The Musical Box, reconnu internationalement pour la très grande qualité de ses reconstitutions historiques des spectacles de Genesis, est le seul groupe licencié et supporté par Genesis et Peter Gabriel et a présenté à travers le monde tout près de 1000 concerts devant plus d'un million de spectateurs dans les salles les prestigieuses du monde tel que le Royal Albert Hall de Londres et L'Olympia de Paris.
Internationally renowned for its high quality historical recreation of early Genesis concerts, The Musical Box, the only band licensed and supported by Genesis and Peter Gabriel, performed close to 1000 concerts in front of of over a million audience members in some of the most prestigious venues in the world such as the Royal Albert Hall in London and the Olympia in Paris.
Kirk Windstein, frontman, chanteur et guitariste des références du Sludge, CROWBAR, a voulu que leur onzième album, « The Serpent Only Lies », retrouve et replonge dans l’état d’esprit qui animait le groupe à l’origine, aussi, s’est-il volontairement immergé dans l’atmosphère des débuts en réécoutant les premières productions de la bande, sorties plus de deux décennies plus tôt, ainsi que les disques de formations ayant influencé CROWBAR à l’époque : Trouble, Saint Vitus, Melvins ou le tout premier Type O Negative.
Fort de cette réécoute du premier opus éponyme, ainsi que de « Broken Glass » et de ceux des groupes précités, c’est sur cette base et intention de sortir un album à l’esprit old-school qui sonne moderne à la fois, que « The Serpent Only Lies » a vu le jour.
Si CROWBAR délivre un opus qui sent effectivement bon ce savoir-faire si apprécié et salué au long des années, au travers d’un Sludge lourd et puissant, il n’en reste pas moins que le côté old-school revendiqué par son maitre à penser, à savoir un Sludge mélodique qui vous broie et ne laisse pas indemne avec ses distorsions sales, est là, certes, mais inégalement selon les morceaux, le tout péchant par moments d’un manque d’effet ‘dans ta face’.
Ainsi, si le meilleur se trouve dans un grondant tel le tonnerre « I Am The Storm », ou encore « Song Of The Dunes », « On Holy Ground », « Embrace The Light » ou le titre d’ouverture « Falling While Rising », « Surviving The Abyss », on salue avant tout le chant superbement inspiré encore et toujours de Kirk Windstein, un chant qui apporte un groove de plus aux instruments. Pour ce qui est, justement, des guitares et batterie, basse, même si elles assurent elles aussi, il arrive d’avoir envie de les entendre sortir des sentiers habituels du groupe, s’exprimer avec plus de prise de risques pour créer une dimension supplémentaire, retrouver justement pleinement toute cette distorsion sale et mélodique. Même si, ici, la place a été volontairement plus donnée aux guitares, mettant un peu moins l’accent sur la voix par instants, toujours est-il que ce même chant reste le pilier qui soutient le groove délivré par CROWBAR.
Ceci dit, avec « The Serpent Only Lies » on est tout de même en présence d’un disque de CROWBAR: ce qui veut dire, de haut niveau.
Avec une production au top, une pochette du même tonneau et ses nouveaux morceaux, CROWBAR se montre fidèle à sa renommée de 'pourvoyeur de Sludge ‘ depuis 27 ans!
Tasunka
« The Serpent Only Lies »Tracklisting:
01.Falling While Rising 02.Plasmic And Pure 03.I Am The Storm 04.Surviving The Abyss 05.The Serpent Only Lies 06.The Enemy Beside You 07.Embrace The Light 08.On Holy Ground 09.Song Of The Dunes 10.As I Heal
==> Eliran Kantor did a brilliant job with the artwork! ;)
CROWBAR Line Up:
-Kirk Windstein - G / V -Matt Brunson - G -Tommy Buckley - D -Todd Strange – B
CHARRED WALLS OF THE DAMNEDont pris cinq ans avant que leur troisième album studio « Creatures Watching Over The Dead” ne sorte et succède à “Cold Winds on Timeless Days”. A noter tout d’abord que l’acronyme du nom du groupe, CWOTD, se retrouve une fois de plus dans chaque titre de leurs albums et cette fois, pas d’exception avec Creatures Watching Over The Dead.
Et côté musique, tout y est tout autant, prouvant que l’attente valait le coup, puisque la bande formée par le principal compositeur, batteur de talent de son état, à savoir Richard Christy, délivre avec brio et force, un Heavy musclé, speedé la majorité du temps ou plus mid-tempo, et toujours hymnique à souhait : un Metal racé, assurément, qui vient du cœur et qui a pour vocation de faire headbanger, passer un moment de pur fun. Un vœux exaucé puisque les neuf titres déménagent à grands renforts des guitares nerveuses, techniques, spontanées et bardées de feeling du talentueux Jason Suecof, ce producteur de renom qui a d’ailleurs œuvré sur ce troisième effort, des morceaux qui accrochent, de même, via une section rythmique de premier ordre, option double grosse caisse classe et dynamique, que la basse de l’incontournable Steve Digiorgio renforce de toute sa bravoure, comme le musicien le démontre notamment sur le fort bon solo de guitare, en fin du très accrocheur « Tear Me Down ».
Au chant, le quatuor de choix qui compose CWOTD, ne pouvait être complet sans le quatrième mousquetaire, Tim « Ripper » Owens, qui vient une nouvelle fois poser sa voix unique sur chaque morceau et faire ainsi montre de toute l’étendue de ses vastes capacités et harmonies vocales, quelque soit le rythme, l’intensité pratiqués et on surprend l’homme pousser aussi ses aigus dignes d’éloge, qui rappellent avec plaisir son passage au sein de JUDAS PRIEST, notamment: un clin d’œil sur « Reach Into The Light », « Tear Me Down ».
Puisque la troupe goute les acronymes, permettez que la conclusion de cette chronique, soit un simple : RAS : rien à signaler, quel album de A à Z ! ;)
CHARRED OF THE DAMNED WALLS assurent et pas d’inquiétude, malgré l’emploi du temps chargé de chacun de comparses, leur quatrième effort ne devrait pas prendre cinq ans à voir le jour, puisque comme le déclare Richard Christy, du nouveau matériel est d’ores et déjà en voie de composition, en plus des titres déjà créés et mis de côté pour le futur album.
