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ISKA Photos & Works
25 octobre 2019

DOUBLE CRUSH SYNDROME “Death To Pop” (French Review) - Official Videos "DeathTo Pop"/ "Drei Worte" - Tour 2020

 

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-- Release date: 25 Oct. 2019 --

Arising EmpireReclogo

 

Après « Die For Rock’n’Roll » qui, en hors d’œuvre, donnait le ton des réjouissances PunkRock / Metal, voici qu’arrive, pied au plancher, le second album des énergiques DOUBLE CRUSH SYNDROME et là, le plat de résistance est du meilleur tonneau Rock/Punk/Metal, fort réjouissant, donc et puisque la bande déclare son envie de ‘sauver le Rock’, pas moins, alors, ce second effort ne pouvait que se nommer « Death To Pop », natürlich ! :)
C’est que le trio allemand emmené par son doué, volontairement électron libre de guitariste, chanteur, producteur, réalisateur de films, Andy Brings, en a sous le pied et à eux trois, c’est à part égale que les vocaux, guitare, basse et batterie s’y entendent et savent incontestablement mettre le feu, faisant adhérer à chaque morceau et à la dose d’énergie dégagée et ce, avec une aisance remarquée. Le groupe se fait plaisir et sait le faire partager, d’autant que les titres sont nerveux, courts comme il se doit pour garder l’esprit Rock Punk, Metal en pleine action. Sur près de 37 minutes, l’accroche se fait du début à la fin, en passant notamment par le titre phare « Death To Pop », le tout autant fédérateur et remarqué « Souls To Sell » sur lequel les vocaux sont assurés par le bassiste Slick Prolidol ou encore par « Tonight », " We Cannot Be Ruled ", « Cocaine Lips », entre autres. En pur fun à l'image de la pochette, le final « Die Berühmten Drei Worte » détonne et en même temps, cette reprise de Andy Borg, confirme le tableau d’un artiste doué et ses potes de même talent, qui savent délirer. Fort d’une production à la hauteur, l’ex VENOM-THE TRACEELORDS-POWERGOD, délivre avec DOUBLE CRUSH SYNDROME un second album où ses comparses et lui s’y entendent pour fédérer ! 

Alors, volume à fond et à pleins poumons, on reprend en chœur avec DOUBLE CRUSH SYNDROME : eins, zwei, drei,« Death To Pop » !!!


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"Death To Pop” Tracklisting:

01. Whore
02. Death To Pop
03. Refuse To Kiss Ass
04. Cocaine Lips
05. Souls To Sell (Vocals by Bassist Slick)
06. I'm In Love With You
07. With Me
08. Mistakes We Love To Make
09. We Cannot Be Ruled
10. Tonight
11. Die Berühmten Drei Worte (Andy Borg cover)

 

-"Death To Pop" written by Andy Brings & Uwe Hoffmann
-Produced by Uwe Hoffmann & Andy Brings
-Mixed By Hoffmann, Brings, Mölders
-Mastered by Eroc

 

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- Andy Brings : V/G
- Slick Prolidol : B/V
- Markus Herzog : D

 

 


 

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14 octobre 2019

VOICE OF RUIN « Acheron » (French Review) - Official Videos "Thanatophobia" / "Salem"

 

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VOICE OF RUIN ne cessent de se bonifier au long des albums et leur troisième en titre, “Acheron », confirme l’excellence de ce groupe suisse, qui délivre, ici, un brulot réussi qui vous laisse entre autres, le cou pas dans son meilleur état, vue la séance de headbanging et chant rauque en chœur, que les onze morceaux font vivre sans faille. La collaboration avec, notamment, le maestro es production de haut vol, qu’est Fredrik Nordström paie et voit VOICE OF RUIN passer la vitesse supérieure, se dépasser et faire parler son Metal qui allie une solide source Death mélodique au Thrash, un petit zeste de Black avec, en ligne rouge, un groove Metal qui dévaste tout sur son passage. En effet, entre l’intelligence des compositions, la technique couplée avec le feeling sauvage de l’interprétation ou encore la profondeur des textes, l’alchimie opère on ne peut plus efficacement au long de chaque titre.

Inclassable et unique, le Métal de VOICE OF RUIN se vit et se ressent jusqu’au fond des tripes, via notamment des imparables dont « Mass Grave », « Salem », «Suffer- Recover », « Blessed Be The Fruit », « Holy Venom », « Rotting Crows »!

« Acheron » est une claque comme on aimerait s’en prendre plus souvent, d’autant que la troupe a pour second foyer, la scène, alors, en live, nul doute que l’Acheron va faire son office et ouvrir les portes à un déferlement de ce Metal unique que délivre VOICE OF RUIN (dates concerts: ici).

Acheron is…
A branch of the River Styx
A doorway to the Underworld
A connection between life and death
A link between the present and the past

 

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01. Thanatophobia
02. Rotting Crows
03. Salem
04. Holy Venom
05. One Way Overdose
06. Dark Water
07. Mass Grave
08. Suffer – Recover
09. Hypochondriac
10. Parasomnia
11. Blessed Be the Fruit


-Produced and recorded by Henrik Udd & Fredrik Nordström (In Flames, Arch Enemy, Architects, Dimmu Borgir…) at Studio Fredman (Gothenburg, Sweden) during December 2018
-Cover by Metastazis

 

 


 

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Randy – V
Nico – G
Darryl - G
Erwin - B
Dario – D

 


 

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11 octobre 2019

METALITE "Biomechanicals" (French Review) - Official Videos "Far From The Sanctuary' / "Apocalypse"

 

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==> Out Oct. 25, 2019

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METALITE est récent de par sa formation en 2015 mais la détermination notamment celle du membre fondateur et guitariste, Edwin Premberg, de donner le jour à un Metal mélodique moderne qui se démarque, a des effets accélérants sur le groupe, puisqu’après avoir intégré au line-up, en 2016, trois autres membres permanents bardés d’une expérience musicale incontestable, après avoir sorti un premier album salué en 2017, voilà que METALITE revient et 2019 est assurément une année à marquer d’une pierre blanche pour les suédois, puisque non seulement le groupe s’est vu signé chez non moins que AFM Records, que le poste de chanteuse a été remplacé avec succès par la talentueuse Erica Ohlsson et enfin et non des moindres, 2019 est marquante car le successeur de « Heroes In Time » (2017), « Biomechanicals » fait sa sortie cet octobre, pile deux ans après son prédecesseur. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que c’est une sortie qui compte par sa qualité car après deux ans, la troupe s’est bonifiée encore et déboule avec onze titres au Metal mélodique puissant et accrocheur mixé de senteurs électroniques, un mélange qui fait son effet. La richesse de la production donne sa pleine saveur et met en valeur les nouvelles compositions qui se voient toutes être travaillées autant que bardées de feeling, sans omettre de mentionner une interprétation de tous que ce soit au niveau vocal où la nouvelle recrue fait merveille, que au niveau des instruments où chacun se donne sans retenue et met ses capacités au plein service des titres.

L’alchimie fonctionne incontestablement et fait de « Biomechanicals » le meilleur ambassadeur de la qualité, la détermination et le plaisir évident de s’exprimer de METALITE : recommandé donc !


