Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
ISKA Photos & Works
26 avril 2017

HE IS LEGEND "Few" (French Review) - Official Video "Air Raid" / Audio "Sand" - European Tour Dates / Paris: 02 Mai 2017

 

HeIsLegend_Few4

 

HeIsLegend_logo

 

 

HIL_release

 

spinefarm-300x300 (1)

 

 

« Few » est dédié à tous ceux et celles qui ont soutenu HE IS LEGEND dans tout ce qu’ils font, comme le souligne Croom, la voix de ce groupe atypique et génialement surprenant que peut être HE IS LEGEND et le chanteur de continuer en expliquant que le titre de l’album même, « Few / quelques-uns », a été inspiré par la marraine à la base de l’occulte, Helena Blavatsky.

En effet, tout comme celle-ci dédicaçait, à son époque, l’un de ses livres aux quelques-uns qui suivaient la voie, HE IS LEGEND trouvait une similitude dans ce qu’ils font et tenaient ainsi à dédier leur cinquième opus à ceux qui les suivent sur leur voie en tant que groupe. Les milliers qui ont ainsi répondu présents lors de l’appel de la bande au Crowdfunding, un appel entendu et auquel la réponse des fans a a été telle un « oui, nous voulons un nouvel album de HE IS LEGEND : vœu exaucé grâce à la participation de tous à la campagne IndieGogo lancée par les américains.

Et cela valait le coup, puisque quel opus que ce « Few » : la bande montre, en effet, avec ses 12 nouvelles compositions une belle maturation dans leur Rock, une belle palette de variations qui fleurent bon les influences allant des années 1960 à 90, les ombres de WHITE ZOMBIE, SOUNDGARDEN ou NIRVANA, planant sur l’album. On se trouve surpris par la puissance qui se dégage de chaque morceau, par la richesse du propos, par l’accroche indiscutable qui vous prend, vous donne les poils et toujours vous surprend par son inventivité, son originalité. Les riffs solides comme jamais, frappent fort et droit au but, les rythmiques distillent leur dynamique sur du long terme, les vocaux et paroles sont incisifs, en somme, on est en présence d’une pièce maitresse d’un groupe qui évolue, tout en gardant son naturel, sa patte. Quand on songe que c’est déjà la cinquième œuvre des américains, on se dit qu’il est temps que HE IS LEGEND soit enfin connu et reconnu à sa juste valeur : la formation ayant sans nul doute sa place auprès des plus grands. D’ailleurs, la signature avec Spinefarm Records devrait leur ouvrir les portes auprès d’un plus grand public, ce qui est ne sera que mérité.

Ruez-vous sur « Few », cette pépite d’album d’un groupe de valeur qui vaut le détour !


HE IS LEGEND sera justement en concert ce 2 mai 2017 à Paris, alors , jugez par vous-mêmes, et sur album et en live pour un concert qui va assurer, à n'en pas douter

 


Tasunka

 

 

 

 

 

01.  Air Raid
02. Sand
03. Beaufort
04. Silent Gold
05. Alley Cat
06. Jordan
07. Gold Dust
08. Call Ins
09. Eastern Locust
10. Fritz the Dog
11. The Vampyre
12. The Garden

 

  • HE IS LEGEND produced “Few” with Warrior Sound owner Al Jacobs
  • Artwork by Brad Albright

 

 

 

HeIsLegend_logo

 

The Wilmington, NC quartet:

-Schuylar Croom - Vocals
-Adam Tanbouz - Lead Guitar
-Matty Williams - Bass
-Denis Desloge - Guitar

 

 

 


 

 

 

HeIsLegend_logo

 

 

 


 

HIL_EuropeanTour2017

 

==> Cliquer ici pour le concert @ Paris / Les Etoiles: 02 mai 2017 <==

 

 


 

 HeIsLegend_Few4

 

 

HeIsLegend_logo

 


 

25 avril 2017

STAHLMANN "Bastard" (French Review) - Official Video "Nichts Spricht Wahre Liebe Frei" / Audio "Bastard" - Tour 2017

 

 

Stahlmann_Bastard

Stahlmann_LogoW

 

Release Date: 28 April 2017

 

AFM_LN_Final_RGB_small_s

 

 Stahlmann_CO2

 

 

Gothic, Electro Rock, STAHLMANN fonde son Metal Industriel sur une solide palette d’atouts propres au genre et y incorpore des touches de chaque élément précité, ce qui donne vie à une toute dernière offrande en date, « Bastard ».

Un album très attendu à la pochette prometteuse, mais qui se montre osciller entre convaincant et laissant parfois sur sa faim : c’est que vu le potentiel des allemands, on attendait plus de prise de risques, d’audace et d’exploration des limites pour mieux les repousser, et ainsi se démarquer au lieu de rester dans une zone de confort.

Disons que le plus, est que l’ensemble de « Bastard » bénéficie de toute la dynamique d’un groupe qui assure autant pour ce qui est des vocaux profonds, ‘froidement chauds’ et accrocheurs, surtout que les sonorités rugueuses du chant en allemand collent parfaitement au genre pratiqué, de même pour les instruments, que ce soit des riffs puissants de guitares, des synthés, claviers aux arrangements bien sentis. Tout est, ici, en place et la mécanique fonctionne bien, surtout sur des titres tels que « Bastard », le remarqué « Supernova », « Wächter », les enlevés « Leitwolf », « Judas », la ballade sombrement émotionnelle «Nichts Spricht Wahre Liebe Frei », le très Metal « Von Glut Zur Asche », valant la découverte. Le bémol vient de ce que quand la mécanique fonctionne trop sur des rails comme c’est le cas par plages au long de « Bastard », le décrochage se fait par instants, faute d’une patte affirmée et originale sur quelques titres.

En somme, un son au top, un groupe qui en veut mais aurait pu se donner encore plus les moyens de ses ambitions, font de « Bastard » un album efficacement bardé de compositions et interprétation à fleur de peau propres à poser l’atmosphère, un opus qui s’écoute avec plaisir mais qui aurait néanmoins pu se démarquer encore plus de Rammstein et emporter la mise, en prenant des risques.

« Bastard » est et reste un bon album, n’en déplaise, un album qui remplit son office en faisant passer un moment de qualité en la compagnie de Stahlmann, groupe de la NDH (Neue Deutsche Härte), qui vaut d’être connu!

 

Tasunka

 

 

 

 

 

"Bastard" Track-List:


01. Leitwolf
02. Judas
03. Bastard
04. Nichts Spricht Wahre Liebe Frei
05. Wächter
06. Von Glut Zu Asche
07. Alptraum
08. Dein Gott
09. Schwarz Und Weiss
10. Supernova

Digipak Bonustrack:
11. Military Lapdance

 

 

 


 

 

 

 “Nichts Spricht Wahre Liebe Frei”, a dark ballad about the power and effect of relationships, was directed by Patric Ullaeus who also worked with amazing artists like Evergrey, In Flames, Arch Enemy and Kamelot.

 

sm_b_s_600x600

 

 

 

 


 

Stahlmann_Tour2017

 


 

 

Stahlmann_Bastard

 


Stahlmann_LogoW

 


 

 

24 avril 2017

ANCIENT ASCENDANT "Raise The Torch" (French Review) - Official Video "Scaling The Gods"

 

AA_RaiseTheTorch4

 

AncientAscendant_logo

 

 

Release date: April 21st, 2017

 

candlelight  spinefarm-300x300 (1)

 

 

« Raise The Torch» est comme le déclarent ANCIENT ASCENDANT eux-mêmes, le point culminant d’années d’efforts et cela s’entend, se ressent littéralement, viscéralement au long des neuf nouvelles et fortes compositions que délivrent les anglais : incontestablement, ils ont mis toute leur énergie dans les nouveaux titres, c’est clair, en plus de s’être investis personnellement et financièrement.

On retrouve effectivement au long de « Raise The Torch », la patte unique qui fait apprécier ANCIENT ASCENDANT, à savoir une solide base qui joue avec le Death et le Black Metal tout autant, pour un rendu des plus fédérateurs, où les agressions sont d’une redoutable efficacité puisque doublées avec prouesse d’une approche mélodique toujours bien sentie et tranchante comme un flèche qui touche droit au but. Les influences diverses puisées dans la tradition Metal qui caractérisent la bande et marquent son éclectisme, sont elles aussi bien présentes et épicent des morceaux déjà dotés d’un calibre de premier ordre. On s’incline devant la dynamique, la puissance d’un excellent « Scaling The Gods » à la ritournelle imparable des guitares et aux vocaux, tous incisifs, taillés pour faire mouche, tout comme peut l’être la section rythmique option coup de poing. On s’en prend plein les oreilles avec « Unearthy », « Our Way », « Carnal », pour mieux ensuite succomber au groove Death / Black du fort réussi « Foreign Skys » qui se transforme vite en un must au fil des écoutes. Tout comme son comparse de titre, « Grasping The Torch » qui se distingue pareillement en alignant tous les atouts qui font la force du quatuor et sans omettre de mentionner le final sur un « To The Cold » hargneux et mélodique à point.

Ancient Ascendant se montrent avec « Raise The Torch » être non seulement des musiciens et chanteur de haut vol, talentueux et habiles à créer des atmosphères prenantes s’il en est : inspirés, les anglais le sont assurément et leur troisième opus, servi par le meilleur son que le groupe ait jamais eu, est une perle d’album au pouvoir accrocheur et agressif certain !