Tasunka
CHARRED WALLS OF THE DAMNED “Creatures Watching Over the Dead” Track-List:
01-My Eyes 02-The Soulless 03-Afterlife 04-As I Catch My Breath 05-Lies 06-Reach into the Light 07-Tear Me Down 08-Living in the Shadow of Yesterday 09-Time Has Passed
Recorded at Suecof's Audiohammer Studio, outside Orlando, FL
CHARRED WALLS OF THE DAMNED Line-Up:
-Richard Christy –Drums (ex-DEATH, ex-ICED EARTH, ..) -Jason Suecof - Guitar, Producer (with among others - Death Angel, Deicide, Cryptopsy, Motionless In White and fellow Metal Blade vets Job For A Cowboy and Battlecross) -Tim "Ripper" Owens – Vocals (BEYOND FEAR, ex-ICED EARTH, ex-JUDAS PRIEST, ex-Yngwie Malmsteen,starting new band Project Rock) -Steve Digiorgio – Bass (Death, Testament, Vintersorg, Dragonlord, ..)
CHARRED WALLS OF THE DAMNED Discography:
•2010 : Charred Walls of the Damned •2011 : Cold Winds on Timeless Days •2016 : Creatures Watching Over the Dead
Sortie française le 30 septembre 2016 (distribution Caroline Int'l)
Tout commence pour BLACK FOXXES en novembre 2014, avec la sortie de leur EP « Pines » et l’attention que celui-ci a de suite attirée; une attention à la fois de la part des médias qui ont salué les nouveaux venus avec enthousiasme, des professionnels de même puisque les anglais se sont vus signés en 2015, avec le label Search And Destroy avec qui s’est associé SPINEFARM RECORDS (WHISKEY MYERS - chronique ici, GHOST - chronique ici , AIRBOURNE, BULLET FOR MY VALENTINE, ZAKK WYLDE, etc..) et entre autres grands découvreurs de jeunes talents Rock, s’il en est et enfin, une attention et non des moindres, car évidemment essentielle, de la part du public qui a de suite adhéré et en nombre encore, à l’univers musical très inspiré et qui fait mouche des BLACK FOXXES : un univers tordu de la manifestation de maux, bardé en émotionnel, brut, intimiste et sourdement puissant, tel un fou intelligent qui se voit calme ou emporté par sa folie, sa rage qui expulse, libère ses problèmes à la fois. Une musique que la bande elle-même qualifie de 'Rock Depression Pop'.
Fort de cette annonce, inutile de dire combien le premier album des BF, « I’m Not Well », était attendu à la fois pour découvrir si ce qui est vu comme une révélation de groupe, vaut ce battage et si la lignée de « Pines » suit son cours. La réponse est simple, oui et encore oui, quel album que cet « I’m Not Well » !
Au long de trois des titres issus du EP « Pines »(« Pines » étant un hommage appuyé à ‘Comfortably Numb’ de Pink Floyd) plus huit compositions originales, on est en présence de onze morceaux qui ne laissent pas indemnes et si c’est dans la manifestation de la lourdeur que le trio semble faire parler tout son potentiel, d’un cran plus haut même, la diversité affiche, elle aussi, cette accroche et style intelligemment emmenés sur un flow naturel, où le cœur parle et la voix en cris ou murmures, les instruments, touchent. Avec « I’m Not Well », BLACK FOXXES montrent leur habileté à entrainer dans l’histoire comptée, via un groupe qui se livre avec tripes dehors et authenticité, le tout étant mêlé à une maturité des compositions, paroles et interprétations, qui n’offrent nul doute: :
un groupe de valeur, BLACK FOXXES, a vu le jour !
Ne les manquez pas pour la première fois en concert @ Paris, mercredi 11 janvier 2017 (au Pop Up du Label) !
Imaginez la situation suivante : un type ayant la même dégaine que le Django de Tarantino sacrifie une chèvre sur scène tout en rugissant des chants d’esclaves sur fond de riffs de guitares hurlantes… Soudain le cliquetis des chaînes lance une rythmique ressemblant à une sorte d’invocation satanique dont les mélodies rappellent étrangement celles d’un groupe de black metal norvégien. Le responsable de ce mélange des genres se nomme : Zeal & Ardor
Son prochain album, « Devil is Fine » - disponible le 24 février prochain sur NVKA/Caroline - aborde les thèmes les plus typiques du black metal - rituels, sacrifices humains, feu et le sang – mais Zeal & Ardor a décidé de pousser ces propos blasphématoires encore un peu plus loin en les conjuguant à des paroles directement inspirées des chants spirituels repris par les esclaves lorsqu’ils travaillaient enchaînés dans les plantations... Du black metal tirant son inspiration des champs de coton des états du sud… qui aurait pu imaginer ça un jour ?
Zeal & Ardor c'est un musicien americano/suisse nommé Manuel Gagneux, qui tire son inspiration d’une approche alternative de l’histoire, résultant directement de l’association entre deux pensées :
01) la religion chrétienne a été imposée aux esclaves américains (tout comme cela avait déjà été fait en Norvège des siècles auparavant)
02) dans les années 90, le black métal s’est répandu partout dans le monde en rébellion face au monothéisme.
Dès lors, que se serait-il passé si les esclaves américains s’étaient rebellés de la même façon ? Quel aurait été le son de ces chants spirituels s’ils avaient été sataniques ?
Avec « Devil is Fine », Zeal & Ardor apporte les premiers éléments de réponse...
« Devil is Fine n’a pas été créé avec l’idée que peu de gens pourraient l’entendre… Il n’y a donc aucun compromis stylistique, je n’ai pas eu à me plier face à certaines demandes... Il s’agit seulement de choses que j’aime personnellement… » ne manque pas de souligner Manuel Gagneux
)
C'est sans aucun doute cette liberté totale qui lui a permis de créer une oeuvre avant-gardiste dont on n' a pas fini d'entendre parler...
Formé en 2005, BOREALIS aligne un cachet qui lui est propre avec un Power Metal Melodic teinté de progressif et avant tout un Metal bardé de classe autant que d’énergie, une patte que les canadiens ont ciselée au long des ans et des albums, aussi, quand est arrivé le temps de négocier avec leur maison de disques, une réédition de leur premier opus «World Of Silence » sorti en 2008, BOREALIS ont eu la brillante idée non seulement d’accepter la proposition d’AFM, mais aussi et surtout de proposer non seulement de le faire mais de réenregistrer, remixer et remasteriser tous les titres, ce qui leur a insufflé ce vent de tonnerre et de fraicheur, cette amélioration qui vous frappe dès les premières notes et vocaux du titre d’ouverture et ce, jusqu’au dernier morceau.