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“Biomechanicals” Tracklisting:

01- Far From The Sanctuary
02- Apocalypse
03- Biomechanicals
04- Warrior
05- Mind Of A Monster
06- World On Fire
07- Eye Of The Storm
08- Breakaway
09- Social Butterflies
10- Rise Of The Phoenix
11- Victory Or Death

 

- Produced once again by renowned Danish producer/mixer Jacob Hansen [Volbeat, Evergrey, Amaranthe] at Hansen Studios
- Artwork by: Darkgrove (Jan Yrlund)

 


 

 

 


 

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Erica Ohlsson : V
Edwin Premberg : G
Robert Örnesved : G
Robert Majd : B
Lea Larsson : D


 

 


 

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5 octobre 2019

CROW's FLIGHT "The Storm" (French Review) - Official lyric Video "Circle Of Pain"/ (Audio) "Forevermore"

 

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CROW’S FLIGHT a connu les aléas communs à beaucoup de groupes, à savoir des débuts prometteurs, salués notamment au travers d’un EP éponyme sorti l’année de leur création en 2008, puis, salués tout autant lors de la sortie de leur premier opus « The Calm Before » en 2011, suivi par la confirmation qu’apporte toujours le juge impartial qu’est la scène, ce qui laissait grand ouvert l’avenir pour la troupe, seulement, l’envolée de ce corbeau au beau plumage Métal mélodique / Hard Rock a été stoppée net par le fléau qui frappe trop de formations, à savoir les changements de line-up, ce qui n’a pas manqué lorsque l’un des trois membres fondateurs, le chanteur en l’occurrence, a tiré sa révérence. Heureusement, il en faut plus à CROW’s FLIGHT et son envie viscérale de délivrer un Metal mélodique solide, hymnique et accrocheur qui frappe dans le mille, alors, le corbeau plus déterminé que jamais, s’envole à nouveau après quelques années d’hibernation, fort de nouveaux membres aux batterie et vocaux et force est de constater que la voix notamment fait son office avec panache en collant parfaitement au Metal mélodique/Hard Rock riche et multi facettes, que propose le retour de CROW’s FLIGHT : un retour en force de persuasion sous forme de leur second album au titre évocateur : « The Storm ».

Les riffs sont puissants, les hymnes se succèdent, le martèlement et feeling de la section rythmique font leur office avec conviction, les guitares s’envolent ou marquent le mid tempo, les vocaux explorent la même palette hymnique, forte et mélodique à la fois, la basse se distingue et quant aux claviers, ceux-ci ne sont pas en reste en jouant leur rôle et contre-point avec la même justesse, les mêmes enthousiasme et savoir-faire que ses comparses. Il suffit d’entendre la richesse de chaque titre et la palette est large, alors, au choix : « The Mercenary », « Darkness Within », « Final sacrifice », « Can’t Be Undone », « Sea Of Lies », « A Candle In The Storm », « Circle Of Pain » ou, en bonus track, la surprenante et réussie reprise du titre de 1983 de GENESIS : « Home By The Sea ». « The Storm » sonne, qui plus est, avec la puissance des battements d’ailes de CROW’s FLIGHT qui signe là, une envolée réussie et convaincante avec son Métal mélodique solide, mâtiné d’un Hard Rock nourri à la source des 80’s.

2019 marque un retour gagnant pour CROW’s FLIGHT, alors, après « The Calm Before» en 2011, voici « The Storm » en 2019 : la calme précède toujours la tempête et elle se nomme CROW’s FLIGHT !

 

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“The Storm” Tracklisting:

01- Intro
02- Forevemore
03- Circle Of Pain
04- The Mercenary
05- Read Between the Lines
06- Final Sacrifice
07– A Candle In the Storm
08- The Path To Follow
09- Sea Of Lies
10- Darkness Within
11- Can’t Be Undone
12- Home By The Sea (Cover of GENESIS - Bonus Track)

 

-Mixed & Mastered by Emil Pohjalainen 

-Produced by Crow’s Flight 

-Backing Vocals by Jukka Lamminen 

-Cover Artwork by Sami Kivelä


 

 

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-Markku Kuikka (Ex- Thaurorod, Kenziner, Status Minor)
-Marko Vehmanen : G 
-Erno Hanhisalo : G
-Risto Raivio : K
-Jussi ‘Leba’ Lehto: B
-Timo Rajala : D (Ex-Ancara) 

 


 

 


 

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 CROW’s Flight Discography:

2008- EP “Crow’s Flight”
2011- “The Calm Before“
2019- “The Storm”


 

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4 octobre 2019

MISTER MISERY "Unalive" (French review) - Official Videos "My Ghost"/"The Blood Waltz" - The Unalive Tour (France: 02/2020)

 

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Facile de comprendre l’engouement de Arising Empire pour sa nouvelle signature très prometteuse, Mister Misery, quand on se prend en direct et dès le premier morceau, toute l’énergie intacte, l’enthousiasme et la mixture sans contrainte de style et bien inspirée, délivrée par le quatuor suédois : en effet, du premier titre au dernier, Mister Misery offre une pièce aussi réelle dans ses thèmes rudes qu’horrifiquement entrainante dans sa livrée musicale et visuelle et ce, avec la même redoutable efficacité qui emporte dans son tourbillon, un tourbillon imparable où se mêlent avec aisance, Glam gothique envoutant, Hard Rock mélodique, Rock’n Roll en attaque. Basées sur de solides riffs et soli de guitares qui atteignent leur cible avec une précision accrocheuse, animées tout autant par des hymnes et une force de frappe bien inspirées que par des vocaux du même ordre, les compositions de Mister Misery bénéficient d’atouts évidents, sans conteste. Avec son premier album « Unalive », le quatuor de vampires met la barre haut pour son entrée en lice sur la scène musicale et peut se targuer d’avoir assuré à la fois avec une autoproduction à la hauteur, des compositions inspirées, une interprétation qui fait mouche et une énergie, une envie de marquer les esprits, qui font adhérer sans conteste: il suffit de se plonger dans le très bon « My Ghost », ou encore « Stronger », « Rebels Calling », « Alive » mais chaque titre le vaut, alors, à chacun de faire sa play list.

MISTER MISERY n’existe que depuis 2018, mais possède pourtant déjà l’arsenal des capacités d’un groupe qui devrait aller loin et a le vécu de quelqu’un qui a pris la rudesse de la vie en pleine face mais sait transformer les mauvaises expériences en du positif : un sacré cocktail, en somme, qui se traduit par des morceaux vivants et accrocheurs, animés par un groupe qui en veut et à juste titre : MISTER MISERY !

Les suédois passeront par la France pour un concert, à Paris le 02 novembre 2019 et en février 2020 pour leur « The Unalive Tour »: alors, à vos agendas et en attendant, ne vous retournez pas, car comme le susurre MISTER MISERY : le croque-mitaine est derrière vous….


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“Unalive” Tracklisting :

01. The Blood Waltz
02. You And I
03. Tell Me How
04. My Ghost
05. Legion
06. Dead Valentine
07. Alive
08. Rebels Calling
09. Stronger
10. Live While You Can


 


 

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MISTER MISERY Lineup :

Harley Vendetta : V / G
Alex Nine : G
Eddie Crow : B
Rizzy : D

 


 

 

 ** Video production by Patric Ullaeus at Revolver (Dimmu Borgir, In Flames, Arch Enemy) **


 

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3 octobre 2019

ALFAHANNE "Atomvinter" (French Review) - "Atomvinter Feat. Hoest" First Single (Audio)

 

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IndieRecordings

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« Atomvinter » marque une quatrième pierre à l’édifice des uniques ALFAHANNE et de leur mixage des styles qui se remarque, puisqu’il est non moins que l’inspiré mélange entre Black Metal de pure souche, Rock solide sur ses bases classiques, Punk et Goth teinté de New Wave ténébreuse. Avec ce nouvel album, l’hiver atomique, « Atomvinter », s’abat sur l’humanité et ALFAHANNE utilise toute son expérience, son savoir-faire autant musicalement que du point de vue de la composition, de l’interprétation ou de la production et du coup, réussit avec force et passion férocement sombres à faire vivre, sentir l’urgence, la menace, les espoirs rudement laissés, la férocité demandée en réaction face à cette implacable situation d’annihilation de tout ce qui vit. Au long des neuf compositions convaincantes et à la rude beauté, les cinq cavaliers de l’Alfapocalypse exécutent avec un plaisir évident, au choix : riffs incisifs et guitares marquantes, chant écorché et/ou lancinant qu’il soit en suédois ou en anglais, batterie et basse menaçantes et hypnotiques, claviers dosés ce qu’il faut et le tout bénéficiant d’une production vigoureuse qui sait mettre en valeur la poigne qui caractérise chaque atmosphère. Habitué à avoir des guests à ses côtés, le quintet accueille cette fois, non moins que Nag sur le très efficace « Alla Mot Alla » et Hoest (TAAKE) pour le non moins prenant premier single « Atomvinter »; la boucle est bouclée, tout est en place, ALFAHANNE reviennent et vous immergent dans l’hiver nucleaire, où, comme il est dit : « tout ce qui vit, va mourir ».

