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ISKA Photos & Works
2 août 2015

PYOGENESIS ”A Century In The Curse Of Time” (Review In French) + Videos "Steam Paves Its Way”/ "Lifeless" + Tour Dates Germany

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PY_ACITCOT

(AFM AFM Records)

 

 Release Date: August 14th 2015


24 ans d’existence, 13 ans sans sortir un nouvel album studio,10 ans sans s’être produits sur scène, les allemands de PYOGENESIS se sont fait désirer de leur très nombreux fans de par le monde, et voici qu’en 2014, le break prend fin, enfin, et le quatuor reformé se produit à nouveau en live pour un concert sold out en Roumanie, puis, s’attèle à créer un sixième et tout nouveau effort, à sortir en août 2015 : « A Century In The Curse Of Time ».

Cela valait l’attente étant donné que les huit nouvelles compositions renouent avec les racines de ces co-initiateurs du Metal Gothic en 1991-92, de ces habitués à surfer, par le passé, entre Rock Alternatif, Punk Rock et Melodic Death Metal.

Difficile, donc, de ne pas adhérer de suite à l’ensemble de « A Century In The Curse Of Time », que l’on soit habitué du style pratiqué ou novice du groupe, surtout que PYOGENESIS, toujours emmené avec brio par son frontman de chanteur-guitariste Flo V Schwartz, renoue ici avec ses racines et délivre un album plus Heavy, Epique et ambitieux que jamais.

Un album plein d’intelligence dans son écriture, tout autant que dans ses interprétations vocales brutes ou intensément calmes et instrumentales elles-aussi calmes ou sourdes, lourdes. Cerise sur la galette, PYOGENESIS nous offre une nouveauté, car outre les titres tous frais et bardés de finesse doublée de puissance accrocheuse, le quatuor s’est et pour la première fois dans l’histoire du groupe, attelé à donner vie à un concept album, dont le sujet est l’influence de la révolution industrielle dont l’invention des machines à vapeur fait partie, de l’industrialisation de la fin du 19ième siècle, donc, et de ses influences sur la société, avec toutes les conséquences que cela implique : l’émergence de 'plus' (notamment de la littérature de science fiction dont Jules Verne est l’emblème) et de 'moins' (l’émergence de la bourgeoisie, entre autres).

A l’image de la pochette, tout « A Century In The Curse Of Time », emmène au sein d’un voyage profond et relevé, qui fait penser à un ouvrage du précité et fameux auteur français de science fiction, mais le tout en restant les pieds sur terre, conscient et les yeux grands ouverts sur la réalité des choses. D’ailleurs, Le titre final « A Century In The Curse Of Time » et ses 14 :17 minutes, est un fleuron de ce que ce sixième opus peut être.

Le line-up reformé en 2014, voit le retour après 16 ans d’absence d’un membre original de PYOGENESIS : Tim ‘Asmodeus ‘ aux guitare-vocaux et l’album fort d’un quatuor soudé, sonne qui plus est, de mille facettes qui mettent en valeur le propos, alors,

PYOGENESIS sont de retour et en grand forme, encore, qu’on se le dise ! :)

 

Tasunka

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PY_ACITCOT

01. Steam Paves Its Way (The Machine)

02. A Love Once New Has Now Grown Old

03. This Won't Last Forever

04. The Best Is Yet To Come

05. Lifeless

06. The Swan King

07. Flesh And Hair

08. A Century In The Curse Of Time

 


 

PYOGENESIS Line-Up 2015 (after their comeback in 2014):

-Flo V. Schwarz: V / G
-Malte Brauer : B
-Oliver ‘Viper’ Wiebe: D
-Tim ‘Asmodeus’ Eiermann: V / G


 

 

 


 

 


 ==>Tour Dates 2016: click below:

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31 juillet 2015

BETWEEN THE BURIED AND ME "Coma Ecliptic" (Review In French)+Video "The Coma Machine"+ Tour America/Europe (Paris 25 Sept 2015)

BTBAM-ComaEcliptic

 

BETWEEN THE BURIED AND ME “Coma Ecliptic”
(Metal Blade Records)LogMetalBladeRecords_full


Release Date: 10 July 2015


S’il est une formation de Progressif qui sait aligner les As avec un grand « A », alors, BETWEEN THE BURIED AND ME est incontestablement celle-là. Effectivement, le groupe sait conjuguer avec beaucoup de finesse et de force, les atouts du mélodique, Heavy, du Progressif, du grandiose tout simplement, avec une technique instrumentale et vocale de haut niveau entièrement tournée vers créer et donner toute sa dynamique, son feeling et sa vie aux compositions.

C’était déjà vrai pour le précédent album, « The Parallax II: Future Sequence » et il en est de même en 2015, avec un « Coma Ecliptic » qui se révèle être une véritable pièce maitresse dans la carrière de la formation, une septième pierre de plus à l’édifice BTBAM puisque l’album marque une nouvelle étape franchie, une évolution au sein du groupe, autant dans son ensemble qu’individuellement parlant.

Pièce maitresse oui, assurément : captivant du début à la fin et ce sur plus d’une heure que dure « Coma Ecliptic », Between The Buried And Me ont accouché d’un projet ambitieux, à savoir, un Modern Rock Opera qui fait être immergé sur plusieurs niveaux d’introspection en suivant le parcours d’un homme plongé dans le coma, son exploration mentale de divers univers et son choix de revenir à la réalité et se réveiller, mais… et là, la mort le prend malgré son envie de vivre. Profonde réflexion quasi métaphysique sur le sens de la vie, sur le choix de vivre pleinement l’instant présent pour les textes et superbes compositions et interprétation pour les morceaux où chaque membre du groupe s’est visiblement investi et à donné cœur et âme pour ce concept album ambitieux et captivant.

