CONCERTS A Ne Pas Manquer / mars et plus: Kamelot, Cannibal Corpse, Kissin' Dynamite, Archspire, Deströyer 666 ...by GARMONBOZIA
Pour le programme complet et plus qu'alléchant de mars à fin 2023, cliquer sur l'affiche ou le logo
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Release date: 18 nov 2022
Les dieux anciens mythologiques du nord vont se réjouir incontestablement en se voyant aussi bien salués et mis à l’honneur par le dernier album, 'Urfader, de GRIMNER et assurément porter haut un Skål , un toast mérité au groupe suédois. C’est que les vikings ont été fidèles à leur fiers aïeux et traditions en mettant ici toutes leurs tripes, leur passion, leur fougue créative en action pour donner vie à leur quatrième album, et ce, à tous niveaux, que ce soit de la composition inspirée, des paroles à l’interprétation qui se montrent fouillées, travaillées mélodiquement tout autant que musclée, racée, riche et infiniment bien servies par un travail de production et mixage d’aussi bonne facture, puisque tout au long de l’album, la puissance, la sueur, le rageux répondent et s’entremêlent aux mélodies, aux gimmicks profonds, légers Folk ou guerriers.
Quand c’est ciselé comme ça, pensé et travaillé au long des cinq années qui séparent le dernier opus des hommes du nord avec ce dernier en date, il faut s’attendre à du bon et c’est assurément le cas, puisque on assiste ici à une fusion réussie du Death avec le Folk, du Heavy, du Power avec le Metal rauque. En langue originelle, avec instruments traditionnels (flute, mandoline) ou en attaques incisives de guitares actuelles renforcé par une batterie au diapason, notamment et sans oublier les cmaviers, chacun des morceaux de 'Urfader’ vaut le détour et a sa patte, son apport à l’ensemble..Vous voulez vibrer au rythme d’une saga et de ses envolées multiples, alors, 'Urfader’ vous attend et fièrement encore ? Et avec, en bonus, une pointe d’humour tout aussi appréciable que pratique GRIMNER dans ses vidéos (voir le solo de guitare sur mandoline de "Västerled")
Skål ! d’autant qu’avec le fort réussi "urfader", GRIMNER fêtent avec brio leurs quinze années d’existence !
Tasunka
- Out August 5th, 2022 -
Avec leur nouvel EP « The King And Queen Of Gasoline », HOT MILK ne font pas de concessions : c’est tout simplement La Liberté dans toute son essence, qui, au long des six titres, enflamme, anime et met le feu aux poudres des déterminés à vivre selon leur loi, loin des carcans réducteurs, qui forment cette pépite de groupe issu de Manchester qu’est HOT MILK.
Puissant, émotionnel, rageur, sombre et bardé d’une de ces envies de vivre, d’être libre d’exister loin du fardeau de tout jugement, voilà pour le postulat de départ de « The King And Queen Of Gasoline » et quoi de mieux pour lui donner corps et vie qu’un groupe investi qui délivre un Emo Power-Pop bien balancé, efficace et tout droit issu autant des tripes du groupe, que de leur âme. En effet, HOT MILK carburent avec leur dernier EP, autant au rentre-dedans incendiaire qu’à la charge émotionnelle sombre, le tout délivré par chaque instrument qui assure incontestablement sa partie, avec notamment le duo de guitares et vocal mené par Han Mee et Jim Shaw qui se distingue et emporte l’adhésion tout autant qu’il est la charpente de la troupe. Riffs acérés, rythmiques et ritournelles hymniques créent une série d’atmosphères avec toutes leur touche qui se distingue, comme le feu provoqué par l’essence qui embrase ou détruit.
Les compositions, interprétation, et paroles sont fortes et authentiques à la fois et donnent envie de vivre tout feu tout flamme.
Il est à noter que la production maison -ou plutôt en chambre- du groupe, est des plus à la hauteur, pour faire passer le message.
