The mighty Night Demon are invited to support ACCEPT as special guest on their "The Rise of Chaos - World Tour 2018"!
Jarvis Leatherby of Night Demon states: "We are honored to be a part of the Rise of Chaos tour in 2018. By far the biggest and most special thing we have been asked to be a part of."
Trois est le chiffre sous lequel est placé CYLEW puisque ce nouvel opus « MOT3L » et il mérite ce nom d’opus, est non seulement la troisième sortie du groupe comme son titre l’indique, mais se voit aussi composé d’un trio de choc pour lui donner vie, sans compter que trois représente aussi les trois ans, temps passé sur ce nouvel album pour lui insuffler toute son âme libre, forte, parfois mélancolique et d’un Rock mélodique des origines des mieux inspiré, nourri de beaucoup d’intensité et de vibrations chaudes et fortes en émotions variées, toujours.
« MOT3L » est donc le fruit d’une collaboration active et fructueuse entre Lady Cylew qui a à nouveau composé et écrit les paroles tout autant que créé l’atmosphère via ses photos et artwork, collaboration commune avec Arnaud Bascuñana à la production mais aussi aux guitare et basse, ainsi que de Kriss Kilong à la batterie. Lady Cylew pose avec talent sa voix chaude et lancinante tout autant que prenante au long des treize nouvelles compositions, sa guitare faisant écho à celle, inspirée de ce Rock californien qui sait faire vibrer et qui jaillit avec brio, celle en lead de Arnaud Bascuñana, Le fait d’avoir enregistré en analogique et en condition live, apporte une couleur savoureuse aux morceaux, les rendant vivants et parlants au possible, et ce, que l’atmosphère soit plus Rock énergique, mid tempo ou en option ballade aux accents teintés de mélancolie. La production est menée de main de maitre et très naturelle à la fois, rendant ainsi honneur à l’interpréation de chacun, que ce soit la batterie inspirée de Kriss Kilong, la guitare et basse de Arnaud et bien sûr, la voix accrocheuse, s’il en est, de Lady Cylew, une Lady qui sait faire parler les émotions et vibrations inspirées de ses racines de franco californienne d’adoption.
CYLEW parle de son troisième album, comme d'un ‘Road Trip’ et c’est bien le cas: « MOT3L » est bel et bien une puissante invitation à vous évader, à prendre la route en leur compagnie : alors, prêts ? Le voyage vaut assurément le détour !
Produit par Tom Allom Le responsable du son des plus grands albums du groupe entre 1979-1988, des classiques tels que ‘Unleashed in the East’, ‘British Steel',‘Screaming for Vengeance’ ou 'Defenders of the Faith'
et Andy Sneap (Saxon, Accept, Megadeth, Arch Enemy, Testament...)
2002-2010 correspond pour les iconiques TANKARD, aux années où la troupe était signée chez AFM Records et à des années importantes car marquées d’un retour aux affaires pour le groupe, justement au sein de cette 'écurie' allemande, alors, la tentation pour le label de sortir un Best-Of de cette période était apparemment forte : c’est chose faite avec « Hymns For The Drunk ». Et pourquoi pas, après tout, vu qu’il faut reconnaître que même si on peut se dire que c’est un best of de plus, toujours est-il qu’en fin de comptes, celui-ci a un solide paquet d’atouts à son actif, à commencer par le fait de poser combien ce quatuor, authentique as ‘es Thrash fédérateur’ et sifflage de bières, sans oublier la constante bonne humeur, et ce, depuis 1982 tout de même, combien, donc, TANKARD assure et sait faire monter l’ambiance et s’éclater en sa compagnie. « Hymns For The Drunk » est un bon moyen, en somme, de découvrir ou redécouvrir via les dix-sept titres sortis en ce début de millénaire, la dynamique et un savoir faire sans failles des allemands à délivrer un Thrash, qui, comme la boisson dont la bande est adepte, fait 'du bien par où ça passe'.
TANKARD assure depuis 1982 et 35 bientôt 36 ans de méfaits Thrash, ça valait bien un nouveau Best Of, surtout que « Hymns For The Drunk » tire unbeau coup de chapeau à cette bande de ‘Metal-Maniacs » pur jus ou plutôt, lève son pichet, comme le personnage de la pochette qui donne le ton, à ces quatre accros au Metal !
A noter que TANKARD est en tournée, alors, préparez-vous à lever vos verres tout en headbangant, puisque le groupe sera àColmar, le 16 mars 2018
Tasunka
==> Cover Artwork : Patrick Strogulski
TANKARD Line-Up:
-Andreas Geremia - V -Andreas Gutjahr - G -Frank Thorwarth - B -Olaf Zissel - D
Mêler les genres se fait de plus en plus et en l’occurrence, via « Antagonism Of The Soul », il est ici question de voir le Metal Heavy mixé avec la forte et très efficace base d’un Metalcore sans fard : alors, oui, INSOLVENCY a relevé le pari et plutôt réussi la fusion en incorporant à sa recette, éléments mélodiques et typiquement en option ‘pas de quartiers’, mêlant ainsi le subtile avec la force de frappe, en un mélange somme toute convaincant.