La force, le feeling du chant 'granuleusement profond' (si, si :), les guitares rapides et parlantes à la fois, une solide section basse-batterie bien Rock que viennent compléter des claviers utilisés avec beaucoup de flaire, tout y est pour faire de cette version boostée 2017 de « World Of Silence », l’un de ces albums qu’on aime à se prendre en pleine face. Mais par contre, pas plein les yeux..l’artwork de la pochette n’étant pas, quant à lui, des plus accrocheurs, il faut l’avouer. A noter qu’en 2008, la première mouture de « World Of Silence » avait été auto-produite et se faisait donc rare à dénicher, aussi, ce "World Of Silence MMXVII" est-il la toute première occasion de retrouver l’album des débuts dans les bacs, en version 2017, ce que les nombreux fans du groupe apprécieront mais pas qu’eux..
Pour revenir à l’atout majeur, la force du son et de l’interprétation, le batteur Sean Dowell y a été pour beaucoup, lui qui possède son propre studio, ce qui a permis à BOREALIS d’avoir toute liberté et coudées franches pour parachever le remix et nouvel enregistrement du ‘debut-album’. Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, BOREALIS et AFM Records vont poursuivre sur leur lancée et faire de même avec l’album de 2011, « Fall From Grace ». Quant à un nouvel opus avec compositions originales cette fois, c’est d’ores et déjà prévu : la bande s’y attèle pour le sortir probablement à l’automne 2017!
En somme, BOREALIS est un groupe de valeur, qui montre, à nouveau, avoir sa place et une de choix encore, au sein du monde du Metal aux côtés de formations du même calibre dont EVERGREY, avec qui les canadiens ont, entre autres, tourné!
Tasunka
BOREALIS Line-Up:
• Matt Marinelli -vocals, guitars • Mike Briguglio -guitars (left the band in Dec 2016 after 6 years) • Sean Werlick -keyboards • Trevor McBride - bass • Sean Dowell - drums
BOREALIS Discography:
-World Of Silence (2008, self-released) -Fall From Grace (2011) -Purgatory (2015) -World Of Silence MMXVII (2017)
Release date: October 28th, 2016 Territory: Europe
‘Salement’ lourd, le trio de WHORES est là pour distiller son ‘Noisy Rock’ ravageur, contaminer avec lui, le public et c’est redoutablement efficace de se prendre un tel un punch de puissance en plein visage et dans les oreilles. Doublée d’un vrai état d’esprit Punk, leur musique agressive et si délicieusement désaccordée, va droit au but ou si vous préférez : comment se faire secouer, désorienter, exploser les oreilles, fracasser le cou et vous savez quoi ? pour, au final, en redemander encore avec WHORES ! La bande d’Atlanta officie depuis 2010 et au long de ces six dernières années, a réussi à amener sa vision, de celle qui se révèle comme le renouveau d’un monde d’une musique extreme, un peu en mode stagnation.
Avec leur Noise Rock/Neo-monolithic (dixit le trio) WHORES sont authentiques et ne copient personne. Les américains taillent simplement la route avec ce qu’ils avaient envie de faire et d’entendre, eux, avant tout.
Les nombreuses heures passées ensemble en tournée, les concerts souvent ‘sold-out’, ont soudé le groupe en une bande de frères, les rendant encore plus déterminés à amener leur navire à bon port. Si deux EPs ont été diffusés depuis les débuts, dont le très remarqué et qui s’est arraché « Clean » (2013), enfin, les trois ont pris du temps pour composer et accumuler un nombre conséquent de nouveaux morceaux, assez pour sortir en 2016, plus qu’un EP six titres: un premier album, « Gold ». Coup de poing, « Gold » a de quoi enthousiasmer les aficionados et en rameuter de nouveaux. Effectivement en pleine forme, la bande tout en se faisant plaisir et testant les limites, nous assène des bombes, servies par un son de première, du au travail en commun avec, à nouveau à la production, Ryan Boesch (Helmet, Melvins, etc.), qui officiait déjà sur « Clean » (2013). A noter, avant de conclure, la pochette qui aligne le même humour sarcastique que le titre même du EP "Clean": une poubelle en or :)
L’affaire est à suivre, puisque, oui,
WHORES au nom si doux, est assurément un ‘bad-ass band’!
Tasunka
Tracklistings “Gold”:
CD Digipak Version 01. Playing Poor 02. Baby Teeth 03. Participation Trophy 04. Mental Illness As Mating Ritual 05. Ghost Trash 06. Charlie Chaplin Routine 07. Of Course You Do 08. I See You Also Wearing A Black Shirt 09. Bloody Like The Day You Were Born 10. I Have A Prepared Statement
Vinyl Version (1LP + CD) Side A 01. Playing Poor 02. Baby Teeth 03. Participation Trophy 04. Mental Illness As Mating Ritual 05. Ghost Trash Side B 01. Charlie Chaplin Routine 02. Of Course You Do 03. I See You Also Wearing A Black Shirt 04. Bloody Like The Day You Were
European tour in April 2017 / Tournée en Europe en avril 2017
Check out the confirmed dates below! / En France pour 6 dates immanquables en avril 2017! :)
31.03. UK Bristol The Fleece 01.04. UK Leeds Brudenell Social Club 02.04. UK Manchester Star And Garter 03.04. UK Glasgow Audio 04.04. UK Birmingham Mama Roux’s 05.04. UK London Underworld 06.04. B Antwerp Trix 07.04. F Lyon Le Periscope 08.04. I Torino Spazio 211 09.04. I Milano Magnolia 10.04. A Wien Arena 11.04. Cz Prague 007 13.04. D Berlin Droneberg Festival 14.04. D Hamburg Droneburg Festival 15.04. D Dresden Beatpol 16.04. D Köln Underground 17.04. D München Feierwerk 18.04. CH Lausanne Le Romandie 21.04. NL Tilburg Roadburn Festival 22.04. F Nantes Le Ferailleur 23.04. F Bordeaux Void 24.04. E San Sebastian Dabadaba 25.04. PO Lisbon Sabotage Club 26.04. E Madrid Boite Live! 27.04. E Barcelona Rocksound 28.04. F Montpellier Black Sheep 29.04. F Orleans L’Astrolabe 30.04. F Paris Le Glazart
L’occasion pour le groupe de défendre ses 3 remixes et son clip récemment sortis: voir ci-dessous :)
MELTED SPACE « Remix Remodel » / « Titania » Video
To give a real different outlook on its music, MELTED SPACE decided to reconstruct and remix several songs with vocal contributions from some of the live singers: Lucie, Clementine and Eric.