ANCIENT ASCENDANT élèvent le flambeau haut, très haut !

 

Tasunka

 

 

 

 

 


“Raise The Torch” Tracklisting:

01. Reawakening
02. Our Way
03. Scaling The Gods
04. Unearth
05. Carnal
06. Foreign Skies
07. Grasping The Torch
08. The Great Curve
09. To The Cold

 

Recorded at Ritual Sound - Recording Studio and mixed and mastered at Unisound AB by Dan Swanö

once again featuring the fantastic artwork of Rotten Fantom

 

 

 

AncientAscendant_logo


ANCIENT ASCENDANT Line-Up:

-Alex Butler - Guitar/Vocals
-Dave Moulding - Drums
-Alan Webb - Bass
-Nariman Poushin – Guitar

 

 

 


 

 


 

AA_RaiseTheTorch4

 

AncientAscendant_logo

 

 


 

23 avril 2017

AXEL RUDI PELL "The Ballads V" (French Review) - Official Video "Love's Holding On" (Featuring Bonnie Tyler) - Live 2017

 

ARP_Ballads V_4

 

arp-chromeLogo4

 

 

Release Date:  april 21st, 2017 (World)

SPV_Steamhammer_skulllogo2015

 

 

Comme le bon vin, AXEL RUDI PELL et son groupe au line-up racé de vieux briscards du Hard mélodique, ne cesse de se bonifier avec le temps tout autant que de garder intactes toutes ses qualités, à savoir des compositions à la classe et l’accroche, à la puissance émotionnelle et mélodique, toujours autant marquantes.

« The Ballads V », la dernière et cinquième cuvée donc, du meilleur des balades des six dernières années du maestro de compositeur, guitariste hors pair qu’est Axel Rudi Pell, plus deux nouvelles compositions, un nouveau cover ainsi qu’un inédit live, jamais encore diffusé plus une reprise toujours live, de DEEP PURPLE, cette fois, font de ce nouveau chapitre des balades un efficace mixe entre hits classiques et nouveautés en passe de le devenir, des classiques.

Prenez, pour commencer, le morceau écrit spécialement pour la charismatique et incontournable Bonnie Tyler, que Herr Pell admire depuis longtemps et avec qui il souhaitait collaborer. La chanson « Love’s Holding On », ayant plu à la chanteuse à la voix unique, le duo Joey Gioeli / Bonnie Tyler, appuyé d’une guitare émotionnelle et forte, a vu le jour pour notre plus grand plaisir. Le titre qui est une réussite, est d’ailleurs sorti comme single fin mars dernier. Côté nouveaux morceaux, on compte la reprise de Ed Sheeran, « I See Fire », une reprise à la sauce ARP qui pimente d’un rock bien senti, le morceau original. Pour ce qui est du troisième et nouveau titre, « On the Edge Of Our Time », tout comme pour « Love’s Holding On », on se trouve en présence d’une perle. Quant aux classiques issus des albums allant de 2012 à 2016, le plaisir se prolonge, tout comme et particulièrement sur la reprise de Neil Young « Hey Hey My My », une reprise très inspirée dans sa version, par l’ambiance de la puissante série « Sons Of Anarchy »: toute en intensité en somme. Ajoutez le live « The Line » enregistré mais jamais encore sorti sur album ou l’autre live, le morceau de bravoure de 14 minutes de la reprise de DEEP PURPLE, « Mistreated », capté en juillet 2014 lors du concert pour le vingt cinquième anniversaire du groupe, et avec en guests Doogie White
(ex-Rainbow, MSG) aux vocaux et le légendaire clavier de RAINBOW, 
Tony Carey.


Axel Rudi Pell est un compositeur prolifique et en ce moment, il écrit pour le futur album de pur Hard mélodique, qui devrait sortir en fin d'année; aussi, cet opus de ballades familières et nouvelles, est-il un bon moyen de patienter et en beauté encore :
en effet, la qualité estampillée AXEL RUDI PELL fait ici encore et toujours mouche et ce, à tous niveaux: de la pochette, du son, aux compositions puissantes à l’interprétation d’un groupe où chacun se montre être une pointure de musicien et chanteur, une formation d'ailleurs soudée autour d'un line-up solide comme le Hard Rock !

Classe et accrocheur, ce « The Ballads V », en somme !


Tasunka

 

 

 

 

arp-logo

 

“The Ballads V” Track-List:


01- Love’s Holding On (new song feat. Bonnie Tyler)
02- I See Fire  (new cover version, Ed Sheeran song)
03- On The Edge Of Our Time (new song)
04- Hey Hey My My  (Neil Young cover version)
05- Lived Our Lives Before  (taken from “Circle Of The Oath“, 2012)
06- When Truth Hurts (from “Into The Storm“, 2014)
07- Forever Free (from “Games Of Sin“, 2016)
08- Lost In Love (from “Games Of Sin“, 2016)
09- The Line (live) (previously unreleased)
10- Mistreated (live)  (Deep Purple cover version)

 

 

 

arp-logo

 

 

 

 AXEL RUDI PELL Line Up:


-Johnny Gioeli - Lead and Backing Vocals
-Axel Rudi Pell - Lead, Rhythm and Acoustic Guitars
-Ferdy Doernberg - Keyboards
-Volker Krawczak - Bass
-Bobby Rondinelli - Drums

 

 


 

 

Axel-Rudi-Pell-feat

 

 

 

 

Axel Rudi Pell & Bonnie Tyler_4

 

 


 

ARP_digi

AXEL RUDI PELL Discography:


1989 Wild Obsessions
1991 Nasty Reputation
1992 Eternal Prisoner
1993 The Ballads
1994 Between The Walls
1995 Made In Germany (live)
1996 Black Moon Pyramid
1997 Magic
1998 Oceans Of Time
1999 The Ballads II
2000 The Masquerade Ball
2000 The Wizards Chosen Few (best of)
2002 Shadow Zone
2002 Knight Treasures - Live And More (DVD)
2002 Knights Live (live)
2004 Kings And Queens
2004 The Ballads III
2006 Mystica
2007 Diamonds Unlocked (cover versions)
2008 Live Over Europe (DVD)
2008 Tales Of The Crown
2009 Best Of- Anniversary Edition (best of)
2010 One Night Live (DVD)
2010 The Crest
2011 The Ballads IV
2012 Circle Of The Oath
2013 Live On Fire (DVD)
2014 Into The Storm
2015 Magic Moments (DVD)
2016 Game Of Sins
2017 The Ballads V 


=> all products are released on SPV / Steamhammer!!!!!!
 
 

 


 


 
Live 2017: 



14.06.D-Augsburg - Spectrum
15.06.D-St. Goarshausen - RockFels Festival
16.06.CH-Pratteln - Z7
17.06.B-Dessel - Graspop Metal Meeting
 

 

ARP_vinyl

arp-chromeLogo4

 


 

22 avril 2017

COLTSBLOOD ‘Ascending Into Shimmering Darkness’ (French Review) - Official Video 'Ascending Into Shimmering Darkness'

 

Coltsblood_AintoSD_4

 

Coltsblood_logo02

 

Release date: April 21st, 2017

 

candlelight  spinefarm-300x300 (1)

 

 

COLTSBLOOD sont une force de frappe du Doom, une arme fatale qui vous attrape, vous entraine loin, profondément dans le côté sombre et dangereusement, superbement hypnotisant de leurs glaciales origines du Nord de l’Angleterre, de l’Ecosse.

Avec leur seconde agression, bien-nommée 'Ascending Into Shimmering Darkness', la transe est au rendez-vous, comme un coup de poing de Doom flirtant avec du Death et une pointe de Sludge mais toujours avec, intact et radical, l’esprit Doom qui est ici salement et superbement à l’ouvrage. Sur 52 :45 minutes, le plaisir de sombrer au sein du Doom sans aucun compromis de COLTSBLOOD, fonctionne au-delà des attentes, ne laissant ainsi pas indemne. Le triumvirat infernal est à saluer pour cette œuvre unique, superbement dark, mélancolique, qui se révèle être un incontournable d’album, tout comme le trio peut être un incontournable de groupe. Une réussite qui commence dès la pochette à nouveau due au talent de Eric C Harrison, qui a su complètement capter l’esprit insufflé par COLTSBLOOD à 'Ascending Into Shimmering Darkness', en passant par une production de premier ordre à bien sûr, par une interprétation viscérale et marquante de la part des trois âmes de COLTSBLOOD.


Une véritable sale claque de Doom insondable, malsainement chatoyant!

 


Tasunka

 

 

 

 


'Ascending Into Shimmering Darkness' Tracklist:

01. Ascending Into Shimmering Darkness (12:54)
02. Mortal Wound (06:30)
03. The Legend Of Abhartach (07:49)
04. Ever Decreasing Circles (12:19)
05. The Final Winter (13:10)

 

 

  • The sleeve is once again covered in the demented scrawlings of legendary Grief mainman Eric C Harrison
  • ‘Ascending Into Shimmering Darkness’ produced by Chris Fielding (Winterfylleth, Primordial, Napalm Death) at Skyhammer Studio and mastered by Greg Chandler of Esoteric and Priory Recording Studios.