C’est du grand art : on vit, ressent chaque émotion, complètement immergé et subjugué par chaque titre qui vous emmène en un voyage à rebondissements; un voyage à nul autre pareil, où voix claire, voix en growl, guitares en attaque, douces ou planantes, où piano, basse, batterie, sont au diapason. Le producteur de longue date Jamie King a fait un ouvrage remarquable et le groupe a, quant à lui, travaillé comme jamais : grace à « Coma Ecliptic », c’est une nouvelle vie qui s’ouvre pour BTBAM !


Magnifique Modern Rock Opera Heavy et Progressif réussi comme pouvait l’être celui des illustres prédécesseurs dont THE WHO, QUEENSRYCHE, ..


Tasunka

 

Track-List « Coma Ecliptic » :

01-Node
02-The Coma Machine
03-Dim Ignition
04-Famine Wolf
05-King Redeem - Queen Serene
06-Turn on the Darkness
07-The Ectopic Stroll
08-Rapid Calm
09-Memory Palace
10-Option Oblivion
11-Life in Velvet

 

Between the Buried and Me Line-Up :

-Tommy Rogers – V / K
-Paul Waggoner - G
-Dustie Waring - G
-Dan Briggs - B
-Blake Richardson – D

 


 

 


 

Upcoming Tour Dates:
Tour w/ Animals As Leaders, The Contortionist:

North America:

08/01 Grand Rapids, MI The Intersection
08/02 Bloomington, IL The Castle Theatre
08/04 London, ON London Music Hall
08/06 Buffalo, NY The Town Ballroom
08/07 Pittsburgh, PA Stage AE
08/08 Norfolk, VA The NorVa
08/09 Wilmington, NC Ziggys by the Sea
08/11 Clifton Park, NY Upstate Concert Hall
08/12 Providence, RI Lupo's Heartbreak Hotel
08/13 Sayreville, NJ Starland Ballroom
08/14 Winston-Salem, NC Ziggys
08/15 Nashville, TN Marathon Music Works

...Check on Metal Blade Records for all the other European  tour dates: LogMetalBladeRecords_full

 

 

 


 

BTBAM_Billboard2015

 

29 juillet 2015

AGENT FRESCO "Destrier" (Review In French) + Videos "See Hell"/"Wait For Me"/"Dark Water" + European Tour Dates (Paris - 26 Nov)

AgentFresco_Destrier

AgentFresco_logo  "Destrier"

(Long Branch Records / SPV)

 

Release Date: August 7th, 2015

En un seul album sorti en 2010, “ A Long Time Listening », les Islandais de AGENT FRESCO ont laissé le monde bouche-bée, ébahi par la liberté d’expression et l’avalanche d’émotions suscitées par leur musique, qui est à leur image, libre de toute servitude d’espace, de pensée, de temps, puisque AGENT FRESCO crée un univers intemporel et sans frontières, leur musique étant universelle.

Aucune envie de donner une étiquette pour les qualifier, eux et leur musique; étiquette trop réductrice de ce que le groupe peut engendrer comme sensations poétiques, fortes comme la vie avec ses moments fort sombres ou lumineux : c’est organique et jubilatoire tout simplement !

Pour néanmoins vous guider, disons que la personne qui les a qualifiés de groupe d’Art Rock Progressif’ a trouvé le terme qui convient. Oui, s’appropriant le progressif, le Metal, l’alternatif, le jazz, le Prog Rock et passant l’ensemble à l’aulne de ses expériences, de son vécu et de ses émotions, lui donnant ainsi une palette de couleurs qui lui est propre, AGENT FRESCO crée un univers avant-gardiste où émotions et instruments / chant fusionnent en une explosion d’atmosphères.

On est transporté aux côtés des Islandais et de leur nouvelle pure et simple œuvre, « Destrier », forte de quatorze titres brillamment inspirés et interprétés, qui vous laissent une saveur unique comme touchés en pleine âme, rien de moins. Ainsi que l’explique Arnór Dan Arnarson, la voix de AGENT FRESCO, “Destrier”, dans son ensemble, est né de sa confrontation de par le passé, avec la violence (« See Hell ») et de tous les sentiments bruts qui en ont découlé entre couleur sombre, peine due à la perte des proches (« Wait For Me ») et enfin, libération et tel a été le cas, à la fin du long processus de création de « Destrier », puisqu’exprimer de telles émotions prend du temps. Tel a donc été le cas, une libération sous forme de feu d’artifice émotionnel et musical intense et positiment lumineux : la vie continue..

AGENT FRESCO est, comme le démontre avec maestria « Destrier », une perle de groupe, unique, à l’image des paysages d’Islande, sans fin et grandioses, vous faisant vous sentir vivants en les contemplant, comme grandis


Tasunka

 

Tracklisting “Destrier”:

01- Let Them See Us
02- Dark Water
03- Pyre
04- Destrier
05- Wait For Me
06- Howls
07- The Autumn Red
08- Citadel
09- See Hell
10- Let Fall The Curtain
11- Bemoan
12- Angst
13- Death Rattle
14- Mono No Aware

 

AGENT FRESCO Line-Up:

-Arnór Dan Arnarson: V
-Hrafnkell Örn Guðjónsson: D / Percussion
-Vignir Rafn Hilmarsson: B / Upright bass
-Þórarinn Guðnason: G / Piano / Programming

 


 

 

 

Afresco_WaitForMe

 


 

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==> AGENT FRESCO DESTRIER EUROPEAN TOUR: click on picture above / cliquez ci-dessus 
(presented by VISIONS, ECLIPSED, PRETTYINNOISE.DE, NBHAP.COM, ALREADYHEARD, NMC Live & Long Branch Records)

 


 

 


 

 

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27 juillet 2015

CATTLE DECAPITATION “The Anthropocene Extinction” (Review In French) + Official Video "Manufactured Extinct" + Tour Dates

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CattleDecapitation_logo444  “The Anthropocene Extinction” 

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Release Date: 07 August 2015

 

Si en 2012, “Monolith Of Inhumanity” avait maintenu la position de CATTLE DECAPITATION en tant que groupe le plus violent, intense, brutal, parcourant sans répi aucun, le spectre Death – Metal Extreme, cet opus avait aussi vu incorporé en son sein, un peu de mélodie sans pour autant y perdre son âme intense, aussi, pouvait-on se demander en 2015, ce qu’allait donner son successeur: “The Anthropocene Extinction”.