These three new versions “Remix Remodel” displays remixes of :
– “No Need To Fear”by Beau Hill (Europe, Alice Cooper, Ratt…)
– “Lost Souls From The Other Side” by After Forever’s Joost Van Den Broeck
– “Titania”, François-Maxime Boutault (Dagoba and various famous French pop artists)
The two last songs being mastered at Fascination Street Studio by Tony Lindgren.
At the same time, MELTED SPACE announces the completion of the act’s first official video for the song “Titania” (with the remixed version), directed by Rusty J. Matalou in a German Expressionism style, the new video brings to MELTED SPACE a new visual dimension and extend Pierre Le Pape’s musical universe to the outfit’s fanbase.
Chroniques des albums "The Great Lie" / "Between": cliquer sur les pochettes :)
French Reviews Of "The Great Lie" / "Between": click on both artworks ;)
En une constante évolution toujours basée sur les solides fondations de son indéniable et unanimement salué talent, le multi-doué guitariste, compositeur, chanteur, Monte Pittman, fait encore une fois preuve avec son quatrième et nouvel album solo, “Inverted Grasp Of Balance”, de toute l’étendue de son art et de sa plongée volontaire toujours plus profonde vers le Metal, via ses riffs de guitare d’acier, ses rythmiques et soli inspirés s’il en est et qui vous collent littéralement à la peau, avec leurs accroches hymniques, profondes et passionnées à la fois.
Rien à dire, le mot clé est bel et bien ‘passion’, une passion authentique qui anime cet artiste de première classe qui aime tout simplement ce qu’il joue et crée; oui, ce même enthousiasme qui transpire à chaque note, chaque accord, chaque vocal de ses derniers morceaux, au point que le courant passe de suite et vous accroche sans coup férir par son naturel et sa force de frappe.
Pour “Inverted Grasp Of Balance”, le maestro s’est entouré de virtuoses et avant tout fondus de bonne musique comme lui, au CV aussi impressionnant que le sien, à savoir Billy Sheehan(aux nombreuses collaborations à succès dont David Lee Roth, Mr. Big, The Winery Dogs ) et à la basse toujours aussi bluffante, entouré de même de la batterie hors compétition de Richard Christy(Charred Walls Of The Damned/Iced Earth/Death). De quoi donner une idée du niveau !
En parlant de références, à noter que Monte Pittman a collaboré, avec succès, avec les plus grands dans tous les styles musicaux, dont Madonna avec qui il se produit depuis quinze ans notamment en live, ou encore avec Prong dans le domaine Metal, s’est vu encensé de par le monde au long de sa carrière et pourtant, cette reconnaissance ne lui est pas montée à la tête : Monte Pittman reste avant tout et sans façon, un amoureux de bonne musique, de celle qui accroche naturellement, loin de toute démonstration technique soporifique, non, rien de ça avec cet artiste américain. Alors, fort de ces atouts, nul doute que cet « Inverted Grasp Of Balance » touchera beaucoup de monde, un souhait qu’avait formulé Monte Pittman en entamant le processus de création de sa quatrième œuvre :
une œuvre puissante et fluide, riche et profonde, et qui, écoute après écoute, dévoile chaque fois, une pépite de plus.
Sans omettre de signaler que les petits plats ont été aussi mis dans les grands côté production, l’album sonnant au mieux et côté pochette, l’artwork très réussi, vaut le détour.
MONTE PITTMAN, retenez ce nom si ce n’est déjà fait ;)
Tasunka
“Inverted Grasp Of Balance” Track-Listing:
01. Panic Attack 02. Arisen in Broad Daylight 03. Guilty Pleasure 04. The Times Are Changing 05. Double Edged Sword 06. Cadabra 07. Pride Comes Before the Fall 08. California 09. Be Very Afraid 10. Obliterated 11. Skeleton Key 12. New Blood Keeps Us Alive
Territory: World ex Japan/SouthEast Asia (Please note: Only physical, no digital!!!)
L’idée à la base de « Pimp Your Past » est venue de la maison de disques japonaise de FAIR WARNING, qui leur a suggéré de réenregistrer les principaux morceaux issus des trois premiers albums studios du groupe : « Fair Warning », « Rainmaker » et «Go! » (de 1992 à 1997). Au départ, moyennement enthousiasmés par l’idée, les membres de FW et notamment les deux compositeurs traditionnels du groupe, Ule Ritgen (basse) et Helge Engelke (guitare), ont posé que s’ils le faisaient, ce serait à condition d’y prendre du plaisir et donc, pour cela, de devoir certainement souvent pas mal remanier les titres anciens pour les rendre actuels et correspondant à leurs gouts, énergie et envies d’aujourd’hui, d’où ce nom évocateur et approprié de « Pimp Your Past » - ‘Personnalise/ booste ton passé’ et cette pochette pour le fun et l’humour, qui reflète le fun justement pris par le quatuor avec cet opus.
Les Hard Rockers aux mélodies qui font mouche se sont ostensiblement pris au jeu, puisque leur identité musicale unique, est à la fois actualisée et fidèle à leur style, leur patte qui a su faire apprécier au long des ans, la formation d’outre-Rhin ; un Hard Rock mélodique catchy servi par une guitare mélodique et dynamique, un chant qui distille l’émotion et ce, sur une large palette et des basse, batterie fidèles au poste pour créer l’ambiance qu’elle soit dynamique ou plus intimiste. La sauce prend et « Pimp Your Past » est l’un de ces albums qu’on aime à écouter pour le simple plaisir qu’il procure et qui fait du bien par où ça passe :)
FAIR WARNING persiste et signe avec « Pimp Your Past », être une valeur du monde du Hard Rock mélodique, même s'il faut reconnaitre qu'ils sont un tant soit peu sous-estimés (sauf au Japon). Mais comme le dit le très accrocheur et meilleur dernier titre de l’album : « Don’t Give Up », les FW ne sont pas du genre à ‘laisser tomber’ et c’est tant mieux pour nous: leurs 25 ans de carrière ne sont pas un hasard, ils le valent :)
Tasunka
"Pimp Your Past" Tracklisting Jewelcase:
01. Longing For Love 3:50 02. One Step Closer 3:58 03. Out On The Run 3:59 04. When Love Fails 4:37 05. Long Gone 4:39 06. Burning Heart 4:13 07. Picture Of Love 4:44 08. Angels Of Heaven 5:34 09. Rain Song 4:46 10. Save Me 5:34 11. Don´t Give Up 6:43
FAIR WARNING Line-Up:
-Tommy Heart – V -Helge Engelke – G -Ule W. Ritgen – B -C.C. Behrens – D
Release Date: November 11th, 2016 Release Date USA/Canada: November 18th, 2016 Territory: World
FREEDOM CALL apporte son Speed Power Metal puissant, mélodique et hymnique depuis 1999 et « Stairway To Fairyland », aussi, une pierre supplémentaire à l’édifice déjà bien solide des allemands, « Master Of Light », est une nouvelle qui donne la pèche d’avance, étant donné qu’il est de notoriété publique que le groupe assure dans le ‘Happy’ Metal dynamique, dans la qualité et une de ces passions pour ce qu’ils aiment autant faire que les attentes sont très souvent comblées avec FREEDOM CALL.