 

 

Coltsblood_logo

 

 

-John McNulty - Electric Bass Guitar, Vocals
-Jemma McNulty - Six stringed Battle Axe
-Jay Plested - War Drums

 

 


 

 

 


 

Coltsblood_merch

 


 

Coltsblood_AintoSD_4

 

Coltsblood_logo

 


 

21 avril 2017

UNEVEN STRUCTURE "La Partition" (French Review) - Official Videos "La Partition" (teaser)/"Incube" - EUROPEAN TOUR

 

Uneven Structure_La Partition4

Uneven Structure - Logo

 

 

US_LaPartition_release

LBR_logo

 

 

 

Quatre ans que UNEVEN STRUCTURE travaillaient sur leur concept-album , « La Partition » et on peut dire que le sextette a mis la barre haute, très haute avec un disque qui tutoie la perfection.

C’est simple, le successeur du déjà largement salué « Februus » (2011), pose les bases d’un post Djent, avec ce mixage audacieux et abouti entre les genres, un mélange et une base qui sont à l’image du son : alambiqué et accrocheur à la fois, technique et expérimental, aux arrangements fins, complexes, puissants et qui donnent vie, génèrent un de ces grooves qui emporte tout sur son passage.

Comment décrire un album qui se classe directement dans la catégorie ‘un skeud comme ça, on l’attendait depuis longtemps’ autrement que par des superlatifs ?

Les ambiances riches, élaborées et organiquement fédératrices à la fois, se taillent la part du lion au long de chacun des titres, qui sont autant de perles de par leur composition et leur interprétation, des perles qui voient la force du Metal avec la technique du Prog et l’atmosphérique, faire des ravages sur leur passage tout au long de « La Partition ». De la pochette de qualité, à la production peaufinée et racée, à l’interprétation d’un groupe au line-up à nouveau solide, une formation au demeurant, totalement investie dans le nouvel opus, et qui y a, cela se ressent, mis corps et âme, tout « La Partition » vous emportant littéralement. Tout se poursuit avec « Incube» qui fait le pont entre l’album « Februus » de 2011 et celui de 2017 et que vogue UNEVEN STRUCTURE vers les hauts sommets, là où est indiscutablement la place de cette formation hexagonale de valeur et classe internationales. D’ailleurs, la signature en janvier 2017 avec non moins que Long Branch records, pour une sortie à l’international, vaut tous les discours.


Hautement, chaudement recommandable, « La Partition » et son superbe voyage de 56 minutes dans l’univers intense de UNEVEN STRUCTURE !


Tasunka

 

 

 

 

 

"La Partition"Track-List:

01. Alkaline Throat
02. Brazen Tongue
03. Crystal Teeth 
04. Groomed And Resting
05. Incube
06. Succube
07. Funambule 
08. Greeted And Dining
09. The Bait
10. Our Embrace
11. Your Scent

UnevenStructure_LaPartition_2LP04

 

 

UNEVEN STRUCTURE Line-Up:

-Arnaud Verrier – Drums (ex Zuul FX / Kadinja)
-Benoit Friedrich - Bass
-Igor Omodei - Guitar, Production, Videos
-Jérôme Colombelli - Guitar
-Matthieu Romarin - Vocals, Production
-Steeves Hostin – Guitar (Beyond The Dust)

 

 

 

UnevenStructureSognsLBR_012017

 

 

 

 

 

US_LaPartition_out21April

 

 

 


 

US_tour

 

+

-06.-10.07. UK, Newark - UK Tech-Fest
-29.09.-01.10. DE, Cologne - Euroblast Festival

 


 

US_merch01


 

19 avril 2017

NIGHT DEMON "Darkness Remains" (French Review) - Official Videos "Welcome To The Night"/ "Hallowed Ground" - European Tour

 

NightDemon_DarknessRemains

NightDemon_logo4

 

ND_Out_Tour

 

SPV_Steamhammer_skulllogo2015

 

 

L’esprit de la New Wave Of Heavy Metal (NWOBHM) est bel et bien vivant et en forme encore, avec le retour des NIGHT DEMON pour un second brulot de haut vol, « Darkness Remains ».

Ces pourvoyeurs de solides guitares en soli, riffs et gimmicks rythmiques, mélodiques et hymniques qui tuent, ces pourvoyeurs de même, de séquences de basse sourde intelligemment mise en avant quand c’est requis et d’une batterie au diapason, ainsi que d’un chant taillé pour le style, bref, voila que le trio apporte de nouvelles compositions qui ont un atout immédiatement notable, celui de voir une maturité dans le son, ainsi qu’une affirmation de chaque musicien qui trouve sa place et la marque de son empreinte, avec force: le nouveau guitariste, Armand John Anthony, se fait d’ailleurs particulièrement remarquer avec sa fougue et sa maitrise à la six cordes, qui donnent une assise fort accrocheuse aux titres. Cela s’entend notamment sur un « Life On The Run » efficace, qui affiche la qualité de chacun des membres du groupe, ainsi que celle des compositions, compositions qui savent passer d’un mid-tempo de démarrage à une accélération dans le rythme et l’intensité ; le titre est bien inspiré et le gimmick qui fleure bon IRON MAIDEN, vient de surcroit, épicer le tout. 

De toute façon, relevé, tout « Darkness Remains » l’est assurément et prouve combien le Heavy Metal est vivant, moderne tout en étant solidement ancré dans les racines du genre. Des morceaux tels que l’hymnique « On Your Own », « Stranger In The Room », « Hallowed Ground », font plaisir à se ruiner le cou en headbangant en cadence et le must arrive à la fin de l’album, avec tout d’abord le bel instrumental « Flight Of The Manticore » qui sert de prélude au meilleur morceau, à savoir « Darkness Remains ». Ce track sait effectivement faire montre d’une facette et une richesse qui font mouche, accrochent et qui laissent présager d’une maturation en devenir pour les américains: une facette de NIGHT DEMON qu’on a envie de découvrir encore plus.

En attendant, NIGHT DEMON vont pratiquer leur sport préféré, diffuser le bonne parole Heavy Metal au long d’une tournée européenne et lors de nombreux festivals, alors, ne vous privez pas d’un album « Darkness Remains », qui se montre fort efficace et de voir une troupe qui l’est tout autant sur scène :

‘bienvenue dans la nuit’ avec NIGHT DEMON !

 

Tasunka

TasunkaLynx_4444

 

 

 

 

Tracklisting “Darkness Remains”:


DigiPak Version:

01-WELCOME TO THE NIGHT 3:51
02-HALLOWED GROUND 3:53
03-MAIDEN HELL 2:43
04-STRANGER IN THE ROOM 4:09
05-LIFE ON THE RUN 3:34
06-DAWN RIDER 3:22
07-BLACK WIDOW 3:26
08-ON YOUR OWN 3:27
09-FLIGHT OF THE MANTICORE (Instrumental) 4:06
10-DARKNESS REMAINS 5:31

 

 

 


NIGHT DEMON Line-Up:

-Jarvis Leatherby – B / V
-Armand John Anthony – G
-Dusty Squires – D

 

 


 

NightDemon_EuropeanTour2017

 

 

21.04.D- Oberhausen - Helvete (with Angel Witch)
22.04.NL- Stadskanaal - Very 'Eavy Festival
23.04.B- Roeselare - De Verlichte Geest (with Angel Witch)
26.04.NL-Tilburg - Little Devil
27.04.B- Diest - Moonlight Music Hall
28.-29.04.D- Lauda/Königshofen - Keep It True Festival
30.04.D- Leipzig - Hellraiser
03.05.CH- Aarau - Kiff
05.05.E- Madrid - Pounding Metal Fest
11.05.D- Karlsruhe - Alte Hackerei
13.05.D- Oberndorf am Lech - Metalheadz Open Air
14.05.CH- Chur - Pallazo Beat Club
16.05.D- Munich - Backstage
17.05.A- Vienna - Escape Metal Corner
19.05.D- Etzenrot - Soundcheck One
20.05.A- Dornbirn - Schlachthaus
24.05.PL- Warsaw - Poglos
26.05.-27.05.GR- Athens - Up The Hammers Festival
01.-03.06.SE- Tyrolen - Muskelrock
03.06.D- Berlin - Cortina
04.06.D- Gelsenkirchen - Rock Hard Festival
27.07.D- Brande/Hörnerkirchen - Headbanger's Open
10.-12.08.D- Schlotheim - PartySan Open Air

 

 


 

NightDemon_DarknessRemains

NightDemon_logo4

 


 

17 avril 2017

DARKE COMPLEX "Point Oblivion" ( French Review) - Official Videos "Void" / "Dead To Me"

 

DarkeComplex_PointOblivion4

 

DarkeComplex_logo

 

==> Release Date: April 21st, 2017 <==

spinefarm-300x300 (1)

 

 

Unique et puissamment groovy, un déploiement de mélange de genres basé sur du Metalcore bien senti, et fondu avec du Nü-Metal, Hip-Hop et électronique, nul doute qu’avec ce « Point Oblivion » qui porte bien son nom, DARKE COMPLEX reviennent tout en force de frappe et de persuasion, après s’être totalement immergés, coupés du monde pour donner vie au successeur du brutal et salué EP « Widow ».

La promesse des Texans était d’offrir du nouveau, et l’attente valait le coup, en entendant la montagne russe de sensations multi-facettes qu’offre ce « Point D’oubli » de tout son long. Les compositions jouent et assurent à fusionner l’arsenal des styles en une osmose qui fonctionne bien, et se distingue notamment sur « Marking Target s», « Cold Blooded ». D’ailleurs, on sent une inspiration des plus assumées par un panel allant de SLIPKNOT, à LINKIN PARK mais aussi, Travi$ Scott ou encore Kayne West, le tout passé au mixeur de l’identité assez typée d’une décennie plus tôt, de DARKE COMPLEX, pour un résultat qui attire, accroche et fédère. Le chant saturé couplé au chant clair marche en un tandem efficace, où l’énergie circule, se ressent et fonctionne au mieux pour soutenir, sublimer, les guitares aux riffs qui broient tout, la basse et la batterie.