Avec « The King And Queen Of Gasoline », les anglais se montrent en constant progrès et assoient encore plus l’engouement suscité lors de la sortie de leurs deux précédents EPS et surtout lors de leurs concert, en tournée support pour notamment FOO FIGHTERS : la scène est leur terrain de jeu et nul doute que les six nouveaux titres vont tout fait enflammer en live (réservez le 8 octobre 2022: ils seront au Bataclan \m/
Tasunka
Release Date : 22 / 07 /2022
'Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort', cette maxime vient spontanément à l’esprit quand il s’agit d’évoquer PALISADES et la naissance de leur dernier opus ravageur par son accroche Rock moderne multiple, par sa rage émotionnelle et par son inspiration et ce, du début à la fin de ce fort prenant: « Reaching Hypercritical ». Celui-ci est, en effet, le pur produit d’un nouveau chapitre dans la vie du groupe: « Reaching Hypercritical » fait preuve en Rock puissant et en émotion, justement, de cette victoire à surmonter tous les obstacles et ils ont été nombreux pour la formation depuis « Erase The pain » dernier album en 2018, puisqu’entre décès d’êtres chers, COVID, changement au sein de sa composition, PALISADES aurait eu de quoi vaciller mais le sang neuf apporté par le passage de leur bassiste au poste de chanteur ainsi que la cohésion, l’unité indéfectible entre chaque membre du groupe, ont permis de non seulement surmonter les heures sombres, mais aussi et surtout d’en sortir plus fort, plus inspiré que jamais.
Les 11 nouveaux titres en sont la meilleure preuve, puisque l’accroche se fait et particulièrement sur les singles : « Better », « My Consequences » ou encore sur les pépites que sont : « Fade Away », « Fray », « Sick Of The Attitude », sans oublier le titre éponyme de l’album « Reaching Hypercritical », « Your Misery », « Sober », « Closure »... C’est que avec « Reaching Hypercritical », PALISADES s’est dépassé et sort le grand jeu avec guitare à donner les poils, un chanteur qui en impose et assure en chant arraché, rageux ou sombrement clair. Ajoutez des paroles inspirées, une production qui aligne les qualités requises pour l’exercice et vous saurez que PALISADES est de retour et en force rageuse et émotionnelle encore.
Welcome back PALISADES !
Tasunka
Brandon Elgar : V
Xavier Adames : G
Matt Marshall : B
Aaron Rosa : D
Tasunka
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Voilà longtemps que nous n'avions pas eu un tel espoir, que nous sommes heureux de vous partager :
les tournées confirmées pour ce mois de mars !
Et aussi un festival !
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LANDMVRKS shared brand new single & video 'Death'
feat. DR€W ¥ORK of STRAY FROM THE PATH
and announced »Lost In The Waves« (The Complete Edition)
- DEATH -
Marseille, France-based metalcore stars LANDMVRKS return with »Lost In The Waves« (The Complete Edition), an expanded version of their highly acclaimed studio album, which includes prominent guest features, new music, and exciting bonus content, due for release on March 18th.
The band has unveiled ‘Death’, the first new track from the expanded edition, which features guest vocals from DR€W ¥ORK of STRAY FROM THE PATH.
»Lost In The Waves« (The Complete Edition) as CD and limited colored vinyl. Complete the collection.
==> You can pre-save it here: https://arisingempire.com/completeedition
»Lost In The Waves« (The Complete Edition) is full of surprises, including three brand new songs with famous features from DR€W ¥ORK of STRAY FROM THE PATH, Bertrand Poncet of CHUNK! NO, CAPTAIN CHUNK! and Anthony Diliberto of RESOLVE, as well as the full livestream set, which premiered on 2nd June last year. For the first offering, 'Death' feat. DR€W ¥ORK of STRAY FROM THE PATH, the band once again teamed up with famous videographer Pavel Trebukhin, known for his astonishing work on music videos for IMMINENCE, ANNISOKAY, NOVELISTS FR as well as visual content on the »Lost In The Waves« cycle.