Et la cerise sur la gâteau, c’est que l’une des grandes satisfactions de la bande est de communiquer son plaisir au public, un public qui, concert après concert, le lui rend bien ; d’ailleurs, lors de la dernière tournée, le courant est à nouveau passé et de façon si intense entre salle et scène que dopé à cette énergie et des plus inspirés, FC se sont attelés à « Master Of Light » et l’ont terminé en à peine quelques mois.
Le résultat est un coffre aux trésors de nouveaux morceaux où le Metal multi-facettes de la formation fait merveille, elle qui dégaine avec une de ces aisances, titres speedée, pied au plancher, ballades et mid-tempos, ainsi qu’une pointe de progressif et le tout sans cassure dans le rythme de l’album, et ça marche : on tape du pied, se fracasse et avec plaisir encore, la nuque à headbanger en cadence, chante à pleins poumons, emporté par ce qui se révèle être un sacré album, efficace pour mettre de bonne humeur et fédérateur au possible. Produit à nouveau par Chris Bay et Stephan Ernst, aussi responsable de la co-production de "Land Of The Crimson Dawn" (2012), "Beyond" (2014) and "Eternity – 666 Weeks Beyond Eternity" (2015), « Master Of Light » sonne de toute sa qualité et son naturel dynamique et hymnique en un feu d’artifice positif à souhait.
En parlant de philosophie positive, propre à FREEDOM CALL, il est à citer la pochette mais qui, bien sûr, est à prendre au second degré, le groupe faisant volontairement montre d'un fort sens de l’humour sur lui-même ;)
Galette et troupe hautement recommandées donc, surtout quand on entend des incontournables au long de « Master Of Light », tels que, pour exemples, « A World Beyond », « Master Of Light », « Cradle Of Angels », « Emerald Skies », « Ghost Ballet » ou encore « High Up ».
A noter que la tournée 2017 pour « Masters Of Light » emmenera la ‘Happy Metal Band’ en France, aussi : de quoi se dire que l’année qui arrive s’annonce belle !
Tasunka
FREEDOM CALL "Master Of Light"
Format:CD Packaging: DigiPak + Poster => Attention: emerald green Cover
Format:2LP + CD Packaging: Gatefold, 180 g, printed inner sleeves, CD in paper sleeve,blue vinyl => Attention: blue Cover
Format:Boxset => 1.000 units, only Europe Packaging: incl. Digi, Bonus CD, sun glasses, sticker, hand signed photo card from the whole band => Attention: red Cover
Tracklisting "Master Of Light":
Digi Version
01. Metal Is For Everyone 4:52 02. Hammer Of The Gods 3:11 03. A World Beyond 5:54 04. Masters Of Light 5:29 05. Kings Rise And Fall 4:02 06. Cradle Of Angels 5:03 07. Emerald Skies 3:39 08. Hail The Legend 3:58 09. Ghost Ballet 3:07 10. Rock The Nation 3:11 11. Riders In The Sky 4:15 12. High Up 3:03
1999 Stairway To Fairyland 2001 Crystal Empire 2002 Eternity 2004 Live Invasion (live) 2005 The Circle Of Life 2007 Dimensions 2010 Legend Of The Shadowking 2011 Live In Hellvetia (live) 2012 Land Of The Crimson Dawn 2013 Ages Of Light (best of) 2014 Beyond 2015 Eternity – 666 Weeks Beyond Eternity (re-release) 2016 Master Of Light
== All Tour Dates: click above ;)
/ Dates En France:
24/02/2017 – Colmar Le Grillen - Master of Light Tour 2017 Support: Syr Daria & more
Les titans du Power Metal, VICIOUS RUMORS, font encore une fois parler la poudre avec leur dernier né, « Concussion Protocol ». Pour l’occasion, on se retrouve en présence d’un groupe gonflé à bloc, galvanisé ostensiblement et ce, pour notre plus grand plaisir, par le vent frais qu’a apporté et apporte encore l’arrivée de deux membres depuis ces trois dernioères années: en l’occurrence, avec non moins qu’aux vocaux Nick Holleman en 2013 et Tilen Hudrap, à la basse. VICIOUS RUMORS fait montre via ses dernières compositions, d’un appétit d’explorer un registre de territoires, sans se limiter et tout en restant fidèle à sa patte caractéristique: une plongée dans des terrains Metal inconnus basée sur du connu, en somme.
C’est donc autour des piliers, à commencer par le fondateur Geoff Thorpe à la guitare, Harry Lowe derrière les futs, que VICIOUS RUMORS au complet, explose avec son douxième effort, en des déflagrations de morceaux qui voient VR se ruer sans temps mort, du Power déchainé au mélodique, en passant par le mid-tempo et ce, avec toujours tout le panache, la passion, la dynamique qui caractérisent cette référence du Metal qu’est VR.