Les suédois délivrent avec « Atomvinter » un album qui fait son effet et qui porte la marque d’un groupe à la valeur assurée et reconnue à juste titre : ALFAHANNE.

 

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ATOMVINTER Tracklist:

- Atomvinter (Feat. Hoest) -4:25
- Lovers Against The World -3:25
- Alla Mot Alla (Feat. Nag) -4:00
- A Place To Call Home (Ärla Boggie) -5:24
- Sluten Cirkel -4:01
- Sakna Mig Som Om Jag Vore Död -3:44
- The Heavy Burden -5:27
- Himlen Kan Vänta -2:58
- En Tight Knut -6:22

 

-Written and produced by Alfahanne
-Recorded and mixed at Spider Studio by Stefan Eriksson
-Drums recorded at FU-studio by Stefan Eriksson
-Mastered by Stamos Koliousis

 -Artwork and illustrations for ALFAHANNEs Atomvinter by Images by Snaxx

 

 

 

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Line-Up:

Pehr Skjoldhammer : V / G
Fredrik Sööberg : G
Jimmy Wiberg : B
Niklas Åström : D
Stefan Eriksson : K

 


 

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ALFAHANNE "Det Nya Svarta" (2017) (French Review)

 


 

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2 octobre 2019

DAWN OF DESTINY "The Beast Inside" (French Review) - Already Dead (Official Lyric Video)

 

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Dawn Of Destiny n’a eu de cesse d’être prolifique depuis ses débuts en 2005 sous la houlette de son (notamment) compositeur, bassiste et leader, Jens Faber, puisqu’en 2019, c’est non moins que le septième album de la bande qui déboule sur la planète Metal, à savoir « The Beast Inside ». Dawn Of Destiny a toujours su délivrer un Metal riche et varié, qui certes s’appuie sur un Power Metal nerveux et bien léché aux vocaux qui le sont tout autant, mais un Metal qui sait tout aussi bien voyager en terre plus vaste ou sombre, en chant growl mais comme le dit leur chanteuse à la voix claire ou des plus appropriées à l’exercice, Jeanette Scherff : un chant en growl quand le contexte et le feeling du morceau le demandent. Et au long de « The Beast Inside », cette idée d’être au service du feeling, du contexte du morceau sans restriction de genre, est respectée puisque le Metal est au rendez-vous et dans toute sa palette variée encore, qu’il soit Power, puissamment convaincant, mélodiquement prenant, le tout collant au plus près et donnant vie avec force et feeling à l’histoire bien sentie que narre le nouvel opus.

Entre un chant, des choeurs, des instruments ostensiblement dédiés à délivrer et faire parler la poudre et l’émotion des nouveaux morceaux ainsi que des mixage et mastering à nouveau dus aux mains expertes de Dennis Köhne (Lacuna Coil, Sodom, Orden Ogan), force est de constater que l’accroche est au rendez-vous via ces atouts, faisant de « The Beast Inside » un album tout simplement efficace ! D’ailleurs, RAM IT DOWN RECORDS ne s’y est pas trompé en signant Dawn Of Destiny en mai 2019 !


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Mix and mastering handled once again by Dennis Köhne (Lacuna Coil, Sodom, Orden Ogan)

Watch out for the 50 page story book !

 

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Jeanette Scherff - lead vocals
Jens Faber - guitar, bass, piano, backing vocals
Dirk Raczkiewicz - keys & synths
Philipp Bock – drums

 


 

DAWN OF DESTINY Discography:

“Begins” (2007)
“Rebellion In Heaven” (2008)
“Human Fragility” (2009) 
“Praying To The World” (2011)
“F.E.A.R.” (2014)
“To Hell” (2015)
“The Beast Inside” (2019)


 

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1 octobre 2019

CHRYSIS "Never Say Never" (French Review)

 

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Avec « Never Say Never » et sa facture Hard Rock/ Heavy Metal des origines et intemporelle à la fois, en ouverture de l’album éponyme, le ton est donné : CHRYSIS est dans la place, qu’on se le dise !

L’accroche se poursuit avec, notamment, « Not A Day To Die » au Heavy Rock balancé Boogie et énergique au possible, avec « We Are Nothing » et un retour au Heavy où la guitare se donne à nouveau à plein régime et se montre efficace en diable, comme au long de chaque morceau d’ailleurs, l’instrument se révèlant être l’atout remarqué qui caractérise CHRYSIS. Le chant prouve, quant à lui, toutes ses qualités surtout lorsque la voix se fait plus rugueuse, répondant au mieux aux instruments. D’ailleurs, sur « Somebody» et son musclé Heavy hymnique, la voix est poussée en scream pour le plus grand plaisir de ceux qui battaient déjà le rythme en écoutant, prouvant que le duo guitare/chant poussé, fonctionne en plein sous cette configuration. « Take It Up » s’exprime en mode plus mid tempo avec des chœurs, une ritournelle et des volutes à la six cordes qui scandent l'ambiance et font de cet autre morceau l’une des accroches de « Never Say Never ». Et voguent les neuf titres qui passent tous le test d’accroche haut la main, montrant la palette de CHRYSIS via ses couleurs Heavy/Hard Rock bardées d’énergie et de détermination à faire parler la poudre de la part du quatuor hexagonal autour de son duo originel aux chant et guitare, respectivement Patrick Gestède et Dominique Melin. Duo de potes qui a connu deux périodes pour CHRYSIS, celle de leurs débuts prometteurs des années 80 et le retour sur le devant de la scène en 2009 après un silence certes long mais qui valait l’attente : attente récompensée en 2019 avec un album au titre logique puisque, et CHRYSIS le prouve, il ne faut ‘jamais dire jamais’ ! D’ailleurs, il est à noter leur bassiste, Nicolas Sotiriou, que le groupe remercie et je cite : « d'être parvenu à débloquer une situation très compromise », rendant ainsi possible l’aboutissement de « Never Say Never ».

En somme, « Never Say Never » possède la qualité d’une formation qui en veut tel le phoenix renait de ses cendres et qui a le talent pour exprimer son potentiel puisqu’il est évident d’être, ici, en présence de musiciens/chanteur aguerris, d’un travail de composition à l’inspiration réussie et d’une production et mixage-mastering, à la hauteur des attentes, faisant de « Never Say Never », une pièce de ce Heavy Metal/Hard Rock intemporel et moderne à la fois, qui sonne et résonne encore et encore dans le lecteur, une pièce à se procurer pour le plaisir de pur Heavy/Rock’n’Roll qu’elle offre. Nul doute qu’en live, la troupe met le feu tout autant,
alors, long live Rock’n’ Roll avec le phoenix CHRYSIS ! 

 


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KRYSIScredits

 


CHRYSIS Line-Up :

Patrick Gestède : V
Dominique Melin : 
Nicolas Sotiriou : B 
René-Gabriel Guérard : D


 

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27 septembre 2019

ENTRAILS “Rise of the Reaper” (French Review) - First Single "Crawl In Your Guts" ( Official audio)

 

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Avec « Rise of The Reaper », ENTRAILS et son SweDeath Metal est de retour et avec un mur du son qui vous secoue la carcasse via des morceaux justement mis en valeur et qui possèdent la patte que les suédois aiment apposer, à savoir un Death Metal old shool brutal et au son moderne qui dévaste tout sur son passage et donne sa force de persuasion à la majorité des titres qu’ils soient en attaque incisive ou en mid-tempo. Malgré une nouvelle fois de gros aléas au niveau du line-up, la détermination a d’autant plus prédominé, celle d'amener à son terme le nouvel album : chose accomplie . Menée par son frontman, compositeur et guitariste, Jimmy Lundqvist, la horde Entrails assène sans concession, son Death brutal à tous niveaux, instruments et voix en tête et notamment via des points forts dont « For Whom The Head Rolls »,« Crawl In Your Guts », « For Hell », « The Pyre », « Gravekeeper », « Destination Death », « Destruction » ou encore les 07 :39 du remarqué « Cathedral Of Pain » aux lourd Death incisivement rugueux comme une marche mélodiquement sombre et funestement fascinante.