Tout d’abord, le concept central de “Monolith Of Inhumanity” à savoir l’homme polluant, détruisant la planète avec pour focus principal l’impact sur l’océan pacifique, se poursuit puisque le nouvel album narre l’ère post-apocalypse écologique, à l’heure où nous, humains, avons tout détruit, et aux dires du chanteur Travis Ryan même, ses textes sont les plus déprimants qu’ils aie jamais écrits. La pochette est tout autant parlante et de l’art pur, due à nouveau et ce depuis 2002, à Wes Benscoter, qui a su capter le propos avec talent et justesse, en montrant des cadavres humains qui tels les goélands, à l’heure actuelle, qui meurent d’ingérer du plastique qu’ils prennent pour du krill, les hommes sont morts de cette même pollution, le ventre explosé de déchets polluants.

Le décor est posé, place maintenant à l’essentiel, les douze nouvelles compositions et là, la claque est au rendez-vous !

Le travail commun des quatre du groupe de San Diego fait merveille en apportant quatre sources d’inspiration en une explosion où les attaques Death-Grind font leur office inexorablement, pendant que les ailes sombres du Black Metal caressent chaque titre, tout en faisant place à cette touche épique, mélodique plus présente que sur l’album d'avant. Le résultat est superbement intense, plus fluide que sur la plupart des précédents disques de CATTLE DECAPITATION, montrant ainsi un groupe qui à chaque effort se bonifie, s’exprime toujours avec plus de liberté et monte la barre chaque fois plus haut.

La production intelligente de Dave Otero (Allegaeon, Cephalic Carnage), qui peut être vu comme le cinquième membre du groupe, de par son étroite et active collaboration avec le quatuor, fait mouche sans coup férir. Et enfin, il est à noter deux choses, la première étant qu’il n’y a pas de ‘chant clair’ sur l’album, ce sont des vocaux volontairement placés à une note haute poussée et enfin, il est à noter la présence de guests sur l’album, et non des moindres : Tristan Shone (AKA Author & Punisher) sur "Plagueborne", Jürgen Bartsch (Bethlehem) et son texte parlé dans sa langue allemande natale sur "Pacific Grim", et Phil Anselmo qui pose sa voix unique sur "The Prophets Of Loss".


“The Anthropocene Extinction” pose CATTLE OF DECAPITATION comme incontournable et si ce n’était déjà fait, c’est en tout cas, une position à présent confortée pour le groupe

Tasunka

 

 

Track-List “The Anthropocene Extinction”:

01) Manufactured Extinct
02) The Prophets of Loss
03) Plagueborne
04) Clandestine Ways (Krokodil Rot)
05) Circo Inhumanitas
06) The Burden of Seven Billion
07) Mammals in Babylon
08) Mutual Assured Destruction
09) Not Suitable for Life
10) Apex Blasphemy
11) Ave Exitium
12) Pacific Grim

 

CATTLE DECAPITATION Line-Up:

-Travis Ryan - V
-Josh Elmore - G
-Derek Engemann - B
-Dave McGraw - D

 


 

 


 

 

==> TOUR DATES: here / ici

 

 


 

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23 juillet 2015

APOCALYPTICA "Shad8wMaker" (Review In French) + Video "Cold Blood" / Lyric Video "Shadowmaker" + Tour Dates

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(Eleven Seven Music)

 

 Coup de cœur pour « Shad8wmaker » d’APOCALYPTICA»!

Revoilà les Violoncelles au top avec ces nouvelles compositions et qu’il fait bon découvrir combien ce trio de talentueux et inspirés violoncellistes finlandais,a enfin remis en avant ses instruments et leur interprétation ‘classique  au service du Metal’, en les jouant comme tels: c'est-à-dire, des violoncelles qui remplacent basse, guitare et non plus en les interprétant comme une copie des instruments précités. C’est appréciable cette distinction, puisqu’on retrouve ici et avec plaisir, cette patte, cette originalité au long de « ShadowMaker », à savoir la marque de fabrique APOCALYPTICA due au son si particulier et unique des violoncelles furieusement interprétés Metal mais fidèles à eux-mêmes : vous savez ce ‘plus’ qui a enthousiasmé l’univers musical dans son intégralité, du public aux autres artistes et professionnels inclus, depuis leurs débuts en 1993.  

Le trio, accompagné de son complice de batteur, Mikko Sirén, marque, avec "Shadowmaker", l’ouverture d’un nouveau chapitre en incorporant à la troupe, un chanteur, une voix qui éclipse le choix originel de n’avoir que des guests vocaux de prestige. L’apport de Franky Perez donne, donc, une identité vocale propre à APOCALYPTICA, ce qui marquera une continuité appréciable au chant, sur album et sur scène. L’homme se révèle, qui plus est, fort doué et prouve pouvoir assurer vocalement autant dans les parties mélodiques ou rauques, en attaque, éraillées ou douces, accompagnant ainsi de sa voix la diversité des compositions qui passent du Metal, Neo Metal au Pop/ Rock et ce, avec une de ces aisances qui fait apprécier l’ensemble de ce « ShadowMaker ».

Les instrumentaux où les trois violoncelles, la batterie,  explosent tout, en délivrant une atmosphère d’une richesse, d’un punch, d’une mélodie, d’une fine hargne bluffantes, font penser qu’il faut reconnaître que les meilleurs moments sont à trouver dans les passages  instrumentaux, comme sur le superbe « ShadowMaker » ou tout instrumental tels les musts que sont « Reign Of Fear », « Riot Of Lights », « Till Death Do Us Part ».