LANDMVRKS:
Florent Salfati | Vocals
Nicolas Exposito | Guitar
Paul C. Wilson | Guitar
Rudy Purkart | Bass
Kevin D’Agostino | Drums
More info:
www.landmvrks.com
www.facebook.com/landmvrks
www.instagram.com/landmvrks
www.twitter.com/landmvrks
Enlevé, majestueux, sombre, endiablé, orchestral, tourmenté, folk joyeux mais toujours et avant tout puissant de Metal Symphonique à son meilleur niveau, « Glory For Salvation » signe fiérement le retour de la patte qui a autant fait apprécier le talent et la créativité des inspirés Power Symphonic Metal piliers nommés RHAPSODY OF FIRE ; une formation que l’on aurait cru perdue dans les méandres des turpitudes de la vie d’un groupe mais heureusement le sursaut bienvenu est là et c’est avec un plaisir évident que l’on se prend en pleine face la vague puissamment multiforme des titres richement variés, dynamiques à souhait qui forment « Glory For Salvation ».
Oui, quel pied de se laisser emporter notamment par la pièce de choix qu’est le somptueux et royalement puissant, hymnique, « Abyss Of pain II » où Metal et el symphonique s’affrontent, se répondent, se complètent en une apothéose de track qui mérite à lui seul le titre de pièce maitresse de l’album. Quand les guitares, le chant et les orchestrations sont au top ,de leur expression et de leur forme comme c’est le cas dans les moments forts qui composent « Glory For Salvation », on ne peut qu’apprécier.
Certes, tous les morceaux ne brillent pas d’une intensité ou d’un intérêt aussi relevé que les titres phares dont le déchainé et ultra rapide final sur « Chains Of Destiny » fait partie, mais quand c’est le cas comme sur les deux tracks précédemment cités,, on se régale, d’autant qu’outre une inspiration renouvelée dans la composition, il est à souligner le travail de haut vol de la production et en studio qui donne toute sa vie et sa force aux morceaux.
RHAPSODY OF FIRE montre avec « Glory For Salvation » ce concept-album -chapitre 2 d’une saga entamée en 2019- combien le groupe compte dans le paysage Metal.
Tasunka
« Quarz » est un album à la production et surtout au mixage monstre et fin à la fois impeccablement efficace et bien senti pour rendre le détail, la diversité et la force subtile tout autant que rentre dedans de chaque track, de cette création menée de main bien inspirée de STAHLMANN pour leur septième et dernier album en date, un opus réussi et créatif dans ses atmosphères puissantes et variées. Si on retrouve la patte des débuts avec un retour assumé aux origines, c'est-à-dire les trois premiers albums de la formation de Gottingen, le groupe s’en va explorer et élargir son horizon, son potentiel comme ses ailes que l’on déploie et en l’occurrence ici, efficacement. Le métal Rock industriel est la force de frappe, les envolées et explorations synthé électro et fouillées tout autant que puissantes de mélodie ou de martèlement, font mouche. Entre les titres qui martèlent avec délectation et ceux qui s’envolent dans des effluves mélodiques synthé électro, dance pourquoi pas, le salé sucré, en bon paradoxe, fait son œuvre et accroche au long de « Quarz » !
La vague NDH (Neue Deutsche Härte) initialisée avec RAMMSTEIN notamment, a de beaux rejetons et STAHLMANN en est assurément l’un de ses distingués représentants, oscillant entre puissance Métal, Rock Industriel, synthé électro dance et entre mélodies, gimmicks, refrains et voix qui susurrent et frappent, guitares, synthés, rythmiques entêtantes qui vous collent à la peau, (oui, oui, tout ça), bref, un beau panaché d’atouts pour une formation bien inspirée et redoutable pour vous faire voyager en sa compagnie quelle que soit l’atmosphère générée.
« Quarz » est un septième album qui signe un retour aux racines pour les allemands avec, ce qui se souligne, des idées neuves plus une production et surtout un mixage, comme précdemement cité, qui apporte une dimension et une profondeur à chaque détail et force de « Quarz », sans oublier de mentionner en marge de ce nouvel effort, la création de nouveaux costumes de scène et un visuel uniques pour la tournée à venir, le "Quarz Tour".
Quant aux lyrics à double sens, ne vous prenez pas la tête comme l’indique en clin d’œil le frontman du groupe, savourez et ressentez plutôt dans chaque fibre de votre être (si, si) les morceaux, d’autant que chacun y trouvera son ou ses préférés vue la diversité présente.