« Rise of The Reaper » se révèle être une force de frappe certes plutôt classique dans sa facture mais qui fédère, ce qui est à noter tout comme sa particularité : en effet, Lundqvist, lors de la phase de composition, s’est replongé dans le passé de la formation, à savoir ses compositions qui avaient à la fois vu le jour avant l’apparition du groupe en 1990/91, de même dans celles créées après la suspension de ENTRAILS au milieu de ces mêmes années 1990 et le tout a alimenté son inspiration pour « Rise Of The Reaper » : une inspiration issue du passé et nourrie d’un souffle nouveau, en résumé.

Sans concession et fidèles à eux-mêmes, à leur ‘SweDeath Metal Old School ’ au son moderne et à leur ligne: « Death Metal And No Fucking Else ! », ENTRAILS confirment avec « Rise Of The Reaper », combien la troupe se positionne assurément comme une formation qui en veut et qu’on aimerait voir s'étoffer encore pour monter en ligue 1 !


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 “Rise of the Reaper” Tracklist:

- Rise of the Reaper (Intro) - 1:20 
- For Hell - 3:33 
- Miscreation - 4:23 
- The Pyre -4:05 
- In the Shape of the Dead - 5:06 
- Gravekeeper - 3:51 
- Destination Death - 3:30 
- Destruction - 2:42 
- Crawl in Your Guts - 2:55 
- For Whom the Head Rolls -3:19 
- Evils of the Night - 2:25 
- Cathedral of Pain - 7:39 
- The End (Outro) -1:53


- Recorded at Lundqvist's own Bloodshed Studio
- Mixing and mastering duties by duties by Dan Swanö 

- Marc from Art Wars media design realized the cover art and whole layout for the new album

 

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ENTRAILS Line-Up:
Jimmy Lundqvist - G
Pontus Samuelsson – V/B
Markus Svensson - G
Arvid Borg - D

 

ENTRAILS Discography:

2009 - Reborn - demo
2009 - Human Decay - demo
2010 - Tales From The Morgue - album - FDA Rekotz
2011 - The Tomb Awaits - album - FDA Rekotz
2013 - Raging Death - album - Metal Blade Records
2014 - Berzerk - 7" - Metal Blade Records
2014 - Resurrected From The Grave-Demo Collection - album - Metal Blade Records
2015 - Obliteration - album - Metal Blade Records
2017 - World Inferno - album - Metal Blade Records
2019 – Rise Of The Reaper album – Metal Blade Records

 


 

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==> ENTRAILS "World Inferno" (2017) - French Review, click here / chronique ici

 


 

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22 septembre 2019

CORELEONI "II" (French Review) - Official Video "Queen Of Hearts" - European The Travellin’ Men Tour

 

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==> ‘II’ out worldwide on September 27th, 2019 by AFM Record

 

CoreLeoni, ce projet ‘high class’ s’il en est de Leo Leoni (GOTTHARD) (voir line-up), s’est distingué via un premier album « The Greatest Hits Part 1 » salué à juste titre et l’envie, l’appétit pour sortir un second opus a pris Leo Leoni aux tripes et lui et ses complices ont été bien inspirés de continuer plein gaz l’expérience avec un nouvel opus. En effet, le dernier né, intitulé logiquement « II », est une réussite, lui qui sait afficher les qualités de son prédécesseur, qualités qui font adhérer amplement, à savoir la passion, le réel plaisir dégagé et contagieux et la classe autant d’un point de vue feeling que maitrise instrumentale, vocale et hymnique sans omettre de mentionner le cœur/ le moteur qui réside en une production de haut vol et inspirée qui a su allier l’analogique des guitares et instruments à une production moderne au possible et maitrisée. Du coup, avec un tel son, les reprises des morceaux des premières heures de l’incontournable GOTTHARD font des étincelles via leur pèche Hard Rock intemporelle revisitée et moderne à la fois, hymnique au possible qui donne envie de monter le son, s’époumoner en chœur, headbanger, s’agiter tout du long des reprises des titres de GOTTHARD et des deux nouvelles compositions tout aussi redoutables d’efficacité que leurs ainées ou encore sur la cover de John Lee Hooker.

Avec le line-up de choix composé des mêmes complices et amis que pour le premier album, le projet CoreLeoni est de retour qu’on se le dise et animé de la même passion intacte, alors, prêts pour la claque assurée par l’incontournable Leo Leoni et ses complices, d’autant que tous sont dans une de ces formes à la fois aux instruments et que dire du chant décidément bluffant !

Un nouvel album, une signature chez AFM et une tournée pour parachever le tout, décidément CoreLeoni assure et en clin d’œil au thème final de « II », à savoir celui du film de 1972, « Le Parrain » et de son personnage principal Don Corleone, on a envie d’appeler CoreLeoni en clin d’œil donc et sous forme de coup de chapeau, à la fois: Don CoreLeoni ;)

 

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“II” Tracklist: songs from the early Gotthard days are coming along in a completely new sound outfit. Including 2 new songs and a John Lee Hooker cover -

01 Waltz No. 2 (Dmitri Shostakovich cover)
02 Standing In The Light
03 Love For Money
04 Open Fire
05 Angel
06 And Then Goodbye (Bonus Digi/Vinyl)
07 She Goes Down
08 No Tomorrow
09 I'm Your Travellin' Man
10 Cheat And Hide (Bonus Digi/Vinyl)
11 Make My Day
12 Mountain Mama
13 Queen Of Hearts (new song / single)
14 Don't Get Me Wrong (new song)
15 Boom Boom (Bonus Digi/Vinyl)(cover version of John Lee Hooker )
16 Il Padrino (Giovanni ‘Nino’ Rota’s ’The Godfather Theme’ cover)

 

- Recording process in Yellow House Studio in Lugano/ Wisselord Studio
- Cover artwork: Ekaterina Bossova
- Production: Paul Lani / Darci Proper

 

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CORELEONI Line-Up:

- Leo Leoni: Guitars (Gotthard - founding member)

- Ronnie Romero: Vocals (Rainbow-singer since 2016 and Lords Of The Black founding member/ex-singer)

- Hena Habegger: Drums (Gotthard - founding member)

- Jgor Gianola: Guitars (ex-Gotthard-part of Gotthard during the early days /U.D.O./Jorn Lande)

- ila Merker: Bass (Soulline)

 


 

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21 septembre 2019

WOLCENSMEN "Fire In The White Stone" (French Review) - (Official Audio/ 1st Single) ”Lorn And Loath”

 

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IndieRecordings

 

 

Quand les atmosphères ont une place et un rôle aussi prépondérants dans la musique ou plutôt dans la pièce musicale proposée, alors, on est certain d’être en présence d’une œuvre qui marque et c’est ce qu’est "Fire In The White Stone" de Wolcensmen grace à ses atmosphères soignées et profondes croisées avec un Folk d’une beauté obscure qui s’unissent tous pour vous plonger en immersion dans un univers au feeling intemporel accompli et naturel à la fois et qui sait incontestablement faire vibrer.

Avec le successeur de l’acclamé premier album, 'Songs from the Fyrgen' (réédité en 2018 par Indie Recordings), son toujours inspiré maitre à créer et composer, Dan Capp (Winterfylleth) continue d’exprimer son inspiration profonde qui allie mythes et passion pour la musique sombre et acoustique, en venant proposer son projet : une saga intemporelle qui parle de mystère et de destin, saga nourrie d’un Folk mythologique sombre, mélancolique, puissant en émotions et force subtile mais inaltérable, et une saga tout autant nourrie à part égale de vocaux masculins, féminins, d’instruments intemporels (notamment guitare classique, kantele (cithare finnoise), flute, violoncelle, tambour) tout autant que d’atmosphères riches en sensations qui alimentent, répandent et entretiennent l’essence dramatique de ce convaincant croisement entre l’esprit de la quête du Graal, Wagner ou Tolkien, qu’est « Fire In The White Stone ». Les efforts et le soin particulier apportés à la composition, l’interprétation et la production de ce second opus de Wolcensmen paient, puisque « Fire In The White Stone » se révèle être un concept album qui fonctionne et vous entraine avec sa nature mythologique, sa profondeur, son feeling et sa richesse, dans une immersion totale à ses côtés.