Mais même si ce n’est que le début de ce nouveau chapitre dans l’histoire d’APOCALYPTICA, le chant participe néanmoins déjà à la réussite de « ShadowMaker » et le meilleur est encore à venir de la part de ce désormais quintet: cet opus en étant un bel aperçu.

Quant aux production et enregistrement confiés aux bons soins de Nick Raskulinecz (producteur des FOO FIGHTERS), ceux-ci sont ciselés, chauds, vigoureux comme le demandent les nouvelles compositions. D’ailleurs, ce dernier fait une apparition violoncelle sur « Waltz Of Death ». Enfin, pour conclure et par non des moindres, la pochette ainsi que son livret, sont à l’image de l’album-même : une pièce unique !

Tasunka

 

Le concert au Zénith de Paris du 25 avril 2015 ayant été reporté au 6 novembre, les chanceux qui vont y aller, vont s’en rappeler longtemps ! 

 

gif_anime_drapeaux_angleterreAPOCALYPTICA Tour Dates: here

 

Tracklisting "Shad8wmaker":

Apocalyptica_Shadowmaker_tracklist02

 

Line-Up APOCALYPTICA :

-Eicca Toppinen :  Lead songwriter / cellist 

-Perttu Kivilaakso: Cello

-Franky Perez: V (ex-Scars On Broadway, ex-Slash (live))

-Mikko Sirén : D

-Paavo Lötjönen : Cello

 


 

 


 

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19 juillet 2015

U.D.O. "Navy Metal Night" (Review In French) + (Officlal Live Videos) "Animal House" / "Independence Day"

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UDO_Logo2015"Navy Metal Night"

(AFM AFM Records / SoulFood Music)

 

 

Release Dates: July 31st 2015 (EU) / August 18th (US) 2015

(DVD/2CD/2LP) 

 

En un effort créatif commun, entre l’incontournable pièce maitresse du Heavy Metal allemand, U.D.O. et l’orchestre symphonique du corps de marine allemande de la mer du Nord (Marinemusikkorps Nordsee), voici le « rêve devenu réalité », du frontman de U.D.O., Udo Dirkschneider, à savoir l’union du symphonique classique et du Heavy Metal, se produisant ensemble sur la même scène.

Le concert démarre avec l’intro d’un sonar de sous-marin seul, qui donne le ton, puis, sur le thème original, joué par l’orchestre seul, de la musique du fameux film allemand de 1981 « Das Boot » (‘Le Bateau ‘ pris dans le sens de sous-marin) qui décrivait le courage, la valeur et la cruelle réalité des sous-mariniers allemands lors de la seconde guerre mondiale, alors que le vent tournait pour les armées du Reich.

L’ambiance est posée : Udo Dirkschneider précise après cette intro, ce premier titre interprété avec orchestre seul et à la fin du premier morceau incorporant Heavy et orchestre, le frontman s’adresse donc au public pour préciser combien cette soirée est spéciale.

C’est effectivement à un live unique auquel on assiste car classiques symphoniques et classiques Heavy du groupe vont s’accoupler en un feu d’artifice musical où la puissance, les mélodies du Metal et du classique prouvent avec brio être égales, de même valeur et de la même famille.

Sur « Independence Day », la section de cuivres donne une saveur originale à un titre qui excelle déjà côté accroche dans sa version Metal seule : une pure claque! Notamment sur l’hymnique refrain qui vous donne la chair de poule autant de par ses chœurs que son solo, avec grand renfort de cuivres et de tout l’orchestre de Marine. Ce même effet 'chair de poule' se retrouvant d’ailleurs sur « Days Of Hope And Glory ».

Et cela continue en feu d’artifice entre le thème instrumental ultra connu de musique classique composé par Edvard Grieg au 19ième siècle et joué par l’orchestre : « In The Hall Of The Mountain King » ou la très acclamée version instrumentale symphonique avec saxo, trompettes, cuivres, de « Ride ». De quoi vous faire aimer la musique classique symphonique, si ce n’est déjà fait.

La voix de Herr Dirkschneider, éraillée et maitrisée par des années d’expérience, fait merveille autant qu’un instrument seul. Le classique Heavy « Man And Machine » et son intro aux tambours seuls sur lesquels vient se greffer un fifre militaire pour entamer la ritournelle si connue du hit de U.D.O, vous donne envie de tout péter : c’est trop bon :)

Et pour calmer le jeu sans cesser de rester dans l’intense, la ballade « Dancing With An Angel » toujours mixée entre le groupe et l’orchestre, assure d’autant que Udo est rejoint par une autre voix mythique du Metal allemand et international, à savoir Doro; et oui, on vous gâte. Le public en a apparemment amplement conscience, lui qui ne cesse de réclamer à l’issue du titre, « une autre, une autre ». Vœu exaucé avec les mélodiquement hymniques « Faceless World », et cette inattendue version swing toutes trompettes, saxo et chœur dehors, du classique du groupe « Cut Me Out » sur laquelle on trouve seulement la voix originale du Udo et sans instrument autre que ceux de l'orchestre : ah ce solo de saxo, cette contre basse qui swinguent ! c’est finement inspiré.

Et que dire aussi du très bon « Trainride In Russia » avec son solo d'accordéon, ses chœurs masculins russes, avec guitare, refrain hymnique, si ce n’est que tout y est… Enfin, le feu d’artifice qui s’est poursuivi tout au long du live, se conclue par un bouquet final sur un « Animal House » qui allie la dynamique du pur Heavy aux guitares en attaque et la force de tout un orchestre classique comme partie intégrante, avec chœurs féminins, voix d’Udo, le tout formant un cocktail détonnant parfait pour conclure un concert hors norme

U.D.O. est fertile en lives au point d’épuiser le porte-monnaie pour qui veut suivre et d’avoir du mal à résoudre le casse-tête épineux de savoir lequel choisir, car tous ne sont pas indispensables et bien, réjouissez-vous,car

s’il n’y a qu’un live récent à se procurer, les yeux fermés, c’est celui-là, « Navy Metal Night »!

De l’aveu de Udo Dirschneider, le frontman charismatique du groupe, ce concert en collaboration avec un orchestre classique qui revisite en commun ses classiques, est un rêve devenu réalité : et vous savez quoi ? Il a raison, tout y est impeccable, du choix de la set list, de la production, de l’orchestre et bien sûr du groupe même, d’autant que, unis sur scène, tous prennent un plaisir évident et nous aussi.

Un « Navy Metal Night » chaudement recommandé pour les fans de U.D.O. et pour tous. De quoi aimer le Metal autant que le classique et inversement : superbe passerelle entre deux genres qui prouvent combien ils sont parents ! 

 

A noter que U.D.O. joueront sur la scène du W.O.A. (Wacken ;) allemand, le 30 juillet prochain, à nouveau accompagnés par un orchestre militaire, mais le "Musikkorps Bundeswehr", cette fois: sortez cravates et cuir, ça va assurer :) 

 

Tasunka

 


Tracklisting “Navy Metal Night”:

01-Intro (Das Boot)
02-Das Boot
03-Future Land
04-Independence Day
05-Animal Instinct
06-In The Hall Of The Mountain King
07-Heart Of Gold
08-Man And Machine
09-Dancing With An Angel (Featuring DORO Pesch)
10-Faceless World
11-Ride
12-Days Of Hope And Glory
13-Cut Me Out
14-Trainride In Russia
15-Stillness Of time
16-King Of Mean
17-Book Of Faith

 


Line-Up U.D.O. :

-Udo Dirkschneider - V 
-Fitty Wienhold - B 
-Andrey Smirnov - G 
-Kasperi Heikkinen - G 
-Francesco Jovino- D

 


 

 


 

 


 

UDO_Logo2015

 

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18 juillet 2015

PHILM "Fire From The Evening Sun" (Review In french) + Tour Dates (4 Concerts En France - Sept 2015)

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philm_logo « Fire From The Evening Sun »

(UDR)

 

Release Dates: Europe Sept 12 / UK Sept 15 / US Sept 16 – 2014

 

Jay Lansford, responsable marketing du nouveau label de PHILM, UDR, déclare être honoré de collaborer avec le power trio formé de non moins que Dave Lombardo à la batterie (ex-SLAYER, GRIP INC., FANTÔMAS, TESTAMENT..), Gerry Nestler (catégorie Prog-Metal avec CIVIL DEFIANCE) et Pancho Tomaselli (du collectif Funk Rock californien WAR, TOWER OF POWER). Dave Lombardo et Jay Lansford se connaissaient et s’appréciaient depuis leur travail commun pour GRIP INC. quand le batteur y officiait . Signature naturelle, donc, pour PHILM auprès de ce nouveau label et le premier album qui en découle, « Fire From The Evening Sun » est simplement une tuerie, droit dans ta face du début à la fin.

Efectivement, les nouveaux morceaux se distinguent de ceux de son prédécesseur et premier effort car, si les titres de « Harmonic » se nourrissaient d’improvisation et de côté brut, c’est tout le contraire pour « Fire From The Evening Sun » puisque l’album marque un tournant volontaire dans leur parcours musical, en étant réfléchi et tourné vers un seul but : être puissamment intense par le biais d'une fusion intelligente de Metal / Noise / Funk / Jazz / Punk / Funk , riche de puissance, qui arrache tout sur son passage et ce, avec une telle créativité et une technique racée au service du feeling subtilement rentre-dedans, que le voyage en la compagnie de PHILM ne vous laissera pas intact.

Bousculé et avec délectation, on ne sort pas indemne de l’écoute des 12 titres, non, on en sort, sonné et avec un sourire beat de plaisir aux lèvres, doublé d’une furieuse envie de remettre ça, la toute dernière note à peine entendue.

« Fire From The Evening Sun » est tel une montagne russe magnifiquement déjantée qui va à un train d’enfer, pleine de surprises pour un album studio de trois musiciens-chanteur qui ont gagné leurs lettres de noblesse depuis fort longtemps et n’ont rien à prouver seulement s’éclater et ils y parviennent avec panache: effectivement, leur liberté de ton, d’inspiration et d’expression, touche les sommets, faisant de ce deuxième opus, un must à posséder

Excellente production due, une nouvelle fois, à Dave Lombardo en personne qui s’est adjoint les services, cerise sur le gâteau, de pointures que sont le compositeur de musique de films Tyler Bates (Watchmen, 300… ) et l’ingénieur du son Robert Carranza (The Mars Volta, Los Fabulosos Cadillacs…). C’est dire si l’album sonne avec toute la précision et la richesse que l’exercice demandait : du haut vol pour un groupe bluffant et pour leur second album qui l’est tout autant !

"Fire From The Evening Sun" est jouissif, rien d’autre. Vous aurez été prévenus !

Et encore, c’est juste sur album, imaginez en live… ! Justement, le power trio sera en France, pour quatre concerts immanquables en septembre 2015 ;)


Tasunka

 

 

PHILM_concertsFrance2015

 

gif_anime_drapeaux_angleterre Check Out all PHILM's Tour Dates: here

gif_anime_drapeaux_pays_141 Toutes les dates de tournée de PHILM : ici

 


 

Track-List « Fire From The Evening Sun »:

01-Train
02-Fire From The Evening Sun
03-Lady Of the Lake
04-Lion’s Pit
05-Silver Queen
06-We Sail At Dawn
07-Omniscience
08-Fanboy
09-Luxhaven
10-Blue Dragon
11-Turn In The Sky
12-Corner Girl

 


 

 

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PHILM Line-Up:

 - Gerry Nestler : V / G
   - Pancho Tomaselli : B 
- Dave Lombardo : D

 


 

 


 

philm_logo

 

16 juillet 2015

JOE BONAMASSA "Muddy Wolf At Red Rocks" (Review In French) + Fall Tour Dates (Europe - North America - 3 Kings Tour)

JB_MuddyWolfAtRedRocks

JoeBonamassa_signature04« Muddy Wolf At Red Rocks »

(Mascot Records)

 

JBTributesHowlinWolfMuddyWaters

 

 

‘Joe Bonamassa compte parmi les plus grands guitaristes vivants et est incontestablement destiné à compter parmi les plus grands toute époque confondue’, cette citation est amplement justifiée et méritée par cet artiste au talent qui frise le sublime, sublime de sensualité, de passion, de pur talent, de technique qui sait groover, faire parler le Blues dans son expression la plus authentique et magnifique de ce feeling à l’état brut.

Sur album, l’homme place déjà la barre haute avec des efforts aussi ambitieux que « Different Shades Of Blue » (2014), mais sur scène, c’est l’apothéose : JB y est plus que chez lui, faisant montre en direct d’une telle finesse de jeu, d’un tel art animé par la passion, par son respect des grands qui l’ont précédé et influencé, que la magie est au rendez-vous et sa guitare est telle une extension de lui-même, montrant son âme et son cœur à nu.

A nu, car Joe Bonamassa ne fait pas les choses autre qu’en s’exprimant en donnant tout et le plaisir ressenti de par et d’autre de la scène, le régal, l’envoutement et le charme, opèrent. Fort occupé et fort riche de ses précédents disques et nombreuses prestations live, Joe Bonamassa a pris le temps de s’adjoindre la participation des pointures de son groupe ainsi que l’adjonction de cuivres, pour sortir un nouveau live, « Muddy Wolf At Red Rocks » et ce double album live de Blues / Blues –Rock enfiévré est un cadeau, du genre qui ne vous quitte plus et dont on a envie encore et encore de replonger dedans tant l’effet est addictif.

Avec ce live qui est un superbe hommage aux grands des grands, Howlin’ Wolf (Sur le CD2) et Muddy Waters (sur le 1), vous êtes certains d’avoir pris un ticket au premier rang d’un concert où il fallait assurément être, alors, savourez !

 d’autant que la production à nouveau confiée aux bons soins de Kevin Shirley (The Black Crowes, Aerosmith, Led Zeppelin…) est un must pour faire briller l’âme du Blues avec la classe et la netteté d’un diamant : Howlin’ Wolf et Muddy Waters ont du en sourire de contentement depuis le paradis des légendes du Blues ;)

Et ce plaisir d’entendre, en intro de chacun des deux disques, la voix de Muddy Waters pour le CD1 et de Howlin’ Wolf sur le second : très émouvant !

Joe Bonamassa réussit, une nouvelle fois, à garder le Blues vivant et bel et bel vivant, tout comme sa fondation « Keeping The Blues Alive » le fait, elle qui promeut l’enseignement de la musique dans les écoles.

Concert unique donné un 31 août 2014 devant 9 000 chanceux en plein air dans l’amphithéatre ‘Red Rocks’ (Colorado), ce « Muddy Wolf At Red Rocks » est un ambitieux live sur lequel les classiques à la fois de Howlin’ Wolf et de Muddy Waters sont à l’honneur, mais aussi les morceaux de Joe Bonamassa même, le tout en un mélange réussi qui fait honneur au Blues, créant une continuité entre passé - présent et rendant, par la même, hommage aux influences d'un Joe Bonamassa au sommet de sa carrière et de son art: double live archi recommandé, donc , en version CD ou encore mieux en DVD !


Tasunka

 

Track Listing « Muddy Wolf At Red Rocks »:

CD 1 :
We Went Down To the Mississippi Delta
Muddy Waters Talking
Tiger In Your Tank
I Can't Be Satisfied
You Shook Me
Stuff You Gotta Watch
Double Trouble
Real Love
My Home Is On The Delta
All Aboard

CD 2 :
Howlin' Wolf Talking
How Many More Years
Shake For Me
Hidden Charms
Spoonful
Killing Floor
Evil (Is Going On)
All Night Boogie (All Night Long)
Hey Baby (New Rising Sun)
Oh Beautiful!
Love Ain't A Love Song
Sloe Gin
The Ballad of John Henry
Mississippi Heartbeat
Muddy Wolf Credits

 


 

 

on-tour-now

3 Kings Tour 2015 + Fall European Tour 2015 + Fall North American Tour Dates 2015 : click above ;)

==> Dont deux dates en France en octobre 2015 !! :)


 

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Joe Bonamassa - You Shook Me - Muddy Wolf at Red Rocks

 


 

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14 juillet 2015

VIRGIN STEELE – “Nocturnes Of Hellfire And Damnation” (Review In French) + (Official Lyric Video) "Lucifer's Hammer"

Virgin Steele Nocturnes Jewel

VirginSteele-Logo4 “Nocturnes Of Hellfire And Damnation”

(STEAMHAMMER / SPV)

 

Release Date Scandinavia: June 17th,2015
Release Date Germany: June 19th , 2015
Release Date: Europe: June 22nd , 2015
Release Date USA/Canada: June 23rd , 2015


Peu adeptes de la sortie en chaine de leurs albums, les vétérans de VIRGIN STEELE, vétérans puisque la bande du talentueux David DeFeis existe tout de même depuis 1981, ont mis cinq années fort longues pour leurs fans, afin de donner le jour à cette nouvelle pièce de Heavy Metal Epique qui peut se targuer d’être appelée 'pièce maîtresse', puisque l’on y retrouve la grandiloquence, cette marque de fabrique qui a fait remarquer, aimer ou pas, la formation d’outre atlantique, depuis ces dernières décennies : Aimer, certes le duo des guitares fonctionne, ici, à plein avec riffs / solos sensuels, profonds, mélancoliques, puissants toujours qui se donnent toute âme et souffle dehors comme si leur vie en dépendait, et puisqu’il est question de tout donner, corps et âme, toute passion sortie, le charismatiquement mégalomane chanteur, multi-instrumentaliste et bien sûr compositeur qu’est David DeFeis, procède et génère cette même passion ostensible au long de l’album.

Mais il y a une réserve : oui, cet opus est bon, très bon même, oui, le talent est là, l’inspiration idem, oui, tel un opéra musicalement somptueux, aux paroles métaphysiques sur l'interaction entre créatures divines, vivantes, est fort, oui, la production est racée, ciselée et met en valeur les attraits de ce « Nocturnes Of Hellfire And Damnation » , mais le côté dynamique, mélancolique, vivant de l’album qui fait toute sa qualité, est aussi son propre ennemi par moments ; en effet, c’est riche, trop riche quelque fois, on en a de partout, trop, ce qui peut amoindrir la beauté du propos. Certes juste par instants, mais on peut frôler à la fois le sublime et en instant, l’indigeste, ce qui fort heureusement ne dure que peu de temps.

Des morceaux magnifient le propos avec classe et beauté, tels que « Persephone », « We Disappear », « Delirium », d’autres sont plus classiquement et efficacement Heavy Metal, d’autres encore se révèlent d’un intérêt modéré. Sinon, la large palette vocale de David DeFeis fait, quant à elle, à nouveau sensation particulièrement en exprimant cette point de sourde mélancolie ou en affirmant sa force, ses aigus et s’ils sont typés eighties, pourquoi pas, après tout?! Par contre, après 1 :30 de « Lucifer’s Hammer », éloignez les écouteurs quand l’homme pousse ses cris stridents option sirène pas charmante: ceux-ci sont inutiles à moins de vouloir tester son audition, mais bon, vive l’expérimentation et l’humour dans de tels cas :)

RAS, donc, pour ce « Nocturnes Of Hellfire And Damnation », qui devait s’appeler jusqu’en avril 2015, «Hymns To Damnation », avant de prendre son titre définitif : RAS, donc, car très bel album de Virgin Steele, un peu éclaté sur ses près de 80 minutes, mais qui répond aux attentes de tout fan du groupe et qui, rappelons-le, sans être un concept album, possède cependant une ligne directrice liant chaque titre


A noter avant de conclure, la surprise du titre « Black Sun-Black Mass », puisque ce dernier n’est autre que le réenregistrement d’un morceau dû à un obscur groupe des eigthies, EXORCIST dont il est dit qu’il était, le temps d’un album, l’un des projets secrets / solos de David DeFeis himself


Tasunka

 

 

The new album is available in 3 different formats – each with a unique artwork!
(Format: CD 14 tracks + Bonus CD 15 tracks // CD 14 tracks // 2 LP 14 tracks + CD)

 

Virgin Steele Nocturnes Digi

 

Virgin Steele Nocturnes Jewel

Tracklisting Jewel Case CD:

01. LUCIFER’S HAMMER
02. QUEEN OF THE DEAD
03. TO DARKNESS ETERNAL
04. BLACK SUN-BLACK MASS
05. PERSEPHONE
06. DEVILHEAD
07. DEMOLITION QUEEN
08. THE PLAGUE AND THE FIRE
09. WE DISAPPEAR
10. A DAMNED APPARITION
11. GLAMOUR
12. DELIRIUM
13. HYMNS TO DAMNATION
14. FALLEN ANGELS

 

Virgin Steele Nocturnes LP

 


LINE-UP VIRGIN STEELE:

-David DeFeis – V
-Edward Pursino – G
-Josh Block – B / G
-Frank Gilchriest – D

 


 

 

 


 

VirginSteeleLogoGold

 

 

11 juillet 2015

ROBBEN FORD "Into The Sun" (Review In French) + Videos "Into The Sun" (Album Trailer) / "Rose Of Sharon" (Lyric Video)

 

RobbenFord_IntoTheSun

RobbenFord_Logo "Into The Sun"

MascotLabelGroup

 

Release dates: March 30th, 2015 (Europe)  //  March 31st, 2015 (US)

 

Nominé cinq fois aux Grammy Awards, 35 albums au compteur, sous son nom et avec diverses formations, hautement respecté par ses pairs et aimé par tous dont un public qui le suit fidèlement et apprécie avec justesse et délectation, son Blues, son jeu aux feeling et toucher inégalables de guitare, Robben Ford peut se targuer de compter et avec raison, dans le monde musical.

Et l’homme a toujours la passion de jouer, de composer, de chanter autant chevillée au corps puisque cet artiste unique et incomparable, nous délivre un nouvel album, « Into The Sun », aussi lumineux, chaleureux que dynamique et racé. Robben Ford, le décrit d’ailleurs, lui-même, comme le sommet de ce qu’il a pu faire et c’est effectivement le cas: « Into The Dun » se révélant être un petit bijou qui met en lumière son art, ses compositions et sa technique de jeu couplée à un groove et un feeling sans limites autre que le plaisir de jouer.

Ce qui frappe au long des 11 nouvelles compositions, c’est non seulement l’énergie, les vibrations positives qu’elles procurent, mais aussi la diversité qu’elles offrent, cette variété bluffante de rythmes, de teintes, de façon d’utiliser chaque instrument, de les faire s’exprimer en plein pour un résultat vivant, authentique et contemporain. Car contrairement à son retour aux racines du Blues de son enfance dans les années 60s, lors des albums précédents, cette fois, sur « Into The Sun », avec la tradition comme support, Robben Ford s’appuie dessus afin de s’envoler avec ses bases Blues, Jazz, Pop, Rock intemporelles pour les incorporer et les faire habilement se mêler dans un cadre, sur une structure résolument modernes : oui, on frôle, ici, le grand art et toujours avec cette approche naturelle, sans fards ni fioritures.

Fort d’un chant qui sait faire parler les mélodies, les émotions comme rarement, fort aussi d’un son qui sait magnifier le propos, son dû aux bons soins, une nouvelle fois, de Niko Bolas (Neil Young, My Morning Jacket, Boz Scaggs...), « Into The Sun » a bien des atouts et outre ceux déjà cités, la cerise sur le gâteau arrive en prenant connaissance des guests qui ont apporté leur contribution au long des morceaux, mais jugez par vous-même, car ce sont non moins que: Keb’ Mo’, Robert Randolph, Warren Haynes (Gov’t Mule), ZZ Ward, Tyler Bryant, Sonny Landreth


« Into The Sun » est un bijou pour un bijou d’artiste! Du très, très bon en somme :)


Tasunka



Tracklisting “Into The Sun” :

01. Rose Of Sharon
02. Day Of The Planets
03. Howlin’ At The Moon
04. Rainbow Cover
05. Justified (with Keb’ Mo’ & Robert Randolph)
06. Breath Of Me (with ZZ Ward)
07. High Heels And Throwing Things (with Warren Haynes)
08. Cause Of War
09. So Long 4 U (with Sonny Landreth)
10. Same Train
11. Stone Cold Heaven (with Tyler Bryant)

 


 

 


 

 


 

RobbenFord_IntoTheSun

 

7 juillet 2015

SANTA CRUZ "Santa Cruz" (Review In French) + Official Video "We Are The Ones To Fall"

SantaCruz

SantaCruz_logo   « Santa Cruz »

(SpineFarm Records)

 

Fondé en 2007, SANTA CRUZ était déjà prêt à faire parler la poudre dès ses débuts, ainsi que l’a démontré leur EP "Anthems For The Young ´n´ Restless"(2011), qui affichait au compteur un Hard Rock typé californien, festif, à la Slaughter, Skid Row ou encore Guns’n Roses. Un Hard Rock des plus réjouissants et accrocheurs au point d’avoir attiré l’attention du public et des professionnels puisque le EP a permis au groupe de décrocher une signature mondiale chez SpineFarm Records.

En 2013, la sortie de leur premier album "Screaming For Adrenaline" enfonçait le clou, prouvant que chez SANTA CRUZ, la pure adrénaline était au rendez-vous. Un déferlement de Hard-Rock Glam / Sleaze vitaminé au possible, assurait, alors, combien les passion et hargne positives et communicatives, pouvait habiter Johnny et Archie, le duo de shredders d’enfer de guitaristes et compositeurs principaux du groupe, et de même pour la section rythmique de Middy à la basse (qui a co-écrit quatre titres de ce second opus) et Taz, aux tambours déchainés et efficaces.

Inutile, alors, de dire combien les attentes étaient grandes pour ce second album éponyme, de voir confirmer ou pas, le potentiel de ce quatuor qui sait ce que mettre le feu veut dire : craintes balayées car l’essai est transformé haut la main, ou plutôt haut les cornes de Metal via les 10 nouvelles compositions de SANTA CRUZ, qui font mouche. Entrainants et avec l’avantage de ne pas être linéaires pour ne point lasser, les morceaux s’écoutent sans accroc, que ce soit en attaque ou en mid-tempo, tout fonctionne. Le chant fait penser à celui de Slaughter, les guitares sont le point dominant, l’atout majeur de SANTA CRUZ et les compositions, ainsi que le son plus Heavy que celui du précédent, sont au rendez-vous pour faire de ce second album, un bel effort de Hard Rock qui tire ses racines dans le meilleur du genre des années 80s, 90s, tout en étant moderne.

Non mesdames et messieurs, pas de révolution stylistique ici, mais un héritage bien digéré et exprimé avec une touche perso des plus appréciables!

SANTA CRUZ valent amplement de s’y intéresser : les finlandais promettent ! Mais oui, Hard Rock et look ‘Hair Spray’ californien tout droit sorti des 80s affichent présents et pourtant, c’est bien de Finlande, de HELLsinki, que le quatuor nous vient : l’âme Hard Rock est décidément internationale.


Tasunka


SANTA CRUZ Line-Up:

-Archie: Vocals, Guitar
-Johnny: Guitar, Backing Vocals, piano
-Middy: Bass, Backing Vocals
-Taz: Drums, Backing Vocals

 

Tracklisting:

01-Bonafide Heroes
02-Velvet Rope
03-Remedy
04-(66)6 Feet Under
05-Bye Bye Babylon
06-We Are The Ones To Fall
07-Wasted ‘N ‘ Wounded
08-Let Them Burn
09-Vagabonds (Sing With Me)
10-Can You Feel The Rain

 


 

 


 

SantaCruz

 

4 juillet 2015

Pro-Pain "Voice Of Rebellion" (Review In French) + Tour Dates

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ProPain_logo4 "Voice Of Rebellion" 

(STEAMHAMMER / SPV)

 

Release Date Scandinavia: June 17th,2015
Release Date Germany: June 19th , 2015
Release Date: Europe: June 22nd , 2015
Release Date USA/Canada: June 23rd , 2015

 

PRO-PAIN, les pionniers du Metal/Hardcore mettent les pendules à l’heure en 2015, en signalant avec hargne et brio, leur présence, via un véritable brulot, « Voice Of Rebellion », qui justifie amplement son titre au travers de quatorze nouvelles compositions ravageuses, plus trois morceaux en bonus pour la version digipak.

Contrairement à l’album précédent, le travail de composition a, ici, été un effort commun de toute la bande, ce qui explique, que, si on retrouve en fil rouge les signes distinctifs qui font adhérer autant à PRO-PAIN, à savoir agressivité, précision, passion, exactitude d’exécution, l’atmosphère se balade en toute liberté, pouvant passer du hyper speedé au NY Hardcore fondamental et ce, avec la même intensité. La production est tranchante comme un