY The Lost Horizon 10/02 Montreal, QC Foufounes Electriques 10/03 Ottawa, ON Mavericks 10/04 Toronto, ON Opera House 10/07 Thunder Bay, ON Crocks 10/08 Winnipeg, MB The Pyramid 10/09 Saskatoon, SK Louis' Pub 10/10 Edmonton, AB Union Hall 10/11 Calgary, AB MacEwan 10/13 Vancouver, BC Rickshaw 10/14 Portland, OR Hawthorne 10/15 Seattle, WA El Corazon 10/16 Boise, ID Knitting Factory 10/17 Salt Lake City, UT The Complex 10/18 Colorado Springs, CO The Black Sheep 10/20 Lincoln, NE Bourbon Street 10/21 Des Moines, IA Wooly's 10/22 Bloomington, IL Castle Theatre 10/23 Indianapolis, IN Emerson Theatre 10/24 Detroit, MI The Loving Touch
En été 2013, pour leur cinquième effort, «Auf Die Fresse Ist Umsonst » (chronique ici) les Rockers de OHRENFEINDT avaient encore et toujours fait parler la poudre et l’intime à la fois, avec leur Hard Rock de caractère, brut, authentique et aussi taillé pour affirmer l’état d’esprit Rock qu’une Harley Davidson peut l’être pour le rêve, ce qui veut tout dire sur la qualité sans compromis de la formation.
En 2015, revoilà le trio de choc avec un nouvel opus au compteur, « Motor An! » et c’est que cette bande de furieux au Hard Rock et à l’humour chevillés au cuir, aux tatouages et chaines depuis près de deux décennies, déménage tout simplement et vaut toute la reconnaissance sans failles dont OHRENFEINDT bénéficient en Allemagne et de plus en plus outre frontières. Avec leur sixième album studio, non seulement le bassiste-chanteur a une fois de plus tenu les rênes de la composition et de la production encore en duo avec Olman Viper, mais les deux autres compères se sont, ce coup-ci, vus impliqués dans la conception de l’album. Bref, les trois reviennent délivrer leur Rock vintage et pratiquer leur exercice favori, qui offre beaucoup de similitudes avec une course ou 'Run' de dragsters, à savoir laisser vrombir le moteur de leurs cylindrées gonflées à bloc, prêts à exploser le chrono d’un 'Run'n Roll', dès que le feu vert est donné. Et c’est précisément ce qui se passe, sur une course de dix nouveaux morceaux, le trio enchaine riffs imparables, basse en action, batterie redoutable et un chant fort efficace, dû à la voix éraillée du frontman-bassiste, Curt Laut, qui assure pour créer l’atmosphère tout autant que ses deux partenaires, Andi Rohde derrière les futs et pour les chœurs et Pierre "Keule" Blesse à la guitare Rock en diable et chœurs, lui aussi.
Des imparables tels que le morceau titre « Motor An! » aussitôt suivi par un arrêt intimiste au stand et aussi accrocheur sur « Aus », pour ensuite mieux reprendre pied au plancher avec « Für Rock'n'Roll Gebaut », avec harmonica, s’il vous plait, puis, « Reich Würde Schon Reichen », « 1910 » ou encore le mid-tempo « Frûh Oder Spâter », qui, tous, font se dire que le groupe mérite la grande popularité qui est la sienne outre-Rhin et qui s’étend, avec raison, au-delà des frontières.
Pas de doute, avec “Motor An! », les ‘Reeperbahn’ Rockers du quartier animé du même nom de Hambourg-St. Pauli, se montrent décidément maitres en leur ‘Art Rock’ et la seule vitesse qu’ils connaissent, c’est plein pot.
Oui, ils sont bels et bien ‘taillés pour le Rock’n Roll' - ja, OHRENFEINDT sind wirklich « Für Rock’n Roll Gebaut » :)
Vous avez bien lu, c’est la langue de Goethe qui préside au chant, comme toujours chez OHRENFEINDT et comme toujours, ça passe tout seul surtout quand c’est bon comme cela!