Il est à noter que cette immersion musicale prenante se voit compléter par les 12 000 mots qui forment la courte histoire écrite par le maitre à penser de Wolcensmen, Dan Capp, et jointe à l’album, afin de parachever une œuvre épique élaborée et réussie où l’atmosphère est reine, j’ai nommé « Fire In The White Stone » !

 


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"Fire In The White Stone" Tracklist:

01 Foreboden + 02 A Gainsaying -5:24 
03 Lorn and Loath -7:35 
04 Hunted -4:22 
05 The Woodwose -0:51 
06 Of Thralls and Throes -5:12 
07 The Swans of Gar's Edge -6:32 
08 Maidens of the Rimeland -3:48 
09 Fellowship -1:47 
10 Sprig to Spear -5:43 
11 Fire in the White Stone -8:27

 

- Produced by John A. Rivers - known for his work with Dead Can Dance
- Also featured are contributions from Jo Quail (cello), Aslak Tolonen of Nest (kantele) and Jake Rogers of Visigoth/Gallowbraid (flute), among several others. 
- Cover Art by French master David Thiérrée

 

 

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19 septembre 2019

DIVIDED MULTITUDE “Faceless Aggressor” (French Review) - Official Music Video "Counterparts"/"False Prophecy" (Lyric Video)

 

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==> Release Date: 20 Sept. 2019

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La force de DIVIDED MULTITUDE repose sur leur capacité remarquée et remarquable de composer des morceaux inspirés et travaillés, où la technique se dispute la part belle à une interprétation qui vient des tripes; les norvégiens étant visiblement investis et ravis de donner vie à chacun de leurs titres. La troupe s’en est vue être d'ailleurs connue et reconnue par un public devenu fidèle et par leurs pairs grâce à un Metal Prog’ de haut vol et accrocheur autant que riche. Aussi, est-ce une bonne nouvelle que de retrouver DIVIDED MULTITUDE avec leur septième et dernier opus en date : « Faceless Aggressor » et il était temps, le dernier étant sorti voici déjà quatre ans.

Avec « Faceless Aggressor », donc, force est de constater que le socle qui fonde le groupe est toujours bien présent, puisque les compositions et interprétation qui ont assis la réputation de DIVIDED MULTITUDE, font mouche d’entrée de jeu et côté nouveautés, il est à noter que le poste de chanteur a été renouvelé et est maintenant tenu et avec brio, par Jan Thore Grefstad, même si Sindre Antonsen pousse toujours la note mais avec pour priorité, la guitare. Au long de tout « Faceless Aggressor », l’approche musicale évolue et est ici plus marquée par le Melodic appuyé par une force de frappe carrée et incisive de Power aux riffs remarqués, le tout étant nourri de ce Prog’ qui fait son office avec les habituelles inspiration et conviction propres au groupe. Les morceaux se caractérisent par une faculté à vous faire accrocher avec une facilité notable, que ce soit au travers des fleurons que sont notamment « Counterparts », « Divided Multitude », « Out Of The Ashes », « False Prophecy », de la reprise originale de « Uninvited » (Alanis Morissette), de « Prosperity Divine » ou encore via le titre final qui complète et est à l’image de cet album autant réussi qu’efficace : à savoir, « Psalm Of A Soldier » aux guests vocaux de choix (voir ci-dessous).

« Faceless Aggressor » vaut le détour entre ses nouveaux morceaux qui se montrent à la hauteur et un son du même haut et puissant calibre, qui confirment la qualité de DIVIDED MULTITUDE. Un groupe que le deal de distribution mondiale récemment signé avec Ram It Down Records, devrait faire toujours plus découvrir autour de la planète et notamment en France, ce qui ne sera que justice!

 


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"Faceless Aggressor" Tracklist:

01.Chapter 2
02.Faceless Aggressor
03.Counterparts
04.Divided Multitude
05.Uninvited (cover of Alanis Morissette)
06.Prosperity Divine (The Machine Of Mammon)
07.False Prophecy
08.Evolve
09.Out Of The Ashes
10.Psalm Of A Soldier (feat. Gary Wehrkamp/ SHADOW GALLERY, Ida Haukland / TRIOSPHERE)

-Mixed and mastered by Jacob Hansen (Evergrey, Pretty Maids, Volbeat)

 

 

DIVIDED MULTITUDE Line-Up:

-Jan Thore Grefstad –V (known from Saint Deamon, Highland Glory and his successful participation on the Norway's Idol show)
-Christer Harøy -G
-Sindre Antonsen -G / V
-Rayner Harøy -B
-Anders Vinje - D

 

 


 

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11 septembre 2019

SINNER "Santa Muerte" (French Review) - Official Videos "Fiesta Y Copas"/"Santa Muerte"/"Death Letter"/"Last Exil Hell"

 

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  ==> Release Date: 13 Sept. 2019 <==

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SINNER a de la bouteille en matière d’expérience sur la scène musicale en tant que groupe, et ne serait-ce que celle de son mentor, Mat Sinner, pierre angulaire du Metal et notamment Heavy, Hard Rock qui cumule à lui seul plusieurs décennies d’activité au compteur, sans parler des innombrables albums, concerts et groupes au sein desquels sa dextérité de chanteur, bassiste et producteur fait référence. Alors, un nouvel opus de SINNER est d’avance une valeur sûre côté accroche surtout après le très réussi « Tequila Suicide » (2017), et c’est bien le cas avec un « Santa Muerte » énergique et réjouissant, où se retrouve cette patte immédiatement reconnaissable qui fait apprécier, à juste titre, le Hard-Heavy aux touches Bluesy et surtout aux senteurs THIN LIZZY de la troupe d’outre-Rhin. Effectivement, au long de « Santa Muerte », la même dynamique, la même inspiration, le même énorme plaisir qui animent tout SINNER album après album, sont au top de leur forme au long des derniers morceaux et l’accroche est, quant à ell,e à nouveau au rendez-vous, ce qui est à souligner, car on pourrait redouter une faiblesse dans la capacité à garder la flamme intacte mais et c’est là l’une des grandes qualités de SINNER, c’est que l’adhésion fonctionne encore et toujours malgré les années ; ce ‘je ne sais quoi’ contagieux qui fait s’agiter en cadence, chanter en chœur de façon spontanée, SINNER le conservent et savent incontestablement le transmettre.

Hard Rock, Heavy dynamiques, festifs et enlevés, Blues prenant et clins d’oeil à THIN LIZZY que Mat SINNER apprécie toujours autant, les titres ont décidément le ticket gagnant, tout comme la nouvelle recrue au sein de SINNER : Giorgia Colleluori (Eternal Idol). Aux côtés de Mat Sinner pour le chant, les titres voient désormais une couleur féminine ajoutée à leur palette et c’est particulièrement sur la reprise du Bluesman Son House– « Death Letter »- que la nouvelle arrivée fait sensation. Et en parlant de sensation, les guests notamment vocaux, l’excellent Ronnie Romero (RAINBOW, CoreLeoni) et le non moins talentueux Ricky Warwick (Black Star Riders) respectivement sur le festif « Fiesta Y Copas » pour le premier et « What Went Wrong » « pour le second, font leur effet eux aussi. Un son chaudement dynamique, des titres animés par la passion de leurs interprètes qui aiment visiblement toujours autant ce qu’ils font, des guests au diapason, « Santa Muerte » a décidément de quoi réveiller les morts de façon festive et leur dame en particulier, la « Santa Muerte » (d’ailleurs représentée avec talent par l’artwork de Sledgehammer Graphics, tout comme celui de « Tequila Suicide » en 2017).