Retour à saluer pour les inspirés et puissamment efficaces STAHLMANN via « Quarz », en somme !
TASUNKA
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Et de cinq pour GRANDE ROYALE, groupe qui assure s’il en est et s’y connaît pour faire varier les plaisirs en ajustant les atmosphères selon ses albums, et cette fois, ce « et de cinq » d’introduction, fait référence au dernier opus en date des suédois : « Carry On ».
A la différence de son prédécesseur plus orienté Southern Rock et fait d’expérimentations (« Take It Easy »- 2019), avec « Carry On », GRANDE ROYALE s’est replongé et réorienté à fond dans ce qui est l’essence, le carburant originel de la formation, à savoir un Garage Rock, dirty et direct à souhait, survitaminé à l’adrénaline et au plaisir sans retenue de déployer le Rock’n’Roll énergétique qui fleure bon les racines des scènes 70’s américaines et 90’s suédoises, c’est à dire bardé d’efficacité tout autant que d’accroche. En effet, « Carry On », au fil de ses onze titres, déploie, et c’est rien de le dire, un sacré cocktail rugueux, sale, vivant, dynamique à souhait que le duo des guitares roots soulèvent, en écho au chant en duo ou solo, vocaux d’ailleurs plus arrachés qu’auparavant pour l’occasion, et ce, sur une solide fondation rythmique basse/batterie façon coup de tonnerre. Qu’il soit pêchu, direct ou avec touches d’orgue ou à peine plus lent, chaque titre offre son lot d’accroche, à l’image de « Just As bad As You » sur lequel Dregen (Backyard Babies / Hellacopters) se lâche tout simplement aux cotés de ses compatriotes. Enregistré et produit par GRANDE ROYALE même, « Carry On » se voit doté d’un son chaud, authentique, qui participe à l’accroche d’un album tout autant direct que doté de bons arrangements!
Sauvages et toujours malicieux (voir leurs vidéos), Grande Royale assurent avec un « Carry On » positif pour le moral, moins pour les cervicales !
Tasunka
*** 421 jours sans concert, 63 tournées impactées. ***
Voici toutes les informations, classées par ordre alphabétique de la tête d'affiche
🔍 visuel HD: bit.ly/GARMON-covid-202105
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==> ARTWORK: Zbigniew M. Bielak <==
NEKROMANTHEON se sont surpassés avec leur dernier et longtemps muri, travaillé, tout autant qu’attendu nouvel album, « The Visions Of Trismegistos ».
En effet, neuf années se sont écoulées entre le récompensé « Meilleur Album Metal 2012 » : « Rise, Vulcan, Spectre » et ce dernier brulot et si le trio s’est fait plus discret entre temps, même s’il est resté actif en donnant quelques concerts et officiant au sein des formations dont Obliteration, Black Viper, Flight, Deathhammer, il n’en est pas moins resté ciblé sur ce qui l’anime, sa détermination à faire vivre l’esprit du Metal Extreme old school des 80’s avec le souffle d’un vent moderne. Cette fois, c’est sous les ailes féroces de leur « The Visions Of Trismegistos » que NEKROMANTHEON fait impression, en une explosion de Thrash implacable, matiné de Death, Black.
Très exigeants et critiques envers eux-mêmes, les norvégiens ont assurément su composer les nouveaux titres, les faisant murir, leur insufflant autant de vigueur qu’ils les délivrent acérés comme des lames, incisifs, nerveux et d’une férocité remarquée et qui ne laisse pas intact : du travail d’orfèvre en mode ‘débridé et déchainé avec des subtilités bien senties’ en somme, que l’utilisation à nouveau de matériel non numérique lors de l’enregistrement, contribue à délivrer ce son chaud, organique qui donne toute sa dynamique rageusement rapide aux huit titres et appuie une vélocité et efficacité remarquée aux guitare, chant, basse ou encore batterie au combat. Complété par l’artwork totalement dans l’esprit old school 80’s (de Zbigniew M. Bielak) et des lyrics léchés, « The Visions Of Trismegistos » montre que NEKROMANTHEON sait une nouvelle fois faire vivre l’esprit Metal Extreme authentique et s’est, qui plus est, même surpassé, le nouvel album étant un must global, féroce à souhait: cela valait d'attendre!