Multifacettes, multi genres et multiculturel, DARKE COMPLEX se sont posé un défi de déconstruire pour reconstruire les genres, les mêler et ça marche : le résultat se nomme « Point Of oblivion » et ce debut album a cette touche, cette patte qui sont parlantes des premiers riffs et notes aux derniers.

Une pièce qui confirme le talent et l’inspiration de qualité, la dynamique des américains!

 

 

Tasunka

 

 

 

 

 

« Point Oblivion » Track-Listing :

01-Dead To Me
02-Nothin Within
03-One Of Us
04-Abandoned
05-Detox
06-Marking Targets
07-Void
08-Memory Museum
09-Wounds
10-Cold Blooded
11-Out Of Options
12-Erase

 

 

DarkeComplex_LineUp

 


 

 

 

DarkeComplex_LogoY

 

 

 

 


 

 

DarkeComplex_PointOblivion4

 

DarkeComplex_logo

 


 

 

 

15 avril 2017

ALFAHANNE "Det Nya Svarta" (French Review) - Official Lyric Video "Avgrundsgravitation"

 

Alfahanne_DetNyaSvarta

 

 Alfahanne-logo4

 

 

==> Release: 07 April 2017 <==

 

IndieRecordings

 

 

 

 

Alfapocalyptic Rock / ALFAHANNE, vous connaissez ? Alors, lisez ce qui suit :)

Fondé sur une forte détermination, celle de remettre du danger dans le Rock, de le réveiller, le secouer et revenir aux origines non édulcorées, le groupe ALFAHANNE est unique en son genre, dans sa façon de reprendre les racines et oser en tirer toute l’essence et la sublime et dangereuse beauté brute, originelle.

Le nouvel  et troisième opus « "Det Nya Svarta" est le meilleur porte-parole de cet état d’esprit qui ne se soucie ni des modes, ni des genres musicaux et va plus loin, en délivrant un Rock libre, sombre et fort de ses multiples sources, pour une musique qui vous remue, autant de par ses compositions naturelles et brillantes d’habileté, d’authenticité, de puissance, que de par ses accroches mélodiques que, de même, par ses paroles profondes, cette fois, très personnelles et en qui chacun pourra plonger et trouver de nombreuses vérités.

On assiste avec « "Det Nya Svarta" comprenez « Le Nouveau Noir » à un tour de force au long des morceaux, qui voient le parfum Black, scène dont chacun des membres du groupe est issu, ce parfum donc mélangé au Rock sombre en un éclat d’atmosphères, toutes intenses et prenantes comme rarement. Si chaque titre a son accroche propre, la seconde moitié du disque s’envole cependant encore plus haut, loin, notamment avec une montée en tours via des morceaux très remarqués, dont le lancinant " Mitt Mörker Är Mörkare Än Ditt "  (Mon obscurité est plus sombre que la votre),  l’imparable ritournelle des guitares Rock et du chant hymnique de « Även En Hund Har Sin Dag » ((Même un chien a son jour), « Svarta Får »  (Brebis galeuse), ou encore «  Avgrundsgravitation » ( Gravitation en Abîme), « Stigmata » en échos, et le tout pour se conclure sur le très réussi final avec la beauté sombre de « Det Nya Svarta » (Le nouveau noir),

Les suédois de ALFAHANNE ont rendu, avec « Det Nya Svarta » et grace à une production racée, tout le feeling du Rock tel qu’il était à l’origine, tout en étant intemporel : libre et sauvage, profond, dangereusement accrocheur. Voilà le « Nouveau Noir », qui, comme le rappelle la troupe originaire d’Eskilstuna:

"The only political issue that is close to our hearts is equal rights but the flipside of that same coin is that we think everyone is equally....
Equally useless."Alfahanne

            ALFAHANNE délivrent avec leur troisième album, une véritable attaque unique de Rock, au feeling qui touche droit aux tripes, avec son punch authentique : une attaque de ce que ALFAHANNE jouent et décrivent eux-mêmes, comme de l’

 Alfapocalyptic Rock! Indispensable !

 

 

Tasunka

 

 

 

 

 

 ************

 

 

==> This is what Alfahanne's Pehr says of the track "Det Nya Svarta": "This song pierces my heart every time I listen to it. So full of hope but at the same time hopeless. So smart but yet so naive. I have tried to translate it to English so you all can all be a part of it...."

 

I am drawing up a New World , because i am so Tired of the old one.
I push the button and wait for something to happen, wait for something to happen 
Yesterdays colours are bleak, bleak as bones yeah bleak as bones.
Feeling my heartbeats as I wait for something to happen, wait for the bomb..
One last scream the New Black 
Now we are the New Black..
I turn the page I never look back, no never looking back.
I push the button and wait for something to happen, wait for something to happen .
Yesterdays clothes are out of style , cold as the winter yeah cold as the winter. 
Feeling my heartbeats as I wait for something to happen, wait for the bomb.
One last scream the New Black 
Now we are the New Black....

 

 

***********

 

 

"Det Nya Svarta" Tracklist:

 

01-Satans verser (Guest vocals by Dolk from Kampfar)

02-Stigmata

03-Avgrundsgravitation (Guest vocals by David Lindh from Yvonne and Broder)

04-Dödsmaskin (Guest vocals by Sanrabb from Gehenna)

05-Klubb 27

06-Mitt mörker är mörkare än ditt (Guest/Sample on by Nadine Skjoldhammer)

07-Även en hund har sin dag

08-Svarta får

09-Det nya svarta

  

 

==> Artwork by Trine + Kim Design Studio

 

==> Album credits:

  • All music by Alfahanne
  • Lyrics by Pehr Skjoldhammer
  • "Svarta får" lyrics by Pehr Skjoldhammer and Fredrik Sööberg
  • Recorded at Dödskult studio by Alfahanne (Pehr Skjoldhammer)
  • Mixed and mastered by Stamos Koliousis
  • Recorded at Nest Studio, Oslo, Norway by Stamos Koliousis
  • Recorded at Barnhus Zoo studio

 

 

ALFAHANNEalfapocalypticRock

 

ALFAHANNE Line-Up:

 

-Pehr Skjoldhammer: Vocals & Guitars

-Fredrik Sööberg: Guitar

-Jimmy Wiberg: Bass

-Niklas Åström: Drums

 

 

ALFAHANNE Discography:

-2013 - “Grym”,

split 7” with NIKLAS KVARFORTH's SHINING on Svart Records

-2014 - “Alfapokalyps”

debut full length album on CD and 12" vinyl on Dark Essence Records

-2015 - "Blod Eld Alfa"

full length album on CD and 12" vinyl on Dark Essence Records

 

 

 


 

Alfahanne_Avsgrundgravitation

 

 

 Video by Marcelo Vasco Arts for the track " Avgrundsgravitation"

Guest vocals by David Lindh of Soot & Flood and Yvonne and Broder Daniel

 

 

 

 

Alfahanne_stigmata

 

 

Alfahanne_SatansVerser

 

 

Alfahanne-logga

 


 

10 avril 2017

SHORES OF NULL "Black Drapes For Tomorrow" (French Review)

 

ShoresOfNull_BDFTomorrow

 

 

ShoresOfNull_release2017

candlelight   spinefarm-300x300 (1)

 

 

Les envoutantes beauté mélancolique et profondeur du Doom, que viennent compléter des appoints de Black, pourraient à elles seules présenter le second effort studio de SHORES OF THE NULL.

Le groupe italien poursuit, en effet, avec « Black Drapes For Tomorrow », sur la lancée de leur salué debut album, « Quiescence » (2014) mais non sans évoluer et placer une atmosphère profondément sombre et d’une beauté ensorcelante, au cœur de ce second album de qualité.

Les ambiances intenses se mêlent, se croisent, se répondent, au gré des riffs accrocheurs bardés d’émotions, d’agressivité, des vocaux qui savent procurer tout autant de feeling ou de répondant et ce, que ce soit en étant majoritairement sombres, Doom et Black ou en voix claire, quand le moment est propice. Du duo des guitares, de la basse, la batterie, des vocaux en lead et des chœurs, tout fonctionne avec une efficacités redoutable pour générer et insuffler profondeur et intensité ombrageuse à des compositions intelligemment amenées et qui savent distiller un éventail de sentiments ténébreux, mélancoliques, qui ne laisse pas indemnes! Le Doom sombre de SHORES OF THE NULL brille dans le noir, justement en sachant ne pas être se perdre; au contraire, au long de « Black Drapes For Tomorrow », on assiste à un déploiement d'atouts où les mélodies et une grande sensibilité, côtoient un charisme bien affirmé ainsi qu’une agressivité à saluer pour le contre-point qu’elle apporte.

« Black Drapes For Tomorrow » porte le sceau d’un grand groupe, qui aligne une sacrée sensibilité, un naturel et une inspiration qui n’ont d’équivalents que leurs atouts de composition et d’interprétation: très réussi !