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01. Shine On
02. Fiesta Y Copas (Feat. Ronnie Romero - Rainbow)
03. Santa Muerte
04. Last Exit Hell
05. What Went Wrong (Feat. Ricky Warwick - Black Star Riders)
06. Lucky 13
07. Death Letter (Blues) (Delta Blues Icon: Son House - cover)
08. Craving
09. The Wolf
10. Misty Mountain
11. The Ballad Of Jack
12. Stormy Night

 


 

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4 septembre 2019

HAWK EYES "Advice" (French Review) - (Lyric Video) "Royal Trouble" / "Smokes" (Feat. Richard O'Brien/ Music Video)

 

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==> Release Date: 06 sept, 2019 <==

 

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Tel un kaléidoscope, le nouvel et attendu album de HAWK EYES, est composé de titres qui tous fonctionnent au mieux par eux-mêmes et pourtant, sont bel et bien les pierres et à part entière, qui font partie d’un tout, l’opus nommé « Advice ». Avec ce quatrième effort qui fait impression, le quatuor anglais revient toujours aussi déterminé et investi, avec de nouvelles compositions, des textes, un son et une production qui marquent de par leur dynamisme, leur profondeur, leur faculté à vous sortir de votre zone de confort, à explorer de nouveaux territoires et vous embarquer dans des atmosphères toutes prenantes et diversifiées: c’est que la palette d’expression de HAWK EYES se révèle, ici, être variée, riche, libre dans son exécution et son expression et fait que l’accroche opère du premier au dernier titre. Il est à souligner la place de choix volontairement faite aux soli de guitares, qui se voient être redoutablement imparables pour créer et faire vivre, ressentir, la force des nombreuses atmosphères et le feeling qui courent tel un fil rouge au long des morceaux. Au choix, « Advice », « Follow Me », « New Greek Fire », « Keep ‘Em Cold », « Royal Trouble », « Win On Win », « State Of Opposition », « Smokes » avec non moins que Richard O'Brien, acteur et écrivain de son état, qui pose sa voix sur le morceau, ces titres, tout autant que leurs comparses, bénéficient tous des atouts qui viennent de se voir cités.
Nul doute qu’avec « Advice », HAWK EYES signe son retour avec brio, un retour accrocheur grâce à la palette faite de diversité, de détermination et de richesse, de dynamisme que déploie le groupe, à tous les stades : composition, production et interprétation, toutes se montrant inspirées et inspirantes.
HAWK EYES et « Advice » marquent un retour gagnant qui touchera à la fois les nombreux amateurs du groupe et tout autant un vaste public, par ses multiples qualités.

 

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01.Royal Trouble 04:31

02.Follow Me 04:52

03.Never Lead Me 03:44

04.New Greek Fire 05:02

05.Perfect Again 03:54

06.Advice 04:21

07.Smokes (feat. Richard O'Brien) 02:45

08.Hand In My Heart Cage 04:27

09.State Of Opposition 04:32

10.Win On Win 03:22

11.Keep 'Em Cold 05:31


Producer : Kevin Vanbergen @ The Nave Recording Studios

 

 


 

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Paul Astick – V / G
Rob Stephens - G
Ryan Clark - B
John MacKenzie - D

 


 

 

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3 septembre 2019

LIV SIN "Burning Sermons" (French Review) - (Official Video) "Hope Begins To Fade" (Feat. Björn “Speed” Strid-SOILWORK)

 

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 ==> Release Date: 06 Sept 2019

Despotzrecords


Uni par la proximité créée lors des concerts qui se succèdent, la vie sur la route, ce juge de paix qui soude ou défait un groupe, LIV SIN l'est et leur nouvel album, « Burning Sermons », se voit être le résultat fort probant d’une troupe visiblement soudée. En effet, la force apportée par cette union se traduit tout d’abord au niveau des compositions, puisque autour des compositeurs traditionnels de la bande, plus de membres prennent part au processus, apportant ainsi autant de touches qui toutes mixées, participent au solide ciment qui coure au long des nouveaux titres, en un mélange riche qui forme l’accroche de « Burning Sermons ». On est ici en présence d’un album Metal au possible toujours mais, cette fois, bardé d’un Heavy aux riffs plus profonds, puissant, agressif tout en étant hymnique, mélodique et qui vit au rythme de guitares qui s’envolent ou martèlent, au rythme, de même, d’un Metal accentué par les apports d'électronique, cette nouveauté remarquée comparé aux opus précédents. En effet, ce choix est volontaire de la part de la troupe de l’incontournable chanteuse et front-woman, Liv Jagrell, un choix voulu pour délivrer l’agressivité, l’hymnique d’un Metal aux racines intemporelles mais avec, cette fois, une forte envie d’y insuffler un vent de modernité via un apport électronique, via une production à l’attaque et au côté mélodique imparables. LIV SIN signent avec leurs nouvelles compositions, une volonté d’exprimer leur amour d’un Metal Heavy solide comme le Rock et leur envie toute aussi forte de mêler intemporalité et modernité dans leur musique et leur son.

Avec un « Burning Sermons » convaincant sur la majorité de ses tracks et notamment sur l’un des incontournables qu’est « Hope Begins To Fade » et son guest vocal prestigieux (voir tracklist), LIV SIN évoluent en force mélodique, profondeur et feeling moderne, tout en s’appuyant sur leurs solides bases de Heavy en attaque. 

 

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Blood Moon Fever -3:15
Chapter Of The Witch -4:22
Hope Begins To Fade (Feat. Björn “Speed” Strid, the well-known singer of Soilwork and The Nightflight Orchestra) -4:09
War Antidote - 3:45
At The Gates Of The Abyss -3:58
Slave To The Machine -3:39
The Sinner -2:58
Death Gives Life Meaning -4:21
Ghost In The Dark -3:54
Dead Wind Intermezzo -5:04

 

-Produced by Emil Nödtveidt (Deathstars) in Black Syndicate studio

 

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Liv Jagrell –V
Patrick Ankermark -G
Chris Bertzell -G
Tommie Winther -B
Per Bjelovuk -D

 

 


 

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25 juillet 2019

LORDI "Recordead Live - Sextourcism In Z7" - Official Live Videos "Devil is A Loser" / "The Riff"

 

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“Recordead Live - Sextourcism In Z7” peut s’enorgueillir d’être le premier véritable live DVD/CD de LORDI puisqu’emmenée par Mr. LORDI en personne, sa troupe et lui ont pu donner vie au live dont ils avaient envie depuis pas mal d’années et ce, en présidant entièrement à sa réalisation, à son accomplissement, maitrisant ainsi chaque étape, ce qui a pour résultat une captation live de haut niveau, un must autant pour le choix des morceaux, l’interprétation que pour les décors, le son et bien sûr, les uniques et incontournables masques et costumes horrifiques dont Mr. LORDI a le secret pour lui-même et ses créatures.

Et quel endroit plus approprié que le Z7 pour enregistrer ce premier live, cette salle suisse bien connue et réputée étant en effet en quelques sorte le second ‘home’ des finlandais, puisque la troupe y a joué sans temps mort, depuis ses débuts et avec succès devant un public conquis à chaque fois.

LORDI a mis les petits plats dans les grands puisque “Recordead Live - Sextourcism In Z7”, ce n’est pas moins de deux heures de ce Hard Rock/Heavy horrifiquement accrocheur, passionné, hymnique et fédérateur que la troupe sait si bien délivrer; petits plats dans les grands aussi au niveau captation sonore et régal des yeux tout autant via les décors, nouveaux costumes et mise en scène. Le résultat donne deux heures de concert où le meilleur de LORDI s’exprime sans retenue autant pour le plaisir évident de ses protagonistes sur scène, que pour celui de la foule nombreuse massée devant la scène, une foule qui acclame le groupe, reprend à pleins poumons et en chœur les nombreux hymnes qui parcourent les titres des monstres venus du froid et dans tous les cas, un public qui ne boude pas son plaisir. Tirés, au choix, de leur album le plus acclamé depuis leurs débuts, à savoir « Sexorcism » (2018 - chronique ici) ou d’autres hits gravés dans l’histoire du groupe, les morceaux s’enchainent avec les mêmes efficacité et force de conviction, et que défile la set-list de deux heures explorant les pierres angulaires de la discographie de LORDI et arrivant trop tôt à la conclusion laissée, bien sûr, au titre vainqueur de l’Eurovision en 2006, le désormais classique : « Hard Rock Hallelujah ». Le DVD se distingue par ses bonus qui complètent cette captation live des plus convaincantes, en offrant de vraies raretés, en addition aux nombreux plus dont la mise à disposition de tous les clips de LORDI depuis les débuts du groupe.