OHRENFEINDT et leur « Motor An! » sont largement recommandés, pour la découverte et assurément pour confirmer la forte impression laissée à chacun de leurs albums: alors, démarrez les moteurs, ‘Motor An! », le 'Run' commence maintenant ;)
Tasunka
« Motor An! » Tracklisting:
01.Zeit Für Rock’n’Roll 02. 1910 03. Die Hoffnung Stirbt Zuletzt 04. Nimm Die Kohle Und Renn 05. Gib Mir Mein Problem Zurück 06. Früh Oder Später 07. Motor An! 08. Aus 09. Für Rock’n’Roll Gebaut 10. Reich Würde Schon Reichen
Digipak Bonus Tracks:
11. Lass Die High Heels An 12.Betriebsfest
OHRENFEINDT Line-Up :
-Chris Laut : V / B / Harmonica -Andi Rohde : D / Backing Vocals -Pierre "Keule" Blesse : G / Backing Vocals
OHRENFEINDT will tour all over Germany (and Switzerland) on the following tourdates:
Du Rock’n Roll sans concession avec de consistants riffs et soli de guitares, une basse et une batterie solides comme le roc(k) bien sûr et une ligne vocale totalement adaptée au style, c’est que les canadiens de HELLbros! en mettent plein les sens via leur second opus éponyme, un brulot qui vous « botte les fesses », oui un ‘ass-kicking’ album, rien de moins.
Car, entre ce côté dans l’urgence des titres, courts, incisifs et ces touches mélodiques, ces refrains, ces hymnes qui ne vous quittent plus, l’accroche est totale, et rien d’étonnant à cela vue la géniale capacité des compositions à être dédiées 200% au Rock’n Roll, vue aussi l’énergie en attaque, la frénésie de l’interprétation du quatuor. Les deux frères Jurt, Peter aux chant-guitare et Christian- guitare, épaulés par leurs amis d’enfance, à savoir Josh Roy, Matt ‘Spag’ Colins respectivement aux batterie et basse, s’y entendent pour former un quatuor de choc et délivrer le feu au travers de 36 minutes et 11 morceaux qui vous rentrent dans la peau, notamment via des titres tels que « Tombstone », les incontournables « Trespassing By Night » et « Shoot The Horse », ou encore « For The Worst », « Dead City Rockers » et le single « Father Time ». Inutile de dire combien, en live, cela va déménager! :)
HELLBROS vous invitent à bord de leur du pur Rock’n Roll et le voyage va être addictif et intense : vous venez ? ;)
Tasunka
Tracklisting HELLBROS:
Line-Up HELLBROS:
- Peter Jurt : V / G - Josh Roy : D / V - Christian Jurt : G - Matt ‘Spag’ Colins : B / V :
General Release Date : September 18th, 2015 Release Date US/Canada: October 02nd, 2015 Territory: World ex South America
Les 42 DECIBEL n’ont qu’une religion, le Rock’n Roll traditionnel et le groupe, ostensiblement nourri au sein des racines du Classic Rock / Blues, dont AC/ DC ou ZZ TOP font partie, délivre effectivement un de ces Rock furieusement bardé de tous les atouts qui font fédérer, tout naturellement, à leur Rock pied au plancher et direct.
Sur une voix qui fait immanquablement penser à celle de Bon Scott, dont le chanteur-guitariste, Junior Figueroa, partage non seulement la tessiture mais aussi l’esprit Rock en se donnant à fond sur chaque titre, c’est toute la bande qui est au taquet pour délivrer et de la voix et des instruments, des morceaux qu’il est impossible de ne pas accompagner de la voix, du pied, de la chevelure, (faites votre choix :) tant l’ensemble se montre accrocheur. Qui plus est, le son est vintage, typé du meilleur des groupes Rock des seventies avec tout ce que cela a de positif et le duo des guitares expertes de Junior Figueroa-Billy Bob Riley, n’en sonne que plus brut, Rock ou Blues/Rock ce qu’il faut, pour poser l’atmosphère, de même pour l’imparable ligne rythmique de la batterie de Nicko Cambiasso et la basse de Matt Fraga. Des titres tels que « Midnight Teaser (Evil Woman)”, l’excellent « Cold Steel Rider », « Down The Hatch », « Burning Down The Road », « Drop Of Booze» en étant les meilleurs exemples, sans oublier le final réussi sur un « Smooth Talker » qui montre combien le groove habite le Rock’n Roll.du groupe.