 

 


Tasunka

 

 

 

 

 

“Black Drapes for Tomorrow” Tracklisting:

01. Tributary Waters
02. Donau
03. Tide Against Us
04. House Of Cries
05. Black Drapes For Tomorrow
06. The Enemy Within
07. Carry On, My Tiny Hope
08. We Ain’t Ashes
09. A Thousand Storms 
10. The Kolyma Route 
11. Death Of A River

 

  • Artwork by Diletta F. [Eba Art]
  • The entire recording, mixing and mastering process has been entrusted once again to Marco Mastrobuono at Kick Recording Studio (Fleshgod Apocalypse, Hour Of Penance

 

 

ShoresOfNull_logo2013byDartworks

 

SHORES OF NULL Line-Up:

-Davide Straccione - Vocals 
-Gabriele Giaccari - Guitar (live backing vocals)
-Raffaele Colace - Guitar (live backing growls) 
-Matteo Capozucca - Bass (live backing screams) 
-Emiliano Cantiano - Drums 

 

 

ShoresOfNull_BDFTomorrow

 

 

 

 


 

 

7 avril 2017

TRIAL (Swe) ( French Review) - Official Audios "Motherless" / "Cold Comes the Night" / "Juxtaposed"

 

Trial_Motherless4

 

TRIALswe_Release2017

 

 

MetalBlade35thanniversary_2017

 

 

 

TRIAL vient de Suède et pour se différencier le groupe se différencie, on peut le dire; bien sûr, simplement du fait d’avoir à ajouter (Swe) à son nom comme il n’est pas le seul ainsi dénommé, mais la différence majeure qui est bien entendu plus intéressante et fait acclamer la bande depuis ses débuts en 2007, est sa capacité à se renouveler musicalement, à explorer des horizons différents à chaque album. «Motherless » ne déroge pas à la règle, lui qui voit les nouvelles compositions s’appuyer sur un Heavy Metal ‘old school’ solide et cette fois plus profond encore, qui flirte avec le Doom et se voit moins d’influence Black, tout en offrant un sacrée qualité, celle d’être multi facettes au possible.

Une collection de divers éléments qui, assemblés, forment un bel éventail du savoir-faire et surtout de l’identité unique qui caractérise TRIAL.

A l’image de la superbe pochette due au talent de l’artiste Costin Chioreanu, qui a su capter l’esprit de « Motherless » injecté par les suédois dans leur musique, tout est ici à diverses couches de lecture et l’album dans son entier, est soumis et tout à fait volontairement, à une riche variété d’influences; ainsi, TRIAL ont-ils achevé avec ce troisième opus, leur envie de se réinventer en explorant de nouvelles façons de composer, d’intégrer et assembler les éléments en une alchimie qui se montre des plus fédératrices et riche au long de « Motherless ».

Des titres tels que les trois singles, « Cold Comes The Night », « Motherless », « Juxtaposed », sont les dignes ambassadeurs de cet état d’esprit et envie de se réinventer de la part de TRIAL: Effectivement, à eux trois, ils déploient la spécificité, le côté unique qui anime la bande.
A citer de même le très prenant « Birth », les non moins bons « Rebirth », « Aligerous Architect » ou « In Empyrean Labour »

« Motherless » va certainement marquer le parcours de TRIAL, lui qui sait faire montre de profondeur tout autant que d’un aspect plus féroce, direct avec des touches agressives bien amenées !

Une belle création, en somme !

 


Tasunka

 

 

 

 

 


“Motherless” Track-Listing:

01. Motherless
02. In Empyrean Labour
03. Cold Comes The Night
04. Juxtaposed
05. Aligerous Architect
06. Birth
07. Embodiment
08. Rebirth

 

Produced and engineered by Olof Berggren

Artwork by Costin Chioreanu

 

 

 

 


TRIAL (swe) line-up:

-Linus Johansson - V
-Alexander Ellstrom - G
-Andreas Johnsson - G
-Andreas Olsson - B
-Martin Svensson – D

 

 

 

 

TRIAL(swe) discography:

-Demo (2010)
-The Primordial Temple (Album, 2011)
-Malicious Arts (EP, 2013)
-Where Man Becomes All (Single, 2014)
-Vessel (Album, 2015)

 

 

 

 

 

Trial_Merch2017

 


 

6 avril 2017

HARLOTT "Extinction" (French Review) - Official Audios "Whore" / "The Penitent" / "First World Solutions"

 

Harlott_Extinction

 

Harlott_logo2

Harlott_release

 

MetalBlade35thanniversary_2017

 

   

 

 

HARLOTT n’ont cessé de faire parler d’eux depuis leurs débuts, avec leur Thrash sorti des feux de l’enfer, au tempo plus rapide que jamais, avec leur habileté technique on ne peut plus flagrante pour des compositions hautement inspirées, bardées de groove, qui déchainent tout et se voient basées sur le meilleur du Thrash des années 80’s, des influences bien intégrées et sur lesquelles le style propre aux australiens, a éclos depuis le départ pour se bonifier au long des albums.

Déjà qu’en 2015, leur seconde sortie, « Proliferation » (chonique ici), avait soufflé un vent de sauvagerie Thrash remarquée, alors, deux ans plus tard, c’est un régal que de retrouver le quatuor, avec « Extinction », cette fois, pour un brulot qui ne fait toujours pas de quartiers, tout en assurant et qui vous balance la sauce sauvage et riche avec une de ces savoir-faire, comme si c’était le plus naturel du monde de jouer tempo à fond de compteur, de délivrer des riffs furieux à fond d’agilité et de côté rentre-dedans, un ‘shred’ qui se marie avec des mélodies ainsi qu’un groove marquants, des vocaux efficaces à souhait et des basse-batterie redoutablement enfiévrées, comme si, enfin, c’était inné de faire parler la poudre, de vous secouer dans tous les sens et avec un sourire ravi aux lèvres, encore. Avec HARLOTT, il faut croire que si: en effet, tout est au rendez-vous des douze titres de « Extinction » et l’accroche fonctionne, du coup, à plein.

On se prend un punch en plein visage, avec, au choix, « The Penitent », « Final Weapon », « No Past », « Whore », « Better Off Dead » ou « Extinction », « First World Solutions » et l’unique et lui aussi, fort efficace, seul long morceau, près de 07 :39, pour un « And Darkness Brings The Light », qui vaut le détour et dévoile encore plus la palette dont la bande dispose. C’est qu’HARLOTT en ont assurément sous le pied et leur « Extinction » se montre être une pièce de pure sauvagerie de plus à l’édifice du Trash de haut vol, des australiens.

Un son agressif typique du groupe, des musiciens entièrement dédiés à délivrer le Thrash à la vitesse et l’agression bien inspirées, qu’ils aiment, alors, quoi demander de plus ? Envie d’une claque ? « Extinction » et bien sûr, HARLOTT sont pour vous !

 


Tasunka

 

 

 

 


”Extinction” Tracklisting:

01-Extinction
02-First World Solutions
03-The Penitent
04-Whore
05-No Past
06-Conflict Revelation
07-Better Off Dead
08-Violent Conspirator
09-And Darkness Brings The Light
10-Final Weapon
11-Parasite
12-Epitaph

 

Recorded at Monolith Studios (Orpheus Omega, In Malice's Wake, Bane of Winterstorm) / Mastered by Jens Bogren (Kreator, Opeth, Soilwork)

 

 

Harlott_logo2

 


HARLOTT Line-Up:

-Andrew Hudson - Guitar/Vocals
-Ryan Butler - Lead Guitar
-Tomas Richards - Bass
-Tim Joyce – Drums

 

 


 

 

 Harlott_logo2

 

Harlott_logo2

 


 

Harlott_Extinction

 

Harlott_logo2


 

 

5 avril 2017

ROYAL THUNDER "WICK" (French Review) - Official Videos "April Showers" / "The Sinking Chair"

 

RoyalThunder_WICK

 

 

RT_release2017_4

 

 spinefarm-300x300 (1)

 

 

 

 

« WICK » porte toutes les ambitions de ROYAL THUNDER et nul doute qu’il va permettre au groupe de laisser une nouvelle fois son empreinte dans le monde musical et au-delà.

ROYAL THUNDER s’est toujours illustré par son originalité et son large spectre musical, mais depuis le précédent opus, « Crooked Doors » (2015), les américains avaient entamé une évolution en bifurquant du Metal, aussi, ce troisième album « WICK » marque-t-il cette direction, lui qui voit les morceaux s’éloigner du territoire Metal, brasser les genres et ouvrir grand la porte à cette force Rock tout azimut autant qu’ intemporelle, qui anime le quatuor. MIny Parsonz y a, du coup, gagné en liberté, celle d’exprimer encore plus intensément et avec plus d’amplitude, son talent vocal, elle qui est vue et avec raison, être l’une des meilleures chanteuses dans l’univers modern Rock.

D’ailleurs, c’est tout le talent des compositions, interprétation et arrangements, qui distingue ROYAL THUNDER, qui brille littéralement de mille feux, au long des nouveaux titres, apposant avec panache, force et profondeur, lourdeur bien sentie, le sceau RT au long de ce troisième opus studio, qui est des plus réussis. Même si aux dires du groupe et de son fondateur, guitariste Josh Weaver, « WICK » a été l’album ‘le plus ardu à faire’, maintenant qu’il est terminé, enfin, la gratification est au rendez-vous en entendant le résultat final. Chaque titre étant effectivement un moment de pur feeling à fleur de vocaux, d’instruments, créant une accroche quasi organique, qui touche au plus profond et fait vibrer. ROYAL THUNDER évolue mais reste lui-même, ce que le son justement signe en se voyant être le miroir de cette évolution tout autant que de cette fidélité à la personnalité unique de RT.