Ce live est sans conteste réussi et recommandé, lui qui prouve combien les natifs du froid, LORDI, savent mettre le feu et déployer la large palette de leur talent quelque soit le poste occupé dans la bande, tous emmenés par leur master es Horror show et Hard/Heavy accrocheur, hymnique, mélodique et dynamique : Mr. LORDI ! LORDI est une valeur sûre de la scène Metal et le confirme encore avec leur premier live officiel : “Recordead Live - Sextourcism In Z7” !


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==> French Review / Chronique "Sexorcism" (2018) <==

 


 

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7 mars 2019

Týr “Hel” (French Review) -Official Videos "Sunset Shore"/"Ragnars Kvæði"/"Fire.." - 'The Tour From Hel' (Dates aussi en France)

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Six années avant de sortir leur huitième et dernier album en date, ‘Hel’, voilà qui est inédit pour le fer de lance du Metal scandinave que peut être Týr, vu que les fiers metalleux des îles Féroé avaient quand même délivré leurs cinq premières œuvres en l’espace d’à peine sept ans, alors, avoir pour la première fois un long intervalle entre deux opus, à savoir 'Valkyrja' (2013) et ‘Hel’, donc, en ce début 2019, se remarque.

Il faut dire que le groupe a été occupé à tourner dans l’intervalle, notamment autour du monde et avec CHILDREN OF BODOM en Amerique du nord et comme le reconnaît le chanteur-guitariste et pilier de la bande, Heri Joensen avec humour, tenir une pareille cadence dans l’enchainement des sorties d’albums, est éprouvant pour mon ‘capital longue vie’ perso. En tout cas, ce temps plus long consacré au dernier album, est un atout car une chose est assurée dès les premières notes, c’est bien que ‘Hel’ se distingue de suite par ce ressenti d’être plus travaillé, via sa maturation, sa qualité d’interprétation, de composition marquées et qui savent faire briller toutes les richesses et pépites que contient l’album au long de ses treize titres qui font leur œuvre en maraudant du mélodique accrocheur, du Folk Metal mythologique à un pur Heavy, qui se montre être une arme de 'frappe massive' ou plutôt dans le cas des doués comparses de TYR, une arme 'd’adhésion massive', devrait-on dire; en effet, s’il se montre plus épique, ‘Hel’ associe et lie ensemble à la fois son caractère Heavy moderne, mythologique bien trempé, ses mélodies imparables, ses passages en instrumental bien amenés, sa force implacable, le tout pour de nombreuses sensations qui mettent dans le mille.

Placé principalement sous la houlette de Joensen et Thomsen (Gunnar), bassiste-chanteur de son état, ’Hel’ a en plus d'une solide et chaude production, aussi bénéficié d’une participation commune et plus active que pour les précédent albums, à la fois de Thomsen, donc, mais aussi du guitariste Terji Skibenæs pour la composition. Quant au nouveau batteur, Tadeusz Rieckmann, sa patte Heavy pure souche et sa dextérité derrière les futs, apportent à l’ensemble déjà bien relevé qu’est  ‘Hel’, une saveur de plus à l’atmosphère générale. A noter que le dernier venu officiait déjà en live depuis 2016 avec Týr et que pour son premier album studio avec le groupe, la recrue assure et sa présence stabilise le line-up après quelque mouvements au sein de celui-ci par le passé.

‘Hel’ possède, en somme et outre son artwork qui donne le ton, une atmosphère multiple et qui bénéficie de nombreux atouts pour fédérer et ce, quelque soit son mode d’expression : mélodiquement racée, Epic, Heavy pur et en mode 'pas de quartiers' ou encore via deux ballades Folk Metal mythologiques léchées et comme tout morceau lent chez ces scandinaves, deux ballades comme il se doit chantées en langue des îles Féroé, quand le reste est en anglais, car le Metal en pleine manœuvre de frappe, se déploie dans la langue de Shakespeare, alors plus appropriée, dixit le quatuor via son frontman Heri Joensen.


« Hel » vaut un salut métallique bien haut à ce groupe de valeur du Metal venu de Scandinavie et leur huitième opus fait honneur à ce quatuor qui affiche deux décennies au compteur et se voit être reconnu à juste titre: Týr !

 

==> PS: Týr aussi en concert en France en avril 2019: voir flyer  'The Tour From Hel' ! 


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Týr “Hel” Tracklist:

Gates of Hel (6:43) 
All Heroes Fall (5:16) 
Ragnars Kvæði (4:08) 
- Garmr (4:54) 
Sunset Shore (4:43) 
Downhill Drunk (4:27) 
Empire of the North (5:12) 
Far from the Worries of the World (5:35) 
King of Time (4:57) 
Fire and Flame (5:39) 
Against the Gods (5:44) 
Songs of War (5:17) 
Álvur Kongur (7:25)

 

==> 'Hel' was tracked entirely by Thomsen and Joensen, with sessions split between the latter's studio in Søldarfjørður, drums lain down at Jacob Hansen's studio in DenmarkSkibenæs working in his home studio, and some solos and bass details recorded while they were on the road in North America 

 

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- Heri Joensen: V / G
- Gunnar Thomsen: B / V
- Terji Skibenæs: G
- Tadeusz Rieckmann: D

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19 juin 2018

K.O.B. news: les vieux briscards du Heavy sans concessions sont de retour et en grande forme encore - Nouvel album à venir !

 

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==> K.O.B. are back !! <==

 

KOB Line-Up:

- Stéphane Graziani / Vocals
- Thierry Huylebroeck / Guitars
- Rodolphe "Rudy" Bousquet / Guitars
- Jean Michel Berger / Bass (ex- SKELETON CREW)
- Bruno Laguide / Drums

 

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Oui, les briscards du Heavy sans fioriture, juste l'essentiel de ce Hard Rock péchu qui fait du bien par où ça passe, sont bel et bien de retour et cela mérite deux cornes hautes en salut métallique !

K.O.B., pour resituer le groupe, ont fait impression dès leurs débuts pas mal d'années plus tôt, avec leur approche carrée, droit au but à l'impact Heavy / Hard affirmé: d'ailleurs, les cervicales des premiers spectateurs des prestations énergiques des français, s'en souviennent encore, un sourire aux lèvres de la part de leurs propriétaires.

Et comme le clame AC/DC, puisque "it's a long way to the top if you want to Rock'n'Roll', la route de K.O.B. n'a pas échappé à cet adage et effectivement connu des hauts, mais aussi des bas, splits inclus. Et puisque le Rock'n'Roll, on l'a dans les tripes ou pas, la bonne nouvelle de 2016, après leur dernier split heureusement revoqué, c'est que les 'Old Boys of Heavy Metal', ont décidé d'effectuer un retour aux affaires et ils sont déterminés à faire parler la poudre à nouveau! 

Le line-up original étant reformé, à l'exception du bassiste (voir ci-dessus), la toute première prestation du groupe a eu lieu au Mojo Café en septembre 2016 de façon assez confidentielle, de manière à observer les réactions en live.

Le vrai « grand » retour de KOB s'est fait sur la scène du Théâtre de Villeroy à Mennecy le 25 mars 2017, en tête d’affiche en compagnie du groupe Désillusion.

S’enchaineront ensuite, le Cirque Electrique à Paris, le Normandy Métal Fest, le Festival Montereau Confluences, le Festival Mennecy Métal Fest, etc …..

Désormais, le groupe s'est attelé à de nouvelles compositions en vue de produire un album, des pistes live furent d'ailleurs captées ça et là, alors, seront-elles sur la future production ???

Toujours est-il que mars 2018 marque l'entrée du groupe au studio PnF avec le toujours fidèle Fred Rochette aux manettes, qui avait déjà officié pour "Close To Dawn" (2009)

Alors, ladies and gentlemen, préparez vos clous, patches, cuir et échauffez d'avance vos cordes vocales et cervicales, car K.O.B. sont de retour et ils sont déterminés à ne pas faire de prisonniers autant en live que pour leur futur quatrième album, à sortir dans les mois à venir !

Ne venez pas dire que vous n'avez pas été prévenus !

Stay tuned... closely ;) / A suivre...de près ;)

 

Tasunka 

TasunkaLynx_4444

 


 

 

27 mai 2018

Lizzy Borden "My Midnight Things" (French Review) - Lyric Video "My Midnight Things" / Official Video "Long May They Haunt Us"

 

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Release Date: 15 / 06 / 2018

logoMetalBladeRecords

 

 

Très prolifique pour son retour, Lizzy Borden l’a assurément été et inspiré qui plus est, via ce dernier et au combien espéré album studio original : « My Midnight Things », puisque ce multi-instrumentaliste marque en force un come-back tant attendu par pléthore de ses nombreux fans de par le monde.