Ce second opus des Argentins de 42 DECIBEL, sent la passion à fond et affirme combien l’esprit du Rock’n Roll des racines, peut se montrer universel. Bien sûr, AC/DC est dans les esprits en entendant « Rolling In Town », mais très rapidement s’affirme au long des morceaux, l’évidence que le quatuor a sa propre identité et un Rock’n Roll qui n’appartient qu’à lui.
42 DECIBEL sont à découvrir pour la très bonne surprise qu’ils apportent et confirment avec leur deuxième album, valoir le détour.
Long live Rock’n Roll ! :)
Tasunka
Tracklisting "Rolling In Town"CD:
01.Can’t Keep Control 02.Short Fused 03.Rude And Fast 04.Drop Of Booze 05.Burning Down The Road 06.Eye Of The Hawk 07.Down The Hatch 08.Midnight Teaser (Evil Woman) 09.Cold Steel Rider 10.Smooth Talker
Tracklisitng "Rolling In Town" LP:
Side A: 01.Can’t Keep Control 02.Short Fused 03.Midnight Teaser (Evil Woman) 04.Burning Down The Road 05.Down The Hatch
Side B: 01.Cold Steel Rider 02.Rude And Fast 03.Eye Of The Hawk 04.Drop Of Booze 05.Smooth Talker
Line Up 42 DECIBEL :
-Junior Figueroa : V / G -Nicko Cambiasso : D -Billy Bob Riley : Rhythm & Slide Guitar -Matt Fraga : B
Entrez dans la saga narrant l’épopée du premier roi Viking ayant unifié la Norvège médiévale, Harald « FairHair » Halvdansson, le roi des rois, « King Of Kings ».
Grace à l’habileté associée au talent vocal, musical et de compositeur de LEAVES' EYES ainsi que de la production de Alexander Krull, aussi à ce poste, vous plongerez littéralement au cœur de cette histoire avec autant d’intensité que si vous étiez au cinéma, devant un film du calibre du « Seigneur Des Anneaux » ou de « Star Wars ».
Et vogue le fier Drakkar de « King Of Kings » sur un océan de Metal symphonique multifacettes avec toujours la voix unique de la magnifique chanteuse / conteuse qu’est Liv Kristine, en tête de proue avec ses complices masculins, en contre-point vocal et des musiciens au top, encore et toujours, eux aussi, pour créer la diversité des atmosphères calmes ou guerrières, héroiques toujours et les rendre vivantes, accrocheuses, parlantes au possible.
Par Odin, c’est que la richesse des multiples styles est au rendez-vous de ce concept album, en entendant le groupe jongler avec adresse entre un Symphonic puissant, et éléments ethniques / celtiques, des apports de Folk Rock, une pincée de Pagan, une touche de Viking Metal, de Gothic et toujours ces hymnes guerriers Heavy, qui vous emportent, sans oublier cette pièce maitresse qu’est le duo voix lyrique de Liv - voix sombre de son compagnon Alexander Krull, auquel des chœurs se sont joints, avec non moins que le chœur « London Voices » qui avait notamment officié pour la bande originale de « Stars Wars », « Le Seigneur Des Anneaux », ou encore « Harry Potter ».
D’ailleurs, au long de l’album, on retrouve la participation d’invités de prestige tels que l'orchestre symphonique "The White Russian Symphony Orchestra" sous la direction de l'ex-guitariste de RAGE, Viktor Smolski ou encore, en guests vocaux, non moins que Simone Simons (EPICA) sur « Edge Of Steel » ou Lindy-Fay Hella (WARDRUNA) pour l’ incontournable morceau de la bataille finale épique entre le roi et un opposant, soit les 07 :30 d'un « Black Waters » qui vaut, à lui seul, l’achat, par son côté bande originale de Blockbuster, en vous faisant intensément ressentir cet épisode de l’histoire norvégienne, la bataille décisive de Hafrsfjord , comme si vous étiez aux cotés du roi et des 20 000 guerriers qui y ont pris part. Sur un « Swords In Rock » de même valeur, se conclue un « King Of Kings » qui affirme, une nouvelle fois, tout le talent et la place que méritent LEAVES' EYES,
un groupe que le roi Harald Ier dit 'The Dragon Harald Fairhair' lui-même, aurait assurément choisi pour narrer sa saga.