« WICK » est l’un de ces albums qui accroche fédère, fait voyager, vibrer et on en redemande à peine la dernière note jouée : un incontournable !

 


Tasunka

 

 

 

 

 

 

 


Track-listing "WICK’:

01. Burning Tree
02. April Showers
03. Tied
04. We Slipped
05. The Sinking Chair
06. Plans
07. Anchor
08. WICK
09. Push
10. Turnaround
11. The Well
12. We Never Fell Asleep

 

 

 

 


ROYAL THUNDER Line-Up :

-Josh Weaver - Guitar
-Mlny Parsonz- Vocals, Bass, Piano
-Evan Diprima - Drums, Percussion
-Will Fiore – Guitar

 

 

 


 

RoyalThunder_WICK

 


 

4 avril 2017

INVIDIA "As The Sun Sleeps" ( French Review) - Official Video "Feed The Fire"

 

Invidia_ATSS4

 

Invidia_logo

 

 Release: 31st March 2017

(SPV / STEAMHAMMER / OBLIVION)

 

 

Si on vous dit qu’un groupe récemment formé, comprend des pointures à tous les postes et se nomme INVIDIA (‘envie’), vous levez un sourcil et quand on voit que le line-up est formé par un menu de premier choix : Travis Johnson (In This Moment), Brian Jackson, Marcos Medina Rivera (both ex-Skinlab), Matt Snell’s (ex-Five Finger Death Punch et que vient compléter Darren Badorine, là, vous vous retrouvez à lever les deux sourcils avec intérêt et avec raison: en effet, cette all-star de groupe qu’est INVIDIA a un sacré paquet d’atouts dans son jeu, via l’expérience, la passion et la pèche que tous ses membres affichent au compteur avec leur précédentes formations et à présent avec ce premier album sous la bannière des frères qui forment INVIDIA, « As The Sun Sleeps ».

Cette bande est une véritable fraternité de musiciens aussi doués et talentueux les uns que les autres et cela s’entend au long des titres, que l’on soit sur des riffs massifs et bien balancés, bardés de groove et de force, que sur les vocaux et chorus du même ordre ou la section redoutable basse-batterie qui se voit autant mise en avant que ses collègues. Le fait que chacun des membres du groupe vienne d'un large spectre Metal et Rock, apporte beaucoup de richesse aux morceaux et dégage de même, une superbe puissance que l’on se prend avec délectation dans la face, morceau après morceau. ‘Ca envoie du bois’, cet « As The Sun Sleeps » : on sent la rage de vaincre au long de ce premier opus, une envie de tout donner, une détermination qui a pour écho celle d’un certain Rocky Balboa, à qui Travis Johnson aime comparer le parcours, l’identité d’INVIDIA. D’ailleurs, le livret fort réussi au demeurant, démarre par une citation tirée du film « Rocky ». Sans omettre d’afficher à ce tableau d’honneur pour INVIDIA, une production due aux bons soins du producteur mais aussi manager du groupe, Logan Mader (ex-MACHINE HEAD), une production, donc, racée et massive à la fois qui met en valeur le propos avec beaucoup d’habileté.

En somme, vous l’aurez compris, une formation qui compte vient de s’éveiller, INVIDIA et pour sa première sortie, elle assure l’intensité, la passion et le savoir-faire : très accrocheur et convaincant, INVIDIA met dans le mille et se révèle être un groupe à suivre et de très près encore !

Etant donné qu’aucun des membres de la bande ne considère INVIDIA comme un side-project, même s’ils sont occupés avec leurs autres formations, des dates de concerts pourraient peut-être voir le jour, qui sait ? En attendant, prêts à se prendre une claque avec « As The Sun Sleeps » ? Alors, INVIDIA est pour vous :)

 


Tasunka

 

 

 

 

 


INVIDIA Line-Up:

-Travis Johnson (ITM) - Vocals
-Brian Jackson (Skinlab) - Guitars/Vocals
-Matt Snell (5FDP) - Bass
-Marcos Medina (Skinlab,TMG) - Guitars
-Darren Badorine – Drums

 

 

 

Invidia_AsTheSunSleeps_tracks4

 

 

 

 

Invidia_AsTheSunSleeps_credits

 


 

 

Invidia_AsTheSunSleeps_tracks44

 

 

 Invidia_release

 


 

Invidia_logo44

 


 

 

2 avril 2017

DEAD BY APRIL "Worlds Collide" ( French Review) - Official Videos "Warrior" / Lyric Video "Breaking Point"

 

deadbyaprilworldscollide

DBA_logo

 

DBA_worldscollide_release

 

spinefarm_logo

 

 

 

Les chiffres comptent en ce qui concerne DEAD BY APRIL, puisque dix est leurs années d’existence, quatre est le chiffre auquel le line-up s’est réduit depuis quelques tumultes côté composition de la bande, depuis le dernier opus en 2014 et enfin, quatre cette fois, pour le nombre de leur nouvel album, « Worlds Collide » qui vient enrichir la discographie.

Avec « Worlds Collide », on assiste à un retour en force des suédois avec leur Metal mélodique moderne, hymnique et à la force d’impact assurée et plus rageuse qui provient d’une aboutie combinaison entre la puissance du Metal et des accroches à trouver dans la Pop, une pointe électro, le tout pour un mixage des genres qui fonctionne au mieux. Suite au départ de Zandro Santiago, les vocaux sont, ici et pour la première fois, repris en voix claire, par le fondateur, compositeur, producteur et guitariste de DEAD BY APRIL, Pontus Hjelm, ce qui fait que DBA est à présent réduit à un quatuor.

Depuis le dernier opus « Let The World Know » (2014), la bande poursuit sa route avec conviction et un forte envie d’aller toujours plus loin à chaque sortie, comme le prouve cette dernière livraison, “Worlds Collide” qui voit les riffs dynamiques et le mélodies, le chant clair et le chant Metalcore option screaming à souhait, se défier, s’affronter, se compléter en une explosion, une déflagration qui touche au but et sait fédérer. On salue particulièrement les morceaux qui luisent de ces qualités et se démarquent, tels que, en tête, « Playing With Fire », « Can You See The Red » qui est l’un des morceaux les plus en colère, énervé que la bande ait écrits, « My Heart Is Crushable », « Worlds Collide » puis, « I Can’t Breathe », « This Is My Life », "Warrior".

Dans le tumulte de changement de line-up, Alex Svenningson a laissé sa place à la batterie à Marcus Rosell (ENDS WITH A BULLET) et le poste est ici assuré avec adresse et puissance, complétant ainsi le line up, qui assure d’ailleurs, lui aussi à chaque poste, que ce soit aux vocaux clairs et guitare de Pontus Hjelm, voix Metalcore de Christoffer Andersson ou à la basse Marcus Wesslén : la troupe se montre soudée et cela se sent et est valorisé via un son qui a aussi évolué pour se voir ciselé et chargé en émotions et énergie, grâce à la production due à nouveau, à Pontus Hjelm, et au mixage de Ben Grosse (FILTER, EMIGRATE, BLINK-182). Le final « For Every Step », avec en invité de marque, le chanteur-acteur-musicien et superstar en Suède, Tommy Körberg, conclue un album qui se montre tout simplement bon. Certes, quand on entend la différence des vocaux entre ceux du guest sur le titre final et le chant clair, on souhaiterait que le chant clair de DBA soit aussi intense et plus profond à l’image de celui de Tommy Körberg, mais à part ce détail,

une certitude demeure, celle d’avoir à faire, avec « Worlds Collide », à un bel album !

 


Tasunka

 

 

 


“Worlds Collide” Tracks :

01. Crying Over You 
02. I Can't Breathe
03. Playing With Fire
04. Warrior
05. Breaking Point 
06. My Heart Is Crushable
07. Can You See The Red
08. Our Worlds Collide
09.This Is My Life
10. Perfect The Way You Are
11. For Every Step (Featuring Tommy Körberg)

 

 DBA_logo

 

 

DEAD BY APRIL Line-Up :

-Christoffer Andersson : Screaming Vocals
-Marcus Rosell : Drums 
-Marcus Wesslén : Bass 
-Pontus Hjelm : Clean Vocals / Guitar

 

 

 

 

DBA_logo

 

 


 

DBA_worldCollideLP

 


 

29 mars 2017

SINNER "Tequila Suicide" ( French Review) - Official Videos "Tequila Suicide"/"Battle Hill"/"Road To Hell" -Tequila Suicide Tour

 

SN_TS

Sinner_Logo03

 

sinner_out

 

 

AFM_LN_Final_RGB_small_s

 

 

 

 

Enfin un nouvel album studio de SINNER avec des compositions toutes fraiches, l'annonce est assez bonne pour être saluée avec enthousiasme, étant donné que le groupe s’est depuis longtemps vu être connu, reconnu et classé, avec raison, dans la catégorie valeur sûre, pilier du Heavy, Hard Rock de haute qualité, toujours hymnique et fédérateur.