Les guitares se montrent les fers de lance comme toujours et excellent dans leur tâche entre shred, soli et rythmiques en acier ou mélodiques, la traditionnelle batterie option double grosse caisse de furie se manifeste avec brio, elle aussi et quant aux derniers venus, ils assurent autant de la voix que de la basse, participant pleinement à ce que ce « Concussion Protocol » soit dans la liste des albums de Heavy Power qui comptent. Rajoutez à cela, un passage amical des amis de longue date, à la guitare, Steve Smyth, Brad Gillis aux côtés de Thaen Rasmussen, une production de qualité due encore une fois à la collaboration fructueuse depuis les dix dernières années, entre le meneur de VR, Geoff Thorpe et Juan Urteaga et vous saurez que:
VICIOUS RUMORS persiste et signe avec « Concussion Protocol », une solide réputation de groupe de référence qui ne suit aucune courant de mode, fidèles à eux-mêmes avant tout et à leurs nombreux fans, tout autant.
Tasunka
“Concussion Protocol” Tracklisting:
01. Concussion Protocol 4:56 02. Chemical Slaves 05:50 03. Victims Of A Digital World 04:13 04. Chasing The Priest 04:13 05. Last Of Our Kind 03:56 06. 1000 Years 03:39 07. Circle Of Secrets 05:04 08. Take It Or Leave It 03:23 09. Bastards 04:40 10. Every Blessing Is A Curse 04:14 11. Life For A Life 06:11
Line-Up VICIOUS RUMORS:
-Nick Holleman – V -Geoff Thorpe – G -Thaen Rasmussen– G -Tilen Hudrap – B -Larry Howe – D
Valeur incontournable du Thrash Metal imparable, SODOM l’est sans nul doute, aussi, de voir le trio teuton revenir semer sa force de frappe avec un « Decision Day », qui vous rentre sous la peau du début à la fin, est assurément une bonne nouvelle!
A l’image de leur mascotte ´Knarrenheinz` sur la pochette, l’atmosphère est posée d’emblée et autant de par des paroles aux sujets ambitieux comme toujours, variés, que de par sa musique et vocaux intenses, la bande de l’indéboulonnable (et c’est tant mieux) bassiste, chanteur, leader, Tom Angelripper met le feu et cette fois, avec une profondeur de plus, une intensité des interprétations et lyrics qui laisse scotché.
A la fois solidement ancré sur ses atouts classiques, les nouveaux morceaux du groupe brillent aussi d’un souffle dynamique de Thrash moderne, qui donne un mixe réussi s’il en est, entre tradition et contemporain : en bref, ça arrache ! et ce, que ce soit à coups de double grosse caisse de l’inspiré acolyte, Markus “Makka” Freiwald , des rythmiques et soli du second partenaire dans le crime, Bernemann, de vocaux et basse en attaque ou juste un peu plus posé quand le moment le demande? comme sur « Strange Lost World ». En parlant de tracks juste 'trop bons', sont à mentionner avec leur train d’enfer : « Decision day », Blood Lions », « In Retribution », « Rolling Thunder », « Caligula », « Sacred Warpath », entre autres. Pour parachever le tout, une mention revient à la pochette confiée au talentueux Joe Petagno qui s’est illustré avec ses œuvres d’art devenues cultes notamment pour PINK FLOYD, LED ZEPPELIN, MOTÖRHEAD et à une production qui valorise les morceaux, grace à la compétence de l’autre ‘frère d’armes’, Cornelius ´Corny` Rambardt, qui en plus d’officier comme ingénieur du son, est batteur de son état pour le side projetc de Tom Angelripper : ONKEL TOM.
On ne vous promet par une révolution expérimentale du Metal avec « Decision Day » mais bel et bien du SODOM solide et sans compromis comme MOTÖRHEAD peut l'être, fidèle à lui-même, fort en Thrash: un petit bijou de « dans ta face » avec paroles qui donnent à réfléchir ;)
Tasunka
“Decision Day” Tracklisting:
01-In Retribution 06:14 02-Rolling Thunder 04:22 03-Decision Day 04:03 04-Caligula 04:01 05-Who Is God? 04:35 06-Strange Lost World 04:59 07-Vaginal Born Evil 05:15 08-Belligerence 04:00 09-Blood Lions 03:17 10-Sacred Warpath 05:34 11-Refused To Die 04:27
Artwork courtesy of none other thanJoe Petagno. As well as having worked for Pink Floyd and Led Zeppelin, Petagno is also Motörhead’s favoured graphic designer and has created legendary album covers such as Overkill, Bomber, Orgasmatron, Another Perfect Day
Produced by sound engineer Cornelius ´Corny` Rambardt, who also doubles as the drummer of Angelripper’s side project Onkel Tom
Available on September 9, 2016 / Sortie: 09 Sept 2016
Il est des perles d’albums qui vous tombent dessus comme ça, sans crier gare, genre cadeau de fêtes de fin d’année en avance et c’est bien ce qu’il arrive quand on se trouve en présence de « Mud », quatrième opus en date des talentueux Southern Rockers de WHISKEY MYERS.
Dès les premières notes, l’alchimie opère et ce, jusqu’à la dernière goutte via un Rock sudiste, très habilement et avec beaucoup de feeling et de richesse, mixé avec du Blues Rock, de la Country Rock, du Folk.
Les guitares sont royales de groove et d’émotions, les vocaux sont du même calibre, sans omettre de mentionner une section rythmique qui parachève le tout, avec des claviers tout autant au diapason, le tout étant épicé de cuivres ou d’un piano et de chœurs féminins quand le moment et son atmosphère le demandent. La formation du Texas qui compte à ce jour sept membres, n’a pas que ce nombre comme richesse, en effet, tout « Mud » brille carrément et séduit aisément grace à sa palette d’ambiances, sa diversité qui peut voir passer d’un Blues Rock poignant au possible à du plus léger bardé d’humour, et ce, cerise sur la galette, en réussissant à toujours garder toute l’intensité et le naturel du morceau.
La production confiée à nouveau aux soins de Dave Cobb (Chris Stapleton, Rival Sons…) participe complétement à cette accroche, lui qui est basé à Nashville (oui, 'in the heart of Dixie' :), a su rendre l’esprit du Rock sudiste qui anime la bande et l’authenticité dont la troupe fait preuve. « Mud » sonne puissamment en émotions, positives ou plus profondes, rendant en cela justice à cette force montante qu’est WHISKEY MYERS et à son identité propre: un groupe qui, c’est certain, va poursuivre sa route et atteindre les sommets aux côtés des plus grands dont Lynyrd Skynyrd, The Allman Brothers Band, Led Zeppelin ou Johnny Cash.