Superbes groupe, production et artwork : oui, avec « King Of Kings », LEAVES' EYES ne méritent pas moins que des superlatifs.
« King Of Kings » est album indispensable à tout fan du groupe ou qui veut le découvrir et se prendre une claque de Metal Symphonique aux multifacettes en plein casque Viking :)
Tasunka
LEAVES' EYES seront en concert le 24 octobre 2015 à Paris, alors, vous savez ce qu’il vous reste à faire, d’autant que le groupe assure sur scène à tous niveaux.
LEAVES' EYES Line-Up:
- Liv Kristine : V - Alexander Krull : V - Thorsten Bauer : G / B - Pete Streit : G - Joris Nijenhuis : D
Un quinzième album au compteur des légendaires Thrashers/ Heavy Metalleux de ANNIHILATOR et avec « Suicide Society », le compte y est puisqu’il est à retrouver au long des titres, le pourquoi du succès et reconnaissance dont les canadiens ont pu bénéficier au long des ans, à savoir une haute qualité des compositions et d’interprétation largement au rendez-vous, avec cette patte identitaire de la production, cette technique et ce pouvoir d’accroche en attaque massive ou mélodique entremélée, si savoureument efficace qu’il fait soit chanter en chœur, soit headbanger à l’unisson, ou les deux à la fois.
Etant donné que Dave Padden a quitté le groupe en 2014, après onze ans aux vocaux, lassé des tournées qui l’entrainaient trop souvent loin de ses proches, aussi, avec « suicide Society », en plus de ses nombreuses casquettes : production, mixage, composition, guitare, basse, c’est donc l’incontournable frontman Jeff Waters, qui reprend le poste, ce qui rappelle immanquablement qu’il était le chanteur par le passé sur les plus qu’acclamés “King of the Kill” (1994), “Refresh the Demon” (1996), “Remains” (1997) ainsi que d’autres opus du groupe au long des années. Et de manière intéressante, sa palette vocale même si elle évoque ses vocaux de l'époque “King of the Kill”, démontre, en 2015, une capacité à se ballader avec aisance entre des intonations similaires aux voix cultes de Staley, Osbourne, Hetfield ou Mustaine, ce qui participe à la réussite de toute ce quinzième offrande.
Sans compter cette technique sans failles, notamment de ce talentueux de guitariste qu’est Jeff Waters, technique totalement au service des intenses atmosphères et d’une énergie toujours aussi intacte, un ensemble d’atouts qui laisse bluffé.
Dans la série des ‘retours’, c’est non moins que Cam Dixon, qui marteleait sa basse à l’époque “King Of The Kill”, qui reprend du service au sein d’ANNIHILATOR, aux côtés du puissant Mike Harshaw, à la batterie d’acier depuis 4 ans et enfin, il est à saluer une nouvelle recrue, à la guitare, Aaron Homma qui fait ses débuts avec la bande.
Des morceaux de choc qui offrent la diversité et le punch, la sensation d’un bulldozer en action, plus le feeling, une pochette du même ordre, rien à dire ANNIHILATOR sont en pleine forme, qu’on se le dise via un « Suicide Society » de choix !
Car comme le déclare Jeff Waters en personne, « Suicidal Society » est un quinzième album studio fait avec amour, du sang, de la sueur, des larmes et beaucoup d’âme ! Et d’espérer que nous, auditeurs, l’apprécierons : oh que oui !!! :)
Le groupe sera en tournée avec le « Europe In The Blood Tour » cet automne et à Paris, pour un concert inratable, le 6 octobre 2015 au ‘Divan Du Monde’.