Et c’est bien ce qu’est « Tequila Suicide », lui qui donne le ton d’un album qui, dès le démarrage, sent très bon: l’orientation est plus Heavy Rock et c’est justement dans cette veine, que se trouvent les meilleurs titres, dont font partie les véritables pépites que sont le bombardier d’ouverture « Go Down Fighting » avec la voix rauque du frontman-fondateur-bassiste-producteur qu’est Mat Sinner, himself, les guitares Heavy et hymniques aux riffs accrocheurs du duo Tom Naumann / Alex Scholpp, la batterie impeccable de Francesco Jovino et bien sûr, l’atout de la basse mise en avant et lourde, appuyée comme et quand il faut pour faire vibrer, à l’exemple de tout l’ensemble. Retour aux titres méritant le qualificatif de perles, après « Go Down Fighting », on trouve ainsi le très Thin Lizzy-ien « Road To Hell » dans la voix, la basse, les gimmicks de guitares, l’inspiration Gary Moore pour l’hymnique « Battle Hill », mais aussi « Why », « Tequila Suicide », « Dragons », et la belle surprise de l’un des titres les plus savoureux, si ce n’est le meilleur, le Blues-Rock de « Sinner Blues ».

Entre une production du duo Mat Sinner – Dennis Ward qui met dans le mille et sait apporter la densité, la chaleur que méritent les compositions, entre un groupe à la passion et au fun flagrants, entre, enfin, des guests qui finissent d’épicer cette Téquila Heavy Rock savoureuse et on parle de pointures dont Gus G (Ozzy Osbourne & Firewind), Ricky Warwick (The Almighty, Thin Lizzy, Black Star Riders), Pete Lincoln (Sailor, Sweet), bref, entre tous ces atouts, on se retrouve avec un « Tequila Suicide » qui vaut le détour.

 

SINNER sont de retour, qu’on se le dise et avec un album qui met le feu, le fun et fait tout autant parler le groove : une « Tequila Suicide » à commander d’urgence! :)

 

Tasunka

 

 

 

 Sinner_TouchOfSin2   SN_BTTB_550

 

 

 

Tracklisting "Tequila Suicide":

01. Go Down Fighting
02. Tequila Suicide
03. Road To Hell
04. Dragons
05. Battle Hill
06. Sinner Blues
07. Why
08. Gypsy Rebels
09. Loud & Clear
10. Dying On A Broken Heart

11. House Of Rock *
12. Monday Morning *
13. I Am *

* bonus tracks


Produced by Mat Sinner, co-produced, mixed & engineered by Dennis Ward

 


 

 

SINNER Line-Up:

-Mat Sinner : V / B (also Primal Fear, the "Rock meets Classic" project, Voodoo Circle)
-Tom Naumann : G
-Alex Scholpp : G
-Francesco Jovino : D

 

Special Guests:

-Gus G (Ozzy Osbourne & Firewind)
-Ricky Warwick (The Almighty, Thin Lizzy, Black Star Riders))
-Pete Lincoln (Sailor, Sweet)
-Sascha Krebs
-Kolinda Brozovic (“Rock meets Classic" project)

 

 


 

 

 

 

Sinner_TequilaSinnerSingle

 

 

 

 

 

 Sinner_Logo03

 

 

 


 

Sinner_TequilaSuicideTour2017


SINNER „Tequila Suicide“ Tour
(with Special Guest „THE UNITY“)

 


 

Sinner_TequilaSunrise_Merch


 

 

 

26 mars 2017

CUT UP "Wherever They May Rot" (French Review) - Official Videos "Wherever They May Rot" / "Vermin Funeral" - Tour Dates

 

CutUp_WhereverTheyMayRot

 

CutUp_logo2017

 

 

CutUp_release

 

MetalBlade35thanniversary_2017

 

 

 

‘L’année 2017 appartient à CUt UP, comme le déclare le guitariste/chanteur du groupe, Andreas Bjornson et à l’écoute de leur formidable dernière machine de sauvagerie, de brutalité qui repousse loin et avec délectation, les frontières du superbement brutal, « Wherever They May Rot », on ne peut qu’acquiescer.

Ce nouvel album est une tuerie, un brulot qu’on se prend en pleine face, qui voit tout l’art et il est grand, de chaque membre de CUT UP, exploser en une déflagration bluffante d’intensité violente sans répit aucun de A à Z, une déflagration tranchante comme des lames de rasoir aiguisée avec délectation par CUT UP.

Le Death qui ravage tout sur son passage, gronde et éructe, à pleine vitesse sonique ou plus en force, est ici au summum de son expression riche à souhait via des suédois maitres de leur sujet et qui savent tirer le meilleur que ce soit de la marque de fabrique du groupe, à savoir les vocaux doubles et incisifs de Andreas Bjornson et Erik Rundqvist (également à la basse ravageuse ), que ce soit aussi des guitares percutantes de Anders Bertilsson - Andreas Bjornson et de la batterie tout autant redoutable, de Tobias Gustafsson. La bande a pris du temps en 2016 pour peaufiner le successeur de leur très salué premier opus « Forensic Nightmares », et délivrer avec « Wherever They May Rot », le meilleur de leur Death à la puissance brutale, violente maximale et avec un savoir faire de premier ordre, s’il vous plait ! Ce qui donne un résultat bluffant, sans écueil bourrin mais avec toute l’agressivité intense et bien sentie, voulue.

« Wherever They May rot » vous prend, vous secoue sans vergogne du premier au dernier titre, tel un tsunami Death semeur d’agression et on redemande! Le fait que l’album sonne comme jamais, rend toute la sauvagerie des compositions et de l’interprétation, d’autant plus imparable.

« Wherever They May rot » est un must, un indispensable d’album tout simplement délivré par un indispensable de groupe ! Alors, oui, ‘2017 appartient bien à CUT UP’ et ils le prouvent !

 


Tasunka

 

 

 

 


“Wherever They May Rot” Track-Listing:

01. From Ear To Ear
02. Necrophagic Madness
03. Behead The Dead
04. Wherever They May Rot
05. Vermin Funeral
06. By Hatred Bound
07. Psychosurgery
08. In The Aftermath
09. Master Dissector
10. Cranium Crusher
11. Raped By The Blade

 

  • Artwork by Lukasz Jaszak
  • Again, CUT UP have entered Big Balls Productions Studio in Karlstad/Sweden with engineer Mats Lindstrom
  • The mixing and last touches have been done by no less than Dan Swano at Unisound

 

CutUp_banner2017



CUT UP Line-Up:

-Erik Rundqvist - vocals & bass
-Andreas Bjornson - vocals & guitar
-Anders Bertilsson - guitar
-Tobias Gustafsson – drums

 

 


 

 

 

TourCutUp

 

 

 


 

 

CutUp_merch2017

 

 


 

CutUp_WhereverTheyMayRot

 

CutUp_logo2017

 

 


 

25 mars 2017

BLOOD DIVISIONS "Cardinal One" (French Review) - Official Audio "Hot n Ready" (UFO Cover)

 

BloodDivisions_CardinalOne

 

BloodDivisions_logo

 

 

 

 

Un hommage aux légendes Heavy, Thrash, à l’esprit Hard Rock seventies intemporel dans l’âme, fait par des vétérans de la scène précitée, telle est l’essence de ce side project nommé BLOOD DIVISIONS. On retrouve sous l’identité des fondateurs, non moins que des pointures passées maitres dans leur art : Chris Jericho (FOZZY, WWE), David Austin (NASTY SAVAGE) et Ed Aborn (INTERSONIC CYBER SYMPHONY), des membres présents ou passés de, au choix, NASTY SAVAGE, OBITUARY, TESTAMENT, DEATH, ICED EARTH, MASSACRE ou SIX FEET UNDER.

Fondé pour le fun avant tout, le plaisir de se faire plaisir et faire plaisir en délivrant la musique qu’ils aiment et doublé d’une belle intention, que les recettes soient perçues à titre caritatif pour Rock And Rescue, inutile, alors, de dire combien BLOOD DIVISIONS avait ses atouts et as, portés à leur maximum dès le départ. Un premier EP éponyme en 2015, s’était vu salué unanimement autant du public que de la critique et à présent ce second EP, « Cardinal One », enfonce le clou et signe, une fois encore, la haute qualité et l’accroche à tous niveaux, de ce que ce projet collectif du 4best of4 de la scène US et particulièrement de Floride, peut offrir.

Au travers de quatre reprises de classiques des pionniers du Thrash, NASTY SAVAGE (« The Morgue », « No Sympathy ») pour deux d’entre eux, de SCORPIONS (« Top Of The Bill ») et UFO (« Hot n Ready »), plus deux morceaux originaux estampillés BLOOD DIVISIONS, « Cardinal One » sait séduire et avec aisance, encore ! On sent tout le savoir-faire, l’expérience et avant tout la passion toujours aussi intacte et contagieuse de la part non seulement des membres fondateurs, mais aussi des nombreux guests stars ( voir liste et crédits ci-dessous), qui se sont tout autant éclatées et investies que le trio fondateur. Rien à dire, les versions fidèles à l’esprit des classiques et portant tout à la fois, la touche moderne et l’énergie de BLOOD DIVISIONS, donnent un cocktail qui fonctionne efficacement bien et que dire de deux compositions originales, qui mixent esprit seventies, Thrash et Heavy, les forts bons "March of the Machine Elves », « Return to the Garden of Temptation », si ce n’est qu’elles se distinguent et donnent au final, une sacrée envie d’en entendre plus, à l’avenir.


« Cardinal Blood » est certes un EP de seulement six titres, pourrait-on dire, oui mais c’est un concentré du meilleur: très réussi, donc !