Des voix doubles à la fois en growl et claire, du duo de guitaristes qui sont l’atout majeur de la bande, un duo d’ailleurs à saluer par sa virtuosité qui n’a d’égale que son impact mélodique et sa force de persuasion, de la section rythmique basse-batterie qui assure sa partie avec toute la dynamique requise, bref, avec leur premier album et après un EP éponyme paru en 2015, les troyens font impression en offrant à la scène Métal, leur approche moderne et bardée de fougue, celle d’un quatuor qui en veut et ça s’entend. Le groupe ayant fourbi ses armes en live, jouant ainsi aux côtés de leurs collègues dont No Return ou Melted Space, formation de leur talentueux voisin, Pierre Le Pape, et sans omettre de mentionner que Bruno Blackstard a eu le privilège d’être l’un des guitaristes choisis pour jouer au '100guitarsfromhel Festival' (Finlande – Helsinki / 2015) du maestro Alexi Laiho de Children Of Bodom, formation appréciée depuis longtemps par le français.
Pour mettre en valeur le potentiel de INSOLVENCY, les mixage et master ont été placés sous la houlette de Jim Pinder et Carl Bown (While She Sleeps, Bullet For My Valentine, Trivium, Machine Head..), pas moins. Entre les compositions, l’interprétation, la production et les paroles, « Antagonism Of The Soul » dispose d’atouts, c’est certain. Même si tous les morceaux ne se distinguent pas de la même façon, certains restant en retrait côté impact, toujours est-il que d’autres portent l’accroche de ce premier album : sont à citer notamment, « A Leaving Life, A New Beginning » ou encore « « Black Moon », « This War Is Not For You », « Death Wish ».
INSOLVENCY montre et affiche haut avec « Antagonism Of The Soul », un potentiel assuré et une détermination qui donnent envie de suivre la bande : à découvrir !
Tasunka
==> Artwork designed by Daniel from McBride Design (Asking Alexandria, Born Of Osiris, Veil Of Maya, Betraying The Martyrs and many more...)
Le 13 octobre dernier, à 13h13, le HellFest lançait la mise en vente de des pass 3 jours de sa 13ème édition... moins de 30 heures plus tard le festival défrayait la chronique en affichant complet et ce sans avoir annoncé un seul des groupes du line-up 2018 !
Aujourd'hui, lundi 13 novembre 2017, le festival annonce sa première tête d'affiche : IRON MAIDEN !
Cette légende du heavy metal britannique se produira à Clisson pour la seconde fois.
Ce premier nom est le 1er d'une série de... 13... qui ne vont pas tarder à suivre dans les prochains jours...
KLOGR (à prononcer K_log_R (kay, log, are) ont passé deux ans en studio à peaufiner leur troisième album, « Keystone » et l’investissement en tripes, passion et temps, vaut le détour : les nouvelles compositions sont, en effet, léchées, fouillées et spontanées à la fois, techniquement, vocalement, musicalement au top pour faire parler la vaste palette émotionnelle et punchy exposée avec ferveur par une bande en forme assurément et investie tout autant à délivrer un Rock / Metal alternatif et parfois progressif qui a du mordant et de l’inventivité à revendre.
« Keystone » signe un retour des italo-américains sous le sceau à la fois de plus de puissance, de rogne que jamais et de fidélité à leur patte Rock / Metal alternatif , une patte unique qui se voit bonifiée et plus aboutie encore avec les nouvelles compositions. Au service de ces brulots de titres et de l’esprit aventureux et créatif de KLOGR, le triple récompensé par un Grammy, de producteur qu’est David Bottrilla, a visiblement été conquis par KLOGR, leur esprit et a visiblement dédié tout son savoir–faire à valoriser tout son éclat et sa profondeur, sa force aux morceaux, incisifs quand il le faut et subtilement puissants toujours. La troupe a hâte de reprendre la route et mettre le feu sur scène, en défendant son nouvel opus ce qui se comprend après le temps passé enfermé en studio et c’est aux côtés de The Rasmus, que le quatuor va réaliser son souhait, ce qui est une très bonne nouvelle, d’autant que le groupe sera de passage en France, le 18 novembre et puisque les fêtes de fin d’années approchent, le second cadeau est que Art Cruz, fameux batteur de PRONG, se joindra à KLOGR lors de cette tournée, en invité spécial: il faut dire que les deux groupes ont déjà tourné ensemble en 2014 et collaboré pour un hommage au regretté guitariste de SLAYER Jeff Hanneman, toujours en 2014.
Alors, une urgence se fait, se procurer à la fois « Keystone » cette perle d’album de KLOGR et un billet pour leur concert du 18 novembre à Paris !
Tasunka
« Keystone » Tracklist :
01. Sleeping through the Seasons 02. Prison of Light 03. Technocracy 04. The Echoes of Sin 05. Pride before the Fall 06. Something's in the Air 07. Drag You Back 08. Sirens' Song 09. Dark Tides 10. Silent Witness 11. Enigmatic Smile 12. The Wall of Illusion
- Produced by 3 Time Grammy Award Winning Producer David Bottrill
- Artwork; The artwork is a piece of a painting of the renowned Italian artist, Andrea Saltini
Today the band reveals an incredible news: Prong drummer, Art Cruz, will feature the new remixed single and video of “Technocracy”. The video has been directed and edited by Roberto Zampa (also director of King of Unknown, Breaking Down, Breathing Heart and Sleeping Through The Seasons).
But that’s not all! In addition, KLOGR announce that Art will be also special guest of the upcoming tour in support of The Rasmus!
Release: November 3rd, 2017 on Oblivion/ SPVand Metropolis Records (US)
BOYTRONIC est avant tout un projet plus qu’un groupe, mais un projet de musique électronique Pop, solide car exécuté par deux passionnés de musiciens aguerris, Hayo Lewerentz (aussi label manager de MAJOR RECORDS) et Ingo Hauss.
Depuis les débuts en 1983, les allemands, accompagnés d’un chanteur, ont aligné les albums studios, les singles ainsi que les prestations live, glanant au passage une forte adhésion et une reconnaissance méritée autant de la part du public que des critiques unanimes à saluer l’accroche indéniable qui caractérise les BOYTRONIC, ainsi que la qualité affichée de leur Pop électro, son intensité propre à faire danser, vibrer et sa saveur mystérieuse qui épice le tout. Après plus d’une décennie séparant leur dernière oeuvre « Dependence » (2006), « Jewel » signe le retour de la formation sur le devant de la scène et avec un album d’une richesse affirmée, multicolore, qui fleure bon les multiples sources en terme de gouts musicaux qui animent les protagonistes : au long de « Jewel », la patte de l’electro, le son propres au groupe, font leur œuvre avec classe et beaucoup de variété inspirée et prenante. Le nouveau chanteur, anglais, James Knights (Scarlet Soho sur trois albums) se fond parfaitement dans l’esprit qui anime ses partenaires, sa voix faisant merveille et echo au beats, aux samples, aux atmosphères riches générées de bout en bout par le duo fondateur. Accrocheur, chaque titre, au choix, hypnotise, fait bouger, vibrer, c’est selon. L’esprit de l’électro eighties est bien vivant et percutant grâce à BOYTRONIC qui délivrent de nouveaux morceaux, reprise de U2 incluse, qui assurent tous à créer des feelings prenants autant aux niveaux musical, sonore, que du point de vue des paroles qui ne sont pas en reste.
Vous voulez de l’Electro Pop de premier choix ? le bien nommé « Jewel » est pour vous !
So, ‘Welcome back BOYTRONIC' !
Tasunka
« Jewel » Track listing :
01. Time After Midnight 02. The Universe 03. Mad Love 04. Share 05. My Baby Lost Its Way 06. Jewel 07. Dark Passion 08. Free To Love 09. Big Hands For The Dreamers 10. Disco City 11. New Year‘s Day (U2 Cover)
BOYTRONIC Line Up:
-James Knights -Hayo Lewerentz -Ingo Hauss
BOYTRONIC Discography:
THE WORKING MODEL (1983) THE CONTINENTAL (1985) LOVE FOR SALE (1988) BOYZCLUB REMIXES (1991) THE HEART AND THE MACHINE (1992) AUTOTUNES (2002) THE WORKING MODEL – REVERSE (2003) MAXI (2004) THE CONTINENTAL – REPLACE (2005) DEPENDENCE (2006) STARS HITS – НОВОЕ ЛЮБОВНОЕ НАСТРОЕНИЕ (2006) new: JEWEL (Release date: 03 November 2017)
Le mixage entre un Hard Rock des racines seventies et un Heavy Rock à multiple facettes, quand il est réussi avec ce panache et cette maturité doublée de passion comme celui qu’offre « MK II », le second effort de Vandenberg’s MoonKings, cela donne un album intemporel et dynamiquement prenant.
La bande fondée par le maestro à la guitare qu’est l’incontournable et devenu légendaire Adrian Vandenberg, artiste peintre et compositeur inspiré de son état qui plus est et ses trois acolytes qui ne sont pas en reste pour assurer dans leur domaine respectif, eux aussi, la bande, donc, fait impression avec son second effort.
Le fait de se connaître encore mieux grâce à la fraternité, la proximité, héritage de tournées passées ensemble depuis le premier album, a profité à la cohésion et surtout à l’âme du groupe : chacun connaissant mieux l’autre, l’alchimie due à une entente et confiance mutuelle autant artistiquement que humainement parlant, donne des résultats toujours remarqués et « MK II » en est le meilleur exemple. Plus abouti que sur le premier opus éponyme, le Hard Rock / Heavy Rock pratiqué au long des douze nouveaux morceaux s'envole sans retenue et brille de toute l’âme Rock sans compromis qui anime la bande, en un déploiement d’un solide et hymnique Hard enlevé, varié, bardé de facettes qui se découvrent écouté après écoute, même si la première est déjà convaincante à elle seule. Entre Hard Rock bien senti côté energie, Heavy Rock péchu ou plus lourd et avec des touches de Blues Rock, sans omettre de mentionner une ballade, le menu est savoureux, chaud d’une énergie justement sans temps mort, qui coure et donne corps et vie à tout « MK II ». La production, menée de main de maitre, valorise les nombreux atouts des compositions et de l’interprétation, ce qui est à saluer surtout que les quatre compères, complices au possible, se donnent de façon débridée pour délivrer la musique qu’ils aiment : la basse carrée tout autant que groovy de Sem Christoffelest bien assumée et mise en avant, soulignant combien la section rythmique Sem / Mart (Nijen Es) est des plus à la hauteur pour épauler et completer le déchainement guitaristique au top et vibrant de Adrian Vandenberg, ainsi que le chant de Jan Hoving qui marque, d'ailleurs, une bonification notable dans sa tessiture et ses variations.
VANDENBERG’S MOONKINGS a l’âme Rock bien vivante et fraiche car nourrie d’une énergie intacte et contagieuse: un “MK II” recommandé, donc !
Tasunka
VANDENBERG’S MOONKINGS Line-Up :
-Adrian Vandenberg - G -Jan Hoving - V -Sem Christoffel - B -Mart Nijen Es – D
L’orientation vers le Rock classique / Hard Rock des seventies est scellée avec « Walk The Earth »: le successeur de « War Of Kings » (chronique ici / 2015) en avait déjà la senteur, et voilà que EUROPE parviennent à donner vie à dix nouvelles compositions qui luisent littéralement toutes, de cet éclat superbe d’un solide et mélodique Rock seventies doublé d’une saveur de progressif. Avant de se co-atteler à la création de l’album, Joey Tempest s’étant plongé dans le progressif via notamment la vielle discographie de RUSH, YES, (JETHRO) TULL, OPETH ou encore PORCUPINE TREE, ceci expliquant cela (notamment sur le réussi « Pictures »), en plus de retrouver les influences des racines Hard Rock toujours aussi bien digérées des pierres angulaires côté références de toujours, que sont pour EUROPE, au choix DEEP PURPLE ou LED ZEPPELIN, BLACK SABBATH.
« Walk The Earth » est intéressant, accrocheur tout autant, diversifié et uni grâce à fluidité imparable, une finesse et une dynamique de l’orientation pratiquée. L’habileté, l’agilité d’une formation qui se montre au sommet de ses moyens artistiques et techniques et ils sont nombreux et affirmés, parlent sans retenue au long des morceaux. Inspirés, les cinq le sont assurément, impliqués tout autant et cela se ressent, se vit en leur compagnie. Un line-up solide et toujours mené par le duo de tête, Joey Tempest aux vocaux riches, paroles bien senties et bien sûr John Norum, au talent ou plutôt au don de guitariste toujours aussi bluffant, il reste décidément un formidable faiseur de riffs et rythmiques imparables qui n’ont d’égal que ses soli à vous donner les poils, excusez du peu.
« Walk The Earth », c’est la classe doublée d’une belle inspiration de la part d’un quintet qui aligne autant de mélodies imparables que d’hymnes et rythmes du même ordre.
La nouvelle collaboration avec Dave Cobb (Rival Sons, Shooter Jennings, Jason Isbell, Chris Stapleton), ce producteur notamment récompensé et à juste titre par un Grammy, a porté à nouveau ses fruits et permis que les dernières compositions sonnent et produisent l’effet accrocheur voulu quelle que soit l’atmosphère pratiquée; la troupe le considère, d’ailleurs, comme le sixième membre de EUROPE et on comprend pourquoi en entendant l’alchimie du résultat. Le fait d’avoir, cette fois, enregistré aux fameux Abbey Road Studios londoniens, explique la qualité du son analogique (via l'emploi du même matériel qu'avaient aussi utilisé en leur temps, non moins que PINK FLOYD ou les BEATLES), un son analogique, donc, qui participe à donner tout son éclat, cette chaleur, aux titres. « Walk The Earth » bénéficie de la longue expérience et d’une seconde jeunesse mélées qu’affichent EUROPE, ce qui participe à délivrer un album à la fraicheur, à la subtile force mélodique et à la solide base du meilleur des classiques du Hard Rock des seventies, qui convainc et fait saluer la troupe de vieux briscards pour leur seconde jeunesse et ce onzième album studio dans les trois décennies de carrière du groupe, reformation incluse!
EUROPE y assurent tout simplement à délivrer une sensation vintage avec un punch moderne, nommée "Walk The Earth" !
Tasunka
Original artwork by famed Los Angeles artist Mike Sportes of Filth Mart.
The clip was directed by Patric Ullaeus and filmed in Europe's home base of Gothenburg.
"Patric has done the last seven or eight videos for us," says frontman Joey Tempest. "I sent him the track a couple of months ago, and he was like, 'Oh my goodness. I got goosebumps. I almost started crying. We have a new location here in Gothenburg, let's do it here.' It was kind of a rehearsal situation in a big room with great light and a great director who's good at shooting bands. We gave him some rough ideas for what we felt about the song, and mostly we just had fun with an old friend."
ATTRACTION THEORY, ce projet fondé sur et par les pierres angulaires que sont deux purs artistes de par leur passion et leur talent, à savoir Constance Amelane au chant de sirène redoutable et Didier Chesneau à la guitare, aux arrangements et production du même ordre, délivrent un premier EP, «[ Principia ]», de qualité. La magie de leur Metal alchimiquement mêlé de Progressif, de Rock, a une propriété notable, celle de se frayer avec aisance, un chemin pour vous rentrer sous la peau.
Entourés de deux autres calibres à l’expérience saluée, respectivement aux postes de bassiste pour Christophe Babin ( Pat O May, Headline, Virus IV) et John Macaluso (Ark, James Labrie, Symphony X, Yngwie Malmsteen) à la batterie, le duo fondateur a trouvé leurs alters egos pour compléter le groupe et insuffler aux morceaux cette touche envoutante, autant jouée, chantée avec poigne, que toutes émotions dehors. La palette des ambiances fonctionne à la fois de par sa diversité que par sa cohésion et l’expérience que ce soit de compositeur, de guitariste à l’inspiration sans failles que de producteur de Didier Chesneau (Headline, Magic Kingdom, ADX, Misanthrope) apporte ce dynamisme, cette force de sensibilité parfois écorchée, qui laisse accroché. «[ Principia ] » est l’un de ces EPs qu’on aime laisser tourner dans le lecteur, surtout avec des moments encore plus intenses via le meilleur que peut être la fine et puissante version en bonus track de « The Eye (A Reminiscent Light) », même si sa version originale en ouverture d’album, est belle tout comme peuvent l’être « Attraction Theory », « To France », mais sans non plus omettre de citer le second du duo des bonus tracks, la subtilement forte et sensible version alternative de « Attraction Theory », justement.
«[ Principia ]» peut être salué, lui qui affiche haut les atouts d’un groupe taillé pour l’international: ATTRACTION THEORY !
Greatest Hits 16 titres dont 2 inédits ! / Greatest-Hits Album: 16 tracks including two new ones
(English Version / Official Lyric Video "Trouble": see below)
Le groupe de Hard Rock basé à Los Angeles, Five Finger Death Punch, maintes fois certifié multi-platine aux USA - et composé de Ivan Moody (chant), Zoltan Bathory (guitare), Jason Hook (guitare), Chris Kael (basse) et Jeremy Spencer (batterie) - est heureux d'annoncer la sortie, pour le 1er décembre prochain, d'un Greatest Hits baptisé "A Decade of Destruction".
Cette compilation de leurs meilleurs titres (souvent classés dans le haut des charts US) présentera aussi 2 nouvelles chansons ! Cela faisait 2 ans que FFPD n'avait pas offert de nouvelle musique à ses fans ! Le premier de ces inédits s'intitule "Trouble" (vidéo ci-dessous)
Five Finger Death Punch est également excité d'annoncer que son 7ème album studio sortira au printemps sur Eleven Seven Music. Ce disque sera le successeur de "Got Your Six", sorti en 2015 et certifié or, notamment grâce au succès du single, “Wash It All Away”, n°1 aux USA.
Pour couronner le tout, le groupe est particulièrement fier d'annoncer que son concert prévu à Paris le 4 décembre prochain à l'Olympia est complet !
01. Trouble (new song) 02. Gone Away (new song) 03. Lift Me Up 04. Wash It All Away 05. Bad Company 06. Under And Over It 07. Wrong Side Of Heaven 08. House Of The Rising Sun 09. I Apologize 10. The Bleeding 11. Jekyll And Hyde 12. Remember Everything 13. Coming Down 14. My Nemesis 15. Battle Born 16. Far From Home
FIVE FINGER DEATH PUNCH will release a greatest-hits album, "A Decade Of Destruction", on December 1. The compilation will include two new tracks — the first new music the band has released in over two years. Pre-order the collection now.
In conjunction with today's announcement, the rock juggernauts have released one of the new tracks from the album, titled "Trouble". Check out the lyric video for the single below.
FIVE FINGER DEATH PUNCH's seventh full-length studio album will be released in spring 2018 via Prospect Park in North America and Eleven Seven Music internationally. The album follows their critically acclaimed 2015 chart-topping hit album "Got Your Six", which featured No. 1 single "Wash It All Away" and was certified gold in 2016.
Quand que cela déjà fait une décennie depuis la sortie du dernier album et qu’on a gagné et mérité depuis sa formation début 1990, une solide réputation dans le Power mélodique ainsi que glané une toute aussi solide fan base de par le monde, inutile de préciser combien le plaisir de pouvoir enfin redonner signe de vie est affiché, en 2017, avec un neuvième et tout frais opus, « Phoenix ».
NOCTURNAL RITES, puisqu’il s’agit d’eux, reviennent avec un album au titre approprié et surtout avec onze nouvelles compositions qui affichent et affirment combien l’inspiration et la patte des suédois est intacte et toujours marquée du sceau de l’efficacité : il faut dire que l’esprit des origines de Nocturnal Rites est bel et bien vivant au travers des titres, avec cette touche de richesse, de Power hymnique et mélodique, racé la majorité du temps, qui a pour qualités principales outre bien sûr un talent assuré de composition, le chant de Jonny Lindqvist et son duo de guitares, Fredrik Maznnberg et l’as qu’est le on ne peut plus doué lead guitariste, Per Nilsson. Si la ligne rythmique basse –batterie de Nils Eriksson et Owe Lingvall assure sa partie, il n’en reste pas moins que les soli et passes d’armes de Per Nilsson à la six cordes et ce, quelque soit le tempo, au style plus calme ou enlevé, font leur effet en apportant une accroche et une sacrée couleur au titres. Le chant est dans la même veine et c’est tout une formation qui fait montre de son plaisir d’être de retour, avec des chansons que la troupe a pris le temps de peaufiner, et sur lesquelles tous se sont donnés à fond et visiblement éclatés à enregistrer. Quelques titres sont un bémol dans l’album, car trop convenus et en manque d’énergie mais d’autres et ils sont la majorité, valent la découverte, notamment « What’s Killing Me », "A Heart As Black As Coal », « The Poisonous Seed », « Repent My Sins », ou encore « The Ghost Inside Me », « Nothing Can Break Me », « Welcome To The End ».
Belle pochette, production à la hauteur, quintet visiblement en pleine possession de son art, alors, oui, “Phoenix” signe le retour gagnant d’un groupe au Power Metal convaincant s’il en est.
So, welcome back NOCTURNAL RITES !
Tasunka
“Phoenix” Track-List:
01. A Heart As Black As Coal 02. Before We Waste Away 03. The Poisonous Seed 04. Repent My Sins 05. What’s Killing Me 06. A Song For You 07. The Ghost Inside Me 08. Nothing Can Break Me 09. Flames 10. Used To Be God * 11. Welcome To The End
ACT OF DEFIANCE, le groupe formé par les deux musiciens doués et sans compromis que sont les ex-Megadeth, Chris Broderick et Shawn Broder à la guitare et à la batterie tout droit issues d’un Heavy Metal coup de poing et qui a pour but de se faire plaisir avant tout, la bande de choc est donc de retour, cette fois pour leur seconde offrande, « Old Scars, New Wounds ».
Depuis deux ans et le debut album «Birth And The Burial”, sorti neuf mois après la création de ACT OF DEFIANCE, le quatuor est parti en tournée, a promu son album, récolté les retours positifs et mérités et s’en est retrouvé plus soudé que jamais, être sur la route leur ayant permis de mieux se connaître et de renforcer le lien fraternel qui lie la troupe. C’est pourquoi, si, sur le premier opus, la composition avait été menée par le duo Broderick / Broder seul, les nouveaux titres le sont, cette fois, par le quatuor au complet: Matt Bachand à la basse et Henry Derek au chant ayant apporté leur contribution et qui dit composition à quatre dit quatre apports d’influences, ce qui se traduit par des virées hautement efficaces dans plusieurs styles de Heavy Metal, qui se cotoient avec en fil rouge, la même hargne, la même dynamique très accrocheuse, qui coure au long des titres et sait fédérer avec leurs force et détermination pour la majorité d’entre eux. Onze morceaux où le Heavy est agilement lourd, Thrash, fiévreux et intense toujours, en des vagues qui se répondent, se défient pour une alchimie nerveuse et bien menée s’il en est. C’est fièrement dynamique et prenant grâce à quatre musiciens qui assurent et se lâchent autant niveau de la guitare, la batterie, que de la basse, le chant qu’il soit en voix claire ou brute, procurant ainsi des moments marquants où on se prend en plein le punch de ce Metal à la qualité affirmée et à la passion évidente de ses protagonistes, chevillées au corps. La production (voir ci-dessous) est au rendez-vous côté qualitatif et plus que bien encore, sans omettre de mentionner le paroles incisives à l’inspiration multiple ou encore l’artwork de haut vol, à nouveau du au talent de Travis Smith.
En somme, deux cornes hautes pour ACT OF DEFIANCE et leur second album plus abouti, « Old Scars, New Wounds », qui agit comme une vague plutôt convaincante d'un Heavy Metal multiforme, estampillé du sceau de la valeur plus que reconnue du quatuor et du plaisir qu’ils prennent à délivrer la musique qu’ils aiment et à la faire partager!
Tasunka
"Old Scars, New Wounds" Track-List:
01- M.I.A. - 4:10 02- Molten Core - 3:29 03- Overexposure - 4:20 04- The Talisman - 5:53 05- Lullaby of Vengeance - 4:11 06- Circle of Ashes - 3:51 07- Reborn - 3:55 08- Conspiracy of the Gods - 4:47 09- Another Killing Spree - 4:34 10- Broken Dialect - 4:44 11- Rise of Rebellion - 5:08
Recruiting producer Dave Otero (Cattle Decapitation, Allegaeon) the band tracked the record likewise, with Broderick laying down guitars in his own Ill-Fated Studios in LA, Derek and Broderick's vocals tracked at Red Light Studios also in LA, with Bachand tracking his contributions at Manshark in South Hampton, MA and Drover's drums were laid down at Atlanta's Glow In The Dark Studios.
Artwork: AOD looked once more to the vision of Travis Smith - whose visuals have accompanied records from the likes of King Diamond, Opeth, Avenged Sevenfold, and Strapping Young Lad.
ACT OF DEFIANCE Line-Up:
-Chris Broderick - G -Henry Derek - V -Shawn Drover - D -Matt Bachand – B
Il aura donc fallu un peu plus d'une journée, 30 heures pour être exact, pour que les amateurs de musiques extrêmes en tous genres s'arrachent les 55.000 "pass 3 jours" de la 13ème édition du Hellfest, qui avaient été mis en vente le vendredi 13 octobre à 13h13 précises... A un peu plus de 19h00 samedi 14 octobre, l'affaire était entendue, pour la 3ème année consécutive le HellFest affiche complet 9 mois (!!!) avant l'ouverture de ses portes, et ce sans même qu'un seul groupe ne soit encore annoncé !
Pour l'édition 2016, il avait fallu une quinzaine de jours pour réussir un tel exploit, à peine six pour celle de 2017, autant dire que, grâce à la ferveur irrésistiblement croissante de son public, le HellFest vient de battre un nouveau record, chose qu'aucun autre festival français n'avait encore réussi à réaliser à ce jour. Mieux encore, en Europe, seul le prestigieux Waken Open Air était jusqu'alors capable d'une telle prouesse. Autant dire que le HellFest vient, une fois de plus, de confirmer sa place parmi les plus grands événements musicaux du continent. Aujourd'hui plus que toujours, le festival est particulièrement fier de pouvoir compter sur une armée de "Metalheads" aussi motivée, sans qui rien ne serait possible.
Tous nos remerciements vont à chacun d'entre eux !
La 13ème édition du HellFest se déroulera donc les 22, 23, 24 juin 2018 à Clisson. « YOU CAN’T CONTROL IT », le slogan choisi cette année pour présenter l'événement, prend donc ici toute sa dimension... Car, comme ils ont toujours su le faire, Ben Barbaud et ses équipes ne vont pas se reposer sur les lauriers d'un tel succès. Bien au contraire, la confiance, la fidélité et la passion des fans du HellFest sont autant de raisons pour renforcer leur volonté d'investir, d'évoluer, d'innover pour encore et toujours surprendre.
La date précise de l'annonce de la programmation 2018 n'est pas encore arrêtée, mais comme les précédentes éditions l'ont déjà prouvé, la qualité artistique sera au rendez-vous. Gageons qu'il en sera de même pour les conditions d'accueil et le confort des festivaliers, qui avaient déjà été grandement améliorées en 2017 (décors aussi soignés que déments, agrandissement des différentes zones, accès fluidifié, fin des files d’attentes, inauguration d’un nouvel espace VIP, élargissement de la Hell City Street et impressionnant habillage des "Main Stages" avec des écrans plus que géants).
Le Hellfest vous donne donc rendez-vous dans quelques semaines pour découvrir les noms des groupes qui vont constituer l'affiche de cette déjà fameuse 13ème édition.
Le Blues est au cœur de l’inspiration de BLACK STONE CHERRY et le bien nommé EP « Black To Blues » donne l’occasion au quatuor d’exprimer sans retenue son amour pour cette musique unique, originelle, le Blues. Un Blues avec qui ils ont grandi, et qui a été le point de départ de tout pour la bande du Kentucky.
« Black To Blues » est un vibrant hommage via leurs reprises personnelles, aux icones, celles qui ont notamment participé au 'revival' du Blues électrique dans les années soixantes : on retrouvera ainsi non moins que les versions des titres du légendaire Freddie King, des iconiques Howlin’ Wolf, Muddy Waters, Albert King, et de Willie Dixon.
L’approche de BLACK STONE CHERRY a été de reprendre ces classiques en les traitant comme si chaque morceau était l’un des leurs, ce qui donne des reprises qui sonnent comme si, effectivement, la bande elle-même aurait pu les composer : le tonnerre du Kentucky gronde sur chacun des six titres, donnant une couleur fidèle à l’esprit originel et avec une saveur de puissance, de guitares sourdes qui font parler la profondeur dynamique et le groove, le feeling propre à BSC. « Black To Blues » est un bijou d’album fait avec un talent aussi grand que la bande peut être humble et libre à la fois en se mettant au service du Blues et de l’hommage rendu aux mythiques ainés : Howlin’ Wolf que le groupe considère, notamment comme l’une de ses icones du Blues favorites, Freddie King, légende de la guitare électrique Blues qui a, d’ailleurs, fortement inspiré le EP, et les autres pointures, Muddy Waters, Albert King, indirectement Willie Dixon au travers de la reprise de son titre « Built For Comfort » qu’avait faite HOWLIN’ WOLF à l’époque et qui avait connu le succès.
Tous auraient de quoi apprécier ces nouvelles versions, vu que BLACK STONE CHERRY a non seulement réussi un EP hommage à leurs héros et à leurs racines, un EP qui à l’âme du Blues chevillée aux morceaux, mais le quatuor a su aussi relayer le flambeau et faire découvrir ou redécouvrir ce qu’est le Blues : cette musique honnête, profonde et qui parle à chacun.
L’esprit de cet EP, « Black To Blues » va d’ailleurs, aux dires de la bande, se retrouver dans le prochain album.
Un « Black To Blues » qui se salue et se savoure sans modération!
Tasunka
Tracklist:
01-Built For Comfort— (Willie Dixon – song made famous by Howlin' Wolf)
02-Champagne And Reefer – (Muddy Waters)
03-Palace Of The King - (Freddie King)
04-Hoochie Coochie Man – (Muddy Waters)
05.Born Under A Bad Sign – (Albert King)
06-I Want To Be Loved – (Muddy Waters)
BLACK STONE CHERRY Line-Up :
- Chris Robertson - V / G - Ben Wells - G / V - Jon Lawhon - B / V - John Fred Young - D
Lundi dernier, à travers un nouvel épisode de ses bandes annonces bien mystérieuses narrant le quotidien d’une inquiétante famille autour d’un nouveau-né, leHellfesta confirmé que
==> l’ouverture de la billetterie de son édition 2018 était fixée auvendredi 13 octobre.
Une date qui n’a bien entendu pas été choisie au hasard et qui, espérons-le, portera chance à tous ceux qui souhaitent se rendre, à nouveau, ou pour la 1ère fois, à cette fête de l’enfer…
Comme tous les amateurs de musiques extrêmes le savent déjà, la13ème édition du HellFestse déroulera les22, 23, 24 juin 2018à Clisson. « YOU CAN’T CONTROL IT », cette année, voilà en quels termes l’équipe de Ben Barbaud a choisi de souligner son ambition de continuer d’évoluer et d’innover pour encore et toujours surprendre le public.
Au-delà de son impressionnante programmation, l’édition 2017 duHellFesta généré de nombreux retours positifs sur la qualité des décors, l’agrandissement des différentes zones, la fin des interminables files d’attentes, l’inauguration d’un nouvel espace VIP, l’élargissement de la Hell City Street, ou encore l'habillage des Main Stages avec des écrans plus que géants... Avec en sus une météo radieuse, il est clair que ce cru 2017 restera une année exceptionnelle.
Si la qualité artistique de la prochaine affiche ne fait aucun doute, gageons il en sera de même pour les conditions d'accueil et le confort des festivaliers.
On se souvient aussi que l’année dernière leHellFestavait affiché complet dès le mois d’octobre, quelques jours seulement après la mise en vente des pass et sans même qu’un seul groupe n’ait été annoncé ! Jamais un festival français n’avait rencontré une telle marque de confiance et de fidélité de la part de ses fans.
Cette année encore leHellFestannoncera la quasi intégralité de son line up qu’une fois que celui-ci sera finalisé, il va donc falloir attendre encore quelques semaines avant de connaître les noms des groupes qui vont composer l’affiche 2018…