A l’occasion de leur tournée européenne en 2017, la France recevra pour la première fois WHISKEY MYERS en concert, le 31 mai 2017, alors, ne manquez pas ce qui s’annonce d'ores et déjà comme un événement et en attendant, procurez-vous « Mud » pour le pur plaisir Southern Rock / Country qu’il procure ;)
Tasunka
Track-List “Mud”:
01. On The River - 3:54 02. Mud - 4:11 03. Lightning Bugs And Rain - 3:11 04. Deep Down In The South - 3:21 05. Stone - 5:35 06. Trailer We Call Home - 3:39 07. Some Of Your Love - 3:23 08. Frogman - 3:38 09. Hank - 3:58 (for Hank Williams Jr.) 10. Good Ole Days - 3:57 (feat. Brent Cobb)
2 titres sont co-signés avec Rich Robinson (guitariste des Black Crowes)/ 2 of the songs were co-written with Rich Robinson (guitarist of THE BLACK CROWES)
Discography WHISKEY MYERS:
-"Road Of Life” (2008)
-"Firewater" (2011) (first hit single "Ballad Of A Southern Man")
-"Early Morning" (2014)
-"Mud" (2016)
==>Découvrez toutes les vidéos de Whiskey Myers sur la chaine YouTubedu groupe /
All the videos of WHISKEY MYERS on their YOU TUBE Channel, here <==
Difficile de mettre la barre plus haute côté line-up de rêve comme celui que peut aligner ce collectif musical qu’est THE DEAD DAISIES, difficile aussi de voir le Rock’n’ Roll intemporel, son esprit de liberté, de fun, de pur plaisir et de puissance dynamique en diable, mieux représenté et salué, interprété, qu’avec cet all-star project sorti tout droit des intentions de son fondateur de guitariste et compositeur : David Lowy (Red Phoenix, Mink).
Pour ce troisième opus à la formation de nouveau cinq étoiles et au titre évocateur, « Make Some Noise », le ton est donné, c’est option volume à fond et plaisir garanti. Hautement addictives, les dix nouvelles compositions plus deux reprises, vont vous rentrer sous la peau, vous enflammer avec leur Rock aux solides bases qui plongent dans les racines Rock / Hard Rock 70’s - début 80’s et ce, qu’il soit plein gaz, plus mid-tempo et toujours passionné et bien entendu, hymnique à souhait. L’expérience des pointures (line-up en fin de chronique) à l’origine de cette petite perle d’album assure à tous niveaux et n’a d’égale que l’enthousiasme, le pied pris de façon évidente par tous les protagonistes de ce « Make Some Noise » et de même pour Marti Frederiksen (Aerosmith, Def Leppard, Mötley Crüe, Buckcherry) qui a, lui aussi, visiblement allié plaisir et professionalisme, en enregistrant et produisant ce numéro trois de chez THE DEAD DAISIES.
THE DEAD DAISIES et « Make Some Noise » ont mis dans le mille : indispensables groupe et nouvel album, en somme !
Indispensable tout autant, de les voir en live, d’autant que la formation sera de passage en France pour trois dates (flyer ci-dessous), à l’occasion de leur European Winter Tour ;)
Tasunka
"Make Some Noise" Tracklisting:
01. Long Way To Go 02. We All Fall Down 03. Song And A Prayer 04. Mainline 05. Make Some Noise 06. Fortunate Son (Cover of Creedence Clearwater Revival) 07. Last Time I Saw The Sun 08. Mine All Mine 09. How Does It Feel 10. Freedom 11. All The Same 12. Join Together (Cover Of THE WHO)
Recorded and produced in February, march 2016 in Nashville by Marti Frederiksen (Aerosmith, Def Leppard, Mötley Crüe, Buckcherry)
A VOIR EN CONCERT EN FRANCE ! (avec The Answer en co-tête d'affiche + guest)
-08/12 - Paris / Le Trabendo -13/12 - Toulon / Omega Live -14/12 - Lyon / Transbordeur
Avec « Devil May Care », on est en présence d’un Postcore / Metalcore agressif, au rythme soutenu, aux guitares lourdes et agiles à la fois, tout le chant qui se voit être double, écorché, sombre et clair, mélodique quand l’atmosphère le demande et le plus beau, c’est que les allemands d’ANNISOKAY mêlent les deux, alternent avec intelligence les ambiances pour créer des morceaux intenses et aussi parlants que possible.
L’émotion, la rage sont au rendez-vous en des montrées en puissance très appréciables des chants et riffs / soli, soutenues par une indéfectible et redoutable basse et une batterie indispensable à l’alchimie Metalcore qui réussit à délivrer, avec efficacité, cette sensation d’urgence. Les parties électroniques participent à la bonne impression de l’ensemble, la majorité des titres se révélant être des coups de poings. Pour leur troisième effort, ANNISOKAY frappent fort et même si tout n’est par parfait, notamment via un chant clair parfois traité de façon trop synthétique, il n’en reste pas moins que « Devil May Care » vaut le détour et l’arrêt :
avec leur nouvel album, les cinq d’ANNISOKAY confirment être un groupe de valeur, totalement engagé dans sa musique, investi à 100% âme et tripes !
Tasunka
"Devil May Care" Track-List:
01-Loud 02-What's Wrong 03-Smile (featuring Marcus Bridge of NORTHLANE) 04-D.O.M.I.N.A.N.C.E 05-Blind Lane 06-Thumbs Up,Thumbs Down (featuring Christoph von Freydorf of EMIL BULLS) 07-Hourglass 08-Photographs 09-Gold 10-The Last Planet
Release date: November 25th , 2016 Territory: World (USA + Canada digitally only)
Fougueux et déterminés, de pur Rock’n’ Roll direct matiné de Heavy, droit au but avec une hargne qui s’accompagne d’un fort sens de l’humour, AC ANGRY font fort avec leur second album dont le titre ne pouvait mieux convenir : « Appetite For Erection ».. Volontairement provocants, irrespectueusement talentueux et inspirés, les AC ANGRY vous tombent dessus avec leurs nouveaux titres ravageurs et votre cou aura du mal à résister à l’envie d’headbanger en chœur, de chanter les hymnes à plein poumons.