Tasunka
Bloodred Hourglass just released their new single “Veritas” which is taken off the upcoming album to be released later this year. The new album is expected to be a melodic death metal rollercoaster with an epic feel and a very modern approach to be released later this year via Out Of Line Music.
==> "Musically it's the most diverse BRHG album we've created. It contains our slowest song ever but also the most aggressive headbanger too. It's filled with sadness and joy, brutality and catchiness - a perfect melodeath rollercoaster just the way we wanted it to be," states guitarist Lauri Silvonen.
"Drag Me the Rain" canvas & cover art, once again painted by the talented Mr. Tuomas Koivurinne.
LINE-UP
Jarkko Koukonen - vocals
Jarkko Hyvönen - drums
Jose Moilanen - bass
Lauri Silvonen - guitar
Joni Lahdenkauppi - guitar
Eero Silvonen - guitar
MOTORJESUS a le Heavy Rock exprimé sous toutes ses facettes, chevillé au corps et à l’âme c’est une certitude et si ce groupe d’authentiques passionnés de Rock, de musique qui déménage et touche en pleine cible ne cesse de tracer sa route depuis ses débuts, son septième et tout nouvel opus, « Hellbreaker », se révèle dans la lignée, lui qui indubitablement laisse dans l’asphalte sa mémorable trace, tout moteur rugissant, pédale au plancher, pas de quartier, pas de temps mort, juste l’efficacité redoutable de nouveaux titres sans ballade, option coup de poing façon ‘Muscle Car’ vrombissant de tous ses chevaux. Les compositions et interprétation carburent à pas moins que l’énergie en totale liberté, la dynamique fort contagieuse des guitares, du chant menant la charge avec force et brio, doublé d’une détermination et d’un plaisir évidents qui convainquent et entrainent aisément dans le sillage des MOTORJESUS décidément remontés à bloc. Le nouveau line up et guitariste notamment, insuffle un vent renouvelé de dynamique et de savoir faire qui vient accentuer l’essence au propre comme au figuré qui alimente MOTORJESUS : le Rock authentique qui vient des tripes. Catchy, riffs ravageurs, groove en diable, à la fois taquinant le Rock Punk savoureusement rugueux et les racines classiques, le tourbillon endiablé qui caractérise les nouveaux morceaux, fonctionne sans conteste. Entre une production, un mixage et une composition et interprétation nourris ras la gueule d’efficacité et de tripes, rien à dire, « Hellbreaker » se classe en tête de la course et vaut le plaisir qu’il procure et tant pis pour les cordes vocales et les cervicales malmenées à force de chanter en cœur et headbanger de même. Joli chrono - pardon - coup, de MOTORJESUS via son « Hellbreaker » efficace, très efficace ; alors,
Let the motor run ! :)
Tasunka
Release on: March 26, 2021
L’Alternatif en liberté totale libératrice d’une force créatrice hors norme, tel pourrait être l’intitulé du faire part de naissance de cet EP éponyme de l’inspiré et inspirant NORTHMAAN.
Car pour un météore venu des origines de ce qu’Alternatif pur signifie, « Northmaan » en est assurément un et c’est cette essence, ce feu sans compromis, qui fait que le premier album de l’anglais du grand nord possède une accroche, une profondeur, une inspiration et une énergie autant imparables que bienvenues : en effet, ce retour à l’essentiel à tous niveaux, que ce soit des compositions et interprétation entêtantes, du son de première classe ou des thèmes bien sentis, fait se prendre une claque comme on les aime, car il est trop rare d’être à ce point attrapé littéralement et emporté dans un univers authentique comme celui-là.