Le Stoner est toujours de mise pour le cinquième effort de THE SWORD, « High Country » et si les américains s’appuient sur les atouts de ces fondations précitées, c’est avant tout pour y poser un vent de renouvellement des plus efficaces, puisqu'un coté Rock classique très seventies et une touche de psychédélique se distinguent, se fondent, se marient avec bonheur en un album abouti et vivant au possible : les guitares ronflent de main de maitre avec leurs accroches rythmiques et solos, la ligne rythmique assure et la voix de J.D. Cronise fait des merveilles pour poser des ambiances intenses qui font voyager, planer, et touchent droit en pleine cible, toujours.
L’ensemble possède cette qualité de sonner tel un vent de fraicheur avec moins de coté lourd, mais toujours direct et mélodique, aux paroles profondes ou psychédéliques.
Le menu est copieux et léger à la fois, parfait pour passer un superbe moment en la compagnie des 14 nouvelles compositions plus une intro de THE SWORD, qui délivrent, ici, ce qui ressemble à leur meilleur album : en effet, même si les trois premiers pouvaient être salués, le précédent « Apocryphon » n’avait, quant à lui, pas pleinement fait l’unanimité. Trois ans plus tard, « High Country » devrait mettre tout le monde d’accord,
l’album étant une véritable pièce maitresse, relevée et magistralement interprétée et produite, avec ce feeling unique qui fait accrocher et se montre aussi magnétique qu’un aimant.
Que ce soit sur les instrumentaux furieux de « Suffer No Fools », calme de « Silver Petals », ou sur l’interlude planant « Agartha » ou encore sur les must que sont « Seriously Mysterious », « Empty Temples », « High Country », le Metal / Rock de « Early Snow »et sa géniale section Bluesy de cuivres avec trompette, trombone et saxophone baryton ou encore « Ghost Eye », le blues/ Rock de « Mist And Shadow », « Turned To Dust », « The Dreamthieves », « The Bees Of Spring » : en somme tout au long de cet opus, THE SWORD ont montré avec éclat qu’ils ont su se renouveler, évoluer, tout en gardant leur identité, cette identité qui fait apprécier autant ce quatuor de valeur depuis sa création en 2003.
« High Country » est l’un de ces albums qui comptent et aligne une classe et un groove naturel bluffants : chaudement recommandé, donc !
01-Unicorn Farm 02-Empty Temples 03-High Country (Additional Backing Vocals By Jazz Mills) 04-Tears Like Diamonds 05-Mist And Shadow 06- Agartha 07-Seriously Mysterious (Additional Backing Vocals By Jazz Mills) 08-Suffer No Fools 09-Early Snow (Horns by Mark Gonzales –Trombone / Gilbert Elorreagab – Trumpet / Josh Levy – Barytone Sax) 10-The Dreamthieves (Additional Backing Vocals By Jazz Mills / Kino Esparza) 11-Buzzards 12-Silver Petals (Acoustic Guitar BY Bryan Richie) 13-Ghost Eye 14-Turned To Dust 15-The Bees Of Spring
THE SWORD Line-Up :
-Bryan Richie: B -Kyle Shutt: G -J. D. Cronise: V / G -Santiago Vela III: D
==> THE SWORD TOUR DATES:
Europe will get the first taste of touring in support of the new album. The band just announced a 25-show trek that launches in Trondheim, Norway, on Aug. 21, and runs through a Sept. 19 finale in Bristol in the U.K.
Look for more dates to be announced in support of the High Country disc. The group is already planning to be on tour through the remainder of 2015 and 2016.
2015 marque une 'décennie de destruction' pour FIVE FINGER DEATH PUNCH et les américains délivrent leur plus ‘rentre-dedans’ opus en date, « Got Your Six », pour cet anniversaire!