Tout commence avec un « I Hate AC Angry » qui donne le ton avec ses guitares à plein régime, son tempo speedé et son harmonica qui ajoute un parfum de plus sur ce morceau. Puis, au choix, vous vous prenez en pleine face, des pépites telles que « I Wanna Hurt Somebody », « Testosterone », « The Balls Are Back In Town », "Appetite For Erection", la ballade ironiquement amusée « Cry Idiot Cry » ou « 4TW » et non des moindres le très bon « No Way To Go But Down ». Si AC Angry sait manier le Rock’n’ Roll / Metal qui en a et le sens de l’humour affirmé via des paroles provocantes, le groupe sait aussi afficher plus de profondeur dans les textes, notamment avec le dernier track cité « No Way To Go But Down » ou le volontairement lent et prenant « Son Of A Motherfucker's Son ».
Du chant aux guitares en passant par la basse et la batterie, sans omettre de citer une production efficace au possible,
AC Angry délivrent avec « Appetite For Erection », un de ces albums qui vous remontent à bloc prêt à vivre à fond, sourire aux lèvres et doigt tendu aux emm..beteurs: indispensable, quoi! ;)
Tasunka
Tracklisting “Appetite For Erection”:
01.I Hate AC Angry 02.4TW 03.No Way To Go But Down 04.I Wanna Hurt Somebody 05.Appetite For Erection 06.Son Of A Motherfucker's Son 07.The Balls Are Back In Town 08.Take You Shake You Break You 09.Cry Idiot, Cry 10.Testosterone
AC ANGRY – Line-Up:
-Alan Costa: Vocals & Guitar -Stefan Kuhn: Lead Guitar -Dennis Kirsch: Bass -Norman Steisslinger: Drums (joined the group to replace Sascha Waack after Sascha had to leave due to time constraints once the studio recordings had been completed)
Discography:
-BLACK DENIM (2013) -APPETITE FOR ERECTION (25. November 2016)
« Les OUTLAWS, je veux que le public réalise que nous sommes encore et toujours là, en écoutant notre double live :« Legacy Live » déclare l’un des fondateurs et frontmen de ce groupe de la légende Southern Rock, OUTLAWS, Henry Paul et cet artiste multi-talentueux, d’ajouter que : « notre but est de réunir les fans et amener OUTLAWS sous les feux de la rampe, une fois encore ».
Facile de croire que son vœu sera largement exaucé, car ce ‘live’ attire littéralement la lumière, l’approbation sans retenue sur cette formation unique qui alignait quarante ans au compteur, en 2015: une bande fière dans les triomphes comme les moins agréables moments, traversés au long des décennies.Car c’est bien d’héritage / de ‘Legacy’ et de fierté méritée, dont il est ici question avec ce double-live : les classiques et hits incontournables se mêlent aux morceaux post 70's, tout aussi forts, en une combinaison menée avec une passion, un plaisir de tout le sextette, qui s’entend, se ressent à vous en donner les poils !
OUTLAWS, après maints aléas de line-up, est à présent à nouveau, une bande de ‘frères’ soudés autour des deux des membres fondateurs, que sont Henry Paul, aux guitare / chant et Monte Yoho, à la batterie et des quatre autres pointures ajoutées depuis ces dernières années ou plus longtemps, dont, excusez du peu, de purs vétérans du Rock Sudiste des 70s, à savoir : le 'lead guitarist' et Outlaws depuis longue date, Chris Anderson, connu aussi pour ses collaborations avec, entre autres, Dickey Betts, Lucinda Williams, Hank Williams Jr et Lynyrd Skynyrd. Et on poursuit le line-up quatre étoiles avec le 'co-lead guitarist'-compositeur, Steve Grisham qui a rejoint le groupe mi-2013 mais est aussi co-fondateur du groupe star : Southern Rock all-stars, Brothers of the Southland, sans omettre de mentionner,au co-chant et claviers, Dave Robbins qui est l’un des membres fondateurs de Blackhawk et a ecrit des hits pour Restless Heart, Kenny Rogers ou encore Eric Clapton. Quant au bassiste/ chanteur et sixième membre des OUTLAWS, Randy Threet, celui-ci se produit aux côtés de Pam Tillis, Trisha Yearwoodet Blackhawk,ou sur le réseau de TV américain, ‘Nashville Star’. Inutile de préciser que pour ce qui est d’envoyer du groove, du feeling, de la sensation Rock Sudiste / Country Rock, on a affaire à des spécialistes, des vieux briscards qui savent assurément de quoi ils parlent !
"Legacy Live" est un must de 'classic Southern Rock' fait par des ‘Classic Outlaws’ qui ne se reposent pas pour autant sur leurs lauriers et délivrent, avec leur live, tout leur savoir-faire sous forme d’un Southern Rock vintage tout en étant moderne, Rock, Country Rock et hautement fédérateur.
La production restitue intelligemment la chaude ambiance du concert et participe à rendre l’esprit OUTLAWS : esprit caractérisé par ce rendu si particulier dû principalement aux trois ‘lead guitars’, aux multiples chanteurs, mais aussi au feeling que basse, claviers et batterie savent, eux aussi, si bien dégager.
Les OUTLAWS sont fiers de ce qu’ils font et ils peuvent l’être: c’est avant tout pour le public qu’ils jouent la musique qu’ils aiment : et ça, ça se salue et se savoure via ce double-live de belle facture !
Puisque les mots de Henry Paul ont servi à ouvrir cette chronique , que la conclusion de ce « Legacy Live » le soit par ceux du second co-fondateur de Outlaws, Monte Yoho :
« Pour OUTLAWS, il a toujours été question de musique et là, plus que jamais, de musique live ! »
Et quelle musique live, a-t-on envie d’ajouter : de quoi vous faire encore et toujours aimer le Rock’n Roll Sudiste si c’est possible ou vous le faire découvrir ;)
Tasunka
Tracklisting « Legacy Live »:
Digi Version
CD 1 01. Intro 02. There Goes Another Love Song 03. Hurry Sundown 04. Hidin' Out In Tennessee 05. Freeborn Man 06. Born To Be Bad 07. Song In The Breeze 08. Girl From Ohio 09. Holiday 10. Gunsmoke 11. Grey Ghost
CD 2 01. South Carolina 02. So Long 03. Prisoner 04. Cold Harbor 05. Trail Of Tears 06. It's About Pride 07. Waterhole 08. Knoxville Girl 09. Green Grass & High Tides Forever 10. (Ghost) Riders In The Sky
OUTLAWS Line-Up :
-Henry Paul - guitars, vocals -Monte Yoho - drums -Chris Anderson - lead guitar, vocals -Randy Threet - bass, vocals -Dave Robbins - keyboards, vocals -Steve Grisham - lead guitar, vocals