Tasunka

 

 

 

 


BLOOD DIVISIONS - "Cardinal One"
EP track-listing + credits :


- 01. The Morgue (NASTY SAVAGE cover)
Written by David Austin
Vocals: Chris Jericho
Rhythm Guitars: David Austin
Lead Guitar: David Austin
Lead Guitar: Ben Meyer
Lead Guitar: John Mahoney
Lead Guitar: Ralph Santolla
Lead Guitar: Bill Owen
Bass Guitar: Terry Butler
Drums: Greg Gall
Intro and Orchestration: Ed Aborn

 

- 02. Hot 'n' Ready (UFO cover)
Written by UFO
Vocals: Chris Jericho
Rhythm Guitars: Ralph Santolla
Lead Guitar: Ralph Santolla
Lead Guitar: David Austin
Lead Guitar: Todd Grubbs
Lead Guitar: Johnny Chromatic
Lead Guitar: Bill Hudson
Bass Guitar: Terry Butler
Drums: Ed Aborn



- 03. March of the Machine Elves
Written by David Austin
Interlude Written by Ed Aborn and Jennifer Mills
Rhythm Guitars: David Austin
Lead Guitar: Ken Andrews
Lead Guitar: David Austin
Lead Guitar: Todd Grubbs
Lead Guitar: Andy Wallace
Lead Guitar: Trevor Peres
Bass Guitar: John Fronza
Drums: Greg Gall
Additional Instrumentation: Ed Aborn

 

- 04. Top of the Bill (SCORPIONS cover)
Written by Scorpions
Vocals: Chris Jericho
Rhythm Guitars: David Austin
Lead Guitar: David Austin
Bass Guitar: Ed Aborn
Drums: Ed Aborn



- 05. Return to the Garden of Temptation
Written by David Austin
Orchestration by Ed Aborn and Jennifer Mills
Bass Guitar: Fred Dregischan



- 06. No Sympathy (NASTY SAVAGE cover)
Written by David Austin, Ron Galletti
Vocals: Chris Jericho
Vocals: Ron Galletti
Rhythm Guitars: David Austin
Rhythm Guitars: John Mahoney
Lead Guitar: David Austin
Lead Guitar: John Mahoney
Lead Guitar: Jerry Mortellaro
Lead Guitar: Ken Andrews
Bass Guitar: Terry Butler
Drums: Greg Gall

 

***********

-Executive Producer: Chris Jericho
-Co-Producers: Ed Aborn and David Austin
-Recorded at Intersonic and other, private studios
-Engineered and Mixed at Intersonic by Ed Aborn

 

 


 

 

Chris Jericho (Fozzy, WWE)
David Austin (Nasty Savage)
Ed Aborn (Intersonic Cyber Symphony)

Terry Butler (Obituary)
Ken Andrews (Obituary)
Ralph Santolla (ex-Deicide, ex-Obituary)
Jerry Mortellaro (Diabolic)
Todd C. Grubbs (Todd Grubbs Group)
John Mahoney
John D Fronza (ex-Voyage of Slaves)
Bill Owen (ex-Purgatory)
Andy Wallace

 

 

BD_out24march2017

 

MetalBlade35thanniversary_2017

 


 

 


 

 

BD_logo44

 

 

 

 

 

 

 


 

20 mars 2017

DEFICIENCY "The Dawn Of Consciousness" (French Review) - Official Video "Newborn's Awakening" - France: 'The D.O.C. Tour' :)

 

Deficiency_TDOC

 

 

LogoDeficiency44

 

 

deficiency_TDOC_banner4

 

 

ApathiaRecords

 

 

 

 

Reconnus comme une valeur sûre du Thrash et particulièrement du Thrash mélodique moderne, DEFICIENCY n’ont cessé de prouver l’étendue de leur talent depuis leur fondation en 2008 et deux albums qui ont su capter l’attention, aussi, cette troisième offrande, « The Dawn Of Consciousness », était-elle attendue pour enfoncer le clou et finir, mais en était-il besoin ?, de confirmer les hautes qualités du groupe.

Effectivement, les nouvelles compositions répondent amplement aux attentes et même plus, puisqu’on est, ici, en présence d’un audacieux concept-album aussi solide que convaincant de par sa maitrise et son inspiration riche autant musicalement que techniquement, ainsi que pour ce qui est des paroles, le tout étant au service total de l’univers créé. Grace à l’habileté, la passion qui animent DEFICIENCY, on vit le propos de cette ‘aube de la conscience’ et la sensation de cet après chaos qui voit l’humanité renaitre et sa façon de saisir cette seconde chance via ce que chaque être sur terre partage, à savoir les six émotions de base que sont la surprise, la tristesse, la joie, la colère, la peur, le dégoût.

Le Thrash mélodique de DEFICIENCY se traduit, cette fois, en une plongée plus profonde dans un mixe réussi où se répondent, se complètent, se défient l’agressivité, les mélodies, l’accroche des chorus, des voix claires et rageuses, pour un effet qui vous prend et ne vous quitte pas. Entre la pochette bien sentie de Ludovic Cordelières – Rusalka Design, la production massive de David Potvin – Dome Studio et de solides compositions bien structurées, la base est posée pour faire de « The Dawn Of Consciousness » un brulot efficace. L’arrivée de l’ancien membre de HEAVENLY, LA HORDE et SEYMINHOL, Thomas Das Neves, derrière les futs en remplacement du départ du fidèle depuis les débuts, Anthony, marche à merveille, le musicien assurant sans conteste comme il l’avait déjà démontré en dépannant DEFICIENCY lors du Motocultor (2016) et pour poursuivre dans le registre ‘ nouveautés qui vont bien’, la signature avec Apathia Records en décembre dernier, est à saluer, tout autant que peuvent être salués les guests sur « T.D.O.C. » : Alain Clément de NO RETURN pour son solo de guitare sur « The Upriser », le chant alto de Noëlle Gisonna sur « The Post Knowledge Day », les choeurs de Cyril Péglion et Guillaume Rossard (ARCANIA) sur « Hopeless fear ». 

En somme, « The Dawn Of Consciousness » est un troisième opus qui vaut le détour, via chacun de ses titres et surtout de ses trois derniers morceaux, dont les instrumentaux « And Now Where Else To Go », « Post Knowledge Day » qui se distinguent avec leurs plus de sept minutes de pure inspiration.


DEFICIENCY : ils sont taillés pour durer et longtemps encore :)

 


Tasunka

 

 

 

Deficiency_tracklistTDoC001

 

 

Deficiency_LineUp2017

 


 

 

 LogoDeficiency44

 

 


 

Deficiency_Shows

 


 

Deficiency_TDOC

 


 

 

16 mars 2017

STEEL PANTHER "Lower The Bar" (French Review) - Vidéos "Poontang Boomerang"/"She's Tight" - Tour Dates (Hellfest/France:complet)

 

SteelPanther_lowerTheBar

 

SP_logo2

 

SteelPanther_release

 

 

Trois ans après la sortie de l’acclamé «All you Can Eat », un après le live acoustique «Live From Lexxi’s Mom’s Garage », les STEEL PANTHER reviennent avec un album studio, « Lower The Bar » et font à nouveau montre de leur talent de musiciens confirmés au service de l’héritage de l’âge d’or du Glam Hard Rock / Heavy, sous un prisme fun et bardé d’humour.

Tout ‘hair spray’, spandex et bien sûr maquillage dehors pour le look qui tue, ou fait sourire comme leur humour délibérément outrageusement graveleux, les ‘Panthers’ assurent une fois encore, que ce soit pour les voix et guitare, basse et batterie, bien carrés, dynamiques, encore plus incisifs côté riffs ou légers et qui tous invitent à faire la fête. Si les vocaux se voient parfois haut perchés, les membres du groupe le sont tout autant et ce, volontairement, mais comme toujours avec STEEL PANTHER, avec beaucoup de savoir faire musical, car, qu’on ne s’y trompe pas, on a encore et toujours affaire à des musiciens et un chanteur qui assurent et savent donner le meilleur de leur art et instruments.

Au long de « Lower The Bar », la ballade se fait avec délectation sur un cycle qui va du Hard Rock, pointe de Rock au Heavy et retour, via des titres bien sentis entre notamment « Poontang Boomerang » aussi entrainant que le morceau est amusant, via aussi du mid-tempo avec « Now The Fun Starts », du Heavy goutu sur « Pussy Ain’t Free », Hard Rock avec intro à l’harmonica sur « Walk Of Shame », ou la reprise de CHEAP TRICK « She’s Tight », qui voit en guest non moins que Robin Zander dudit groupe précité (si, si :), sans omettre de mentionner le très accrocheur single « Anything Goes », qui se montre délibérément un peu différent de ce que la troupe propose d’habitude et se voit être un bon reflet de ce qu’offre leur dernière livraison studio : en effet, STEEL PANTHER s’amusent à repousser les limites musicales et y parviennent avec brio. 

« Lower The Bar » ? A savourer sans modération du premier au quarantième degré ;)


Leur venue au Hellfest 2017 va valoir le détour, assurément.

 


Tasunka

 

 

 

 

SteelPanther2017_01

 

Lower_The_Bar_CD_grande

STEEL PANTHER Line-Up:

-Michael Starr (Ralph Saenz) – V / G (acoustic)
-Satchel (Russ Parrish) - G
-Lexxi Foxxx (Travis Haley) - B
-Stix Zadinia (Darren Leader) – D, Piano

 

 


 

 

 SP_logo2

 

 


 

==>  Tour Dates: click here :)

 

SP2017_44

 


 

 SteelPanther_lowerTheBar

 

 

SP_logo2

 


 

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 > >>
ISKA Photos & Works
Archives
Derniers commentaires