Happy 10th anniversary FIVE FINGER DEATH PUNCH ! :)
L’idée du premier single, « Jekyll And Hyde », est partie d’un message vocal de Ian Moody, le chanteur du groupe, qui, inspiré vers deux heures du matin, a laissé sur le répondeur du lead-guitariste, Jason Hook, une bafouille expliquant, en la scandant, son idée de morceau. Jason Hook, qui apprécié ce qu’il entendait, a construit ses riffs autour, et transféré le tout, en MP3, au reste de la bande, qui a adhéré de suite sur un 'That’s pretty cool !' général, de la part, donc, du batteur aux rythmiques en béton et feeling armés, Jeremy Spencer, de Zoltan Bathory qui complète le duo d’enfer des guitares, de ses rythmiques percutantes, Chris Kael à la basse imparable.
Voilà pour la petite histoire derrière cet "uppercut" de titre qu'est: « Jekyll And Hyde ». Comme quoi, Ian Moody a bien fait d’être insomniaque et Jason Hook a été bien inspiré de suggérer au frontman de lui laisser un message à chaque nouvelle de ses idées, plutôt que de les laisser se perdre. Eh non, le frontman n’a pas de moyen technique d’enregistrement dernier cri et préfère cette méthode. Le message original a, d’ailleurs, été laissé en intro du titre, une fois l’album produit, histoire de montrer que FIVE FINGER DEATH PUNCH, c’est de l’authentique, un groupe au Metal ‘coup de poing’, qui vient des tripes et du cœur, puisqu’il sait être mélodique quand le besoin s’en fait sentir.
Il est à souligner que tout le nouvel effort se montre plus brut que ses prédécesseurs, à l’image de « Hell To Pay » qui a ce martèlement, cette cadence Heavy que n’aurait pas renié RAMMSTEIN et ces riffs au groove de malade qui arrachent tout, ainsi que des vocaux et chœurs du même ordre, comme tout l'album « Got Your Six », d’ailleurs. Carré, solide comme le Metal, comme peut l’être le racé « Wash It All Away » écrit par Jason Hook lors de leur dernière tournée, et qui présente différents tempos, ce qui participe à l’accroche imparable du titre ou le méchamment direct et percutant titre d’ouverture, « Got Your Six » qui vous coupe le souffle avec ses riffs et soli de tueur, ses vocaux et rythmiques frénétiques, à la cadence aussi rapide qu’une rafale de mitrailleuse tout comme « No Sudden Movement » ou les génialissimes « Meet My Maker » / « Boots And Blood ». Le groupe est habitué au Metal ‘direct dans ta face’ mais aussi à laisser l’émotionnel parler à chaque album, avec des mid-tempos chargés d’émotions ‘mélos’ comme « Digging My Own Grave » peut l’être, mais toujours avec ce Heavy massif qui soutient l’ensemble et rend le tout poignant, comme toujours avec 5FDP, il faut dire. Ce titre a, au passage, été le dernier morceau écrit pour « Got Your Six », alors que 5FDP étaient déjà en tournée et donc, enregistré dans un autre studio que le reste de l’album. « My Nemesis » porte, quant à lui, la signature du jeu en lead de Jason Hook, signature immédiatement identifiable notamment sur ce track qui est l’un des moments forts de l’album ; le titre étant basé sur une solide fondation due aux instruments, les vocaux de Ian Moody sont ensuite venus s’y rajouter tels la cerise sur un gateau déjà alléchant.
Vous l’aurez compris, « Got Your Six » de FIVE FINGER DEATH PUNCH, plus brut que ses prédécesseurs, se révèle être un album incontournable, très réussi à tous les niveaux dont sa production efficace au possible due à Kevin Churko tout comme son artwork et qui pose encore plus le quintette au sommet, la place qu’il mérite sans conteste: 5FDP, c’est du lourd, du grand !
Un ‘fu… ‘ groupe pour un ‘fuc…’ Metal, vibrant d'émotions fortes, rentre-dedans toujours et qui vous fait dresser les poils, assurément !
A ne pas manquer le groupe en tournée européenne et en France le 15 novembre 2015 à Strasbourg et Paris, le 24 novembre : faites chauffer vos cervicales, l’attaque est imminente ! :)
Tasunka
5FDP Line-Up :
-Ivan Moody: V -Zoltan Bathory: G -Jeremy Spencer: D -Jason Hook: Lead G -Chris Kael: B