Prolifique, puisqu’en veine d’inspiration, cette référence incontournable du Heavy n’a pas fait les choses à moitié, écrit plus de quarante titres, réduits au tout meilleur au nombre de dix, mais dix compositions (dont une déclinée en deux versions différentes) qui alignent le meilleur et l’expérimentation de ce que ce cerveau et le talent de cet artiste chaleureux, avaient à offrir : entre Heavy / Hard old school, moderne et intemporel à la fois, entre une richesse de sonorités, d’atmosphères, d’approches, hymniques et directes, profondes et théatrales, « My Midnight Things » a de quoi séduire, envouter et donner une irrésistible envie au choix de taper du pied en cadence, de s’époumoner en chœur et après tout, pourquoi choisir, puisqu’au final, on se retrouve à spontanément faire les deux en même temps, sourire ravi aux lèvres.

Il est à souligner que le son unique qui caractérise « My Midnight Things » est à l’image de ce que Borden avait en tête: un son vintage et personnel à la fois, qui sait faire briller chacune des facettes qui participent à forger les titres, avec leur diversité. Pas étonnant que sachant précisément le rendu sonore qu’il voulait et qui se démarque des sonorités actuelles, mister Borden ait préféré se charger en personne de la production, accompagné en ça par son acolyte aussi pour les parties batterie, Joey scott et le résultat lui donne raison : « My Midnight Things » assure, en effet, avec efficacité le come-back de LIZZY BORDEN, après onze ans de silence côté album studio. Et puisque les nouveaux morceaux ont été pensés dans l’optique de les voir jouer en live et faire s’époumoner en chœur le public, il tarde au frontman d’emmener une troupe de tournée, sa troupe de musiciens aguerris à ses côtés pour mettre le feu sur scène avec les nouveaux morceaux, spécialement aussi créés à l’attention des fans, toute génération confondue.

Deux rééditions récentes de classiques de LIZZY BORDEN avaient servi de hors d’œuvre, mais là, avec « My Midnight Things », c’est le plat de résistance qui est servi et il est savoureux, marquant un redémarrage de carrière studio en forme d’un enthousiaste ‘on remet ça !’ de la part de l’iconique et théatralement Rock, Lizzy Borden!

 

Tasunka

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“My Midnight Things” Track-Listing:

01. My Midnight Things
02. Obsessed with You
03. Long May They Haunt Us
04. The Scar Across My Heart
05. A Stranger to Love
06. The Perfect Poison
07. Run Away with Me
08. Our Love Is God
09. My Midnight Things (Reprise)
10. We Belong to the Shadows

 

"My Midnight Things" was  produced by Borden himself, with Joey Scott as co-producer, who also handled all the drumming duties

"My Midnight Things" was also mixed by Greg Fidelman (Metallica, Black Sabbath, Adele, U2) and mastered by Tom Baker (David Bowie, Rob Zombie, Marilyn Manson, Tom Petty)

 

 

 

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25 mai 2018

FARGO "Constellation" (French Review) - Offical Videos "Step Back" / "Leave It"

 

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LogoFargo

Release Date: 25 / 05 /2018

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FARGO, vous connaissez ? Si vous avez grandi dans les années 1970, début des années 1980, ce groupe vous revient certainement en mémoire pour le succès qu’il a eu en international et ses albums studios salués par la critique tout autant qu’acclamés par un parterre de fans de par le monde, fans que les allemands avaient su rallier à leur cause avec leur solide et groovy Hard Rock à l’époque. Et FARGO, si vous ne connaissez pas encore, l’occasion - et elle est à saisir- de les découvrir vous est offerte en 2018, puisque la bande est de retour et devinez quoi, après 36 ans en hibernation pour ce qui est du groupe, oui, vous avez bien lu : 36 ans !

A l’image du clin d’œil de l’inscription 'F5' sur la coque du sous-marin de la pochette, qui remonte à la surface gelée, « Constellation » est bien le digne successeur de ses prédecesseurs dont le dernier en date, justement: « F » (1982). "Constellation" sait, au travers de douze nouvelles compositions, redonner vie à la patte propre à FARGO, à savoir un Hard Rock authentique, roots, groovy, doublé d’une sacrée pointe de Blues Rock léché, le tout délivrant un savant cocktail que ces briscards du Rock classique et fort en saveur à la fois, prouvent savoir encore et toujours rendre accrocheur. Le duo fondateur et ses acolytes actuels ne s'en laissent pas compter pour ce qui est de manier voix et instruments avec dextérité, feeling à tous les étages et attitude cool au possible.Au sein de FARGO, les guitares sont la pièce maitresse indiscutablement et impeccablement mises en avant par la production, qui plus est : il suffit d’entendre les soli et rythmiques entêtantes et accrocheuses, pour adhérer, tout autant que le chant décontracté et profond du co-fondateur de 1973, le guitariste-chanteur, Peter Ladwig. Quant à son co-fondateur de complice des débuts, le bassiste Peter ´Fargo-Pedda` Knorn, celui-ci sait créer un 'mur' rythmique en solide support de l’ensemble.

Les morceaux s’enchainent, donc, avec conviction et convainquent justement, qu’ils soient plus Rock, Blues Rock grâce notamment à la guitare de Arndt Schulz ou Hard Rock, notamment via « Boozy Vivienne », « Mind Your Own Business », « Loser’s Blues », « Southern Breeze » (aux titres de vingt chansons d’Elvis Presley inclus dans les paroles, en hommage au King), « Goddess Of destiny » ou « Step Back », "What's Wrong". Par contre, un bémol apparait à l’écoute de ce come back d’album : en effet, si l’unanimité se fait pour trouver la majorité des morceaux entrainants à souhait, côté production, le bât blesse au niveau du mixage de la batterie, une batterie qui se retrouve à sonner de façon littéralement aseptisée, au point de ne pas rendre justice au nouveau batteur, Nikolas Fritz et à sa pourtant évidente implication et même traitement pour, en guest derrière les futs et ce, pour deux morceaux, le batteur d’origine: ‘Franky’ Tolle. Dommage d’autant que, justement, cette même production du réputé Helge Engelke (Dreamtide, Fair Warning), assure en plein pour donner vie et profondeur autant au chant qu’aux guitares et basse. Disons, en conclusion, que ça n’amoindrit pourtant pas l’impact positif de « Constellation » et l’envie de recommander cet album du retour des pionniers du Hard Rock, FARGO et chaudement encore: 36 ans en sommeil, ça conserve apparemment fort bien le Rock chevillé aux tripes !

Quand on pense que tout est parti du succès de la biographie ‘Bis hierhin und so weiter’ de Peter Knorn, bassiste-producteur-manager de son état et de l’envie qui a découlé de prendre le pari de remettre le couvert pour FARGO, vu l’accueil favorable fait au livre de la part de fans qui n’avaient apparemment pas oublié le groupe, malgré les années :)


Alors/so, welcome back FARGO !


Tasunka

TasunkaLynx_4444

 

 

 

 

 

“Constellation” Track-Listing:

01. Step Back - 4:04
02. Leave It - 3:37
03. Mind Your Own Business - 3:51
04. Loser's Blues - 3:32
05. Buzz Buzz - 4:13 - (feat. former drummer Frank ´Franky` Tolle)
06. Cross To Bear - 3:56
07. Don't Talk - 3:14 - (feat. former drummer Frank ´Franky` Tolle)
08. Southern Breeze - 3:21
09. Boozy Vivienne - 3:50
10. What's Wrong - 3:41
11. Goddess Of Destiny - 3:16
12. Goodnight - 2:15

==> Producing, recording, mixing: Helge Engelke (recorded from October 2017 to January 2018)

 

 

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LogoFargo

-Peter Knorn – B
-Peter Ladwig – G / V
-Arndt Schulz – G - ((Harlis, Jane)
-Nikolas Fritz – D - (Mob Rules)

 


 

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