Tel un maitre d’œuvre, Northmaan donne vie à lui seul à tout son propre univers, mêlant avec délectation et une profonde implication et évidente inspiration, Alternatif, Indus, Gothic, riffs, rythmes et chants lancinants, menaçants, enjôlants, alternant ainsi avec agilité les atmosphères lourdes et somptueusement sombres, incisives et capiteuses, rapides et tueuses. « Northmaan » propose six pépites qui savent se faire apprécier à leur juste valeur et le EP a cette qualité que chacun trouvera et ressentira chaque morceau selon son propre état d’esprit profond ou du moment : car, comment résister à ces six ‘pièces d’œuvres’, dont « Dying Stars » notamment ?
L’Alternatif rimant ici avec Liberté et création font que l’accroche et le coup de cœur pour NORTHMAAN se font naturellement, comme une évidence :
très addictif, cet premier EP l’est assurément !
Tasunka
Track-Listing:
01. Self Destruct
02. Rage Trigger
03. Persevere
04. Torture First
05. Dying Star
06. Tolerate
Recorded, produced and mixed by Jayce Lewis (Fear Factory, Gary Numan, Ascension of The Watchers, Acid Reign) at Northstone Studios - S.Wales
After some time in the studio Ammotrack have gathered their thoughts about the current situation in the world and transformed them into a new single and video❗️
"’Fucked up Society’, deals with the feeling of being trapped in a world out of balance. The pandemic, climate crisis and current power games are everybody’s new-born reality. For us, this is a way to express the frustration of not being able to live our lives like we used to, but at the same time never giving up hope that life will get better. This strong powerful melody, rapid beats and meaningful dark lyrics, is the perfect “fuck you” to the world we live in today!" //Ammotrack
EVERGREY est l’une de ces formations qui porte haut l’étendard du Metal de qualité et fait honneur au long des ans, à ce que toute création et interprétation musicale, vocale est simplement sensée être, c'est-à-dire se révéler redoutablement efficace au point d’emporter dans un voyage et immerger dans son univers au long de chaque nouvel opus. Et ‘œuvre’, EVERGREY réussit à ce que terme se voit naturellement, spontanément, évoqué au sujet de ses albums, tant l’atmosphère unique à savoir l'alchimie Metal Progressif, Heavy et mélancolique qui caractérise le groupe, fait chaque fois son effet.
Force est de constater que le dernier en date, « Escape Of The Phoenix » est dans la lignée et se révèle être une perle d’album, qui sait allier l’émotion forte à une dynamique heavy remarquée. Les guitares, au son spécifique du au choix d'être accordées en 'sol', sont le leader dans cette énergie impulsant un rythme soutenu aux titres où les vocaux incontournables s’expriment sans retenue, donnant toute leur profondeur et leur intensité à l’atmosphère de chaque titre que chacun des instruments sait tout autant magnifier.
Paradoxalement libérée de toute interruption traditionnelle due aux concerts ou à la promotion, à cause de l’arrêt forcé estampillé Covid-19, la composition de ce douzième effort a pu se faire plus sereinement d’autant que « Escape Of The Phoenix » est un album qui a sa propre existence, la précédente trilogie étant achevée. Cela se ressent aussi dans l’autonomie des paroles, personnelles, qui évoquent les expériences et réflexions intimes loin de tout concept : et, comme il est suggéré, si le Phoenix choisissait sa propre voie, ne faisant pas ce qu’on attend de lui, après tout ?
EVERGREY s’est donné à coeur dans les nouveaux morceaux, qui dégagent du coup tous une force émotionnelle, une accroche imparable. Depuis quatre albums, le son d’Evergrey se trouve sous la houlette de la même équipe de production et le son coup de poing qui en résulte, participe à donner toute sa vigueur à l’univers prenant de ce ‘Phoenix’ réussi à tous niveaux, artwork inclus.
Sans omettre, avant de conclure, de mentionner la cerise sur le gâteau : James LaBrie de DREAM THEATER qui a répondu à l’invitation du groupe pour un duo vocal classe sur « The Beholder ».
EVERGREY, toujours aussi inspirés pour mettre leur habilité autant vocale qu’aux instruments au service de chaque composition, viennent de livrer un incontournable d’album via leur « Escape Of The Phoenix » au son énergétique et au feeling remarqués : un album qui à les crocs assurément et n’est pas désespéré bien au contraire : un must en somme!
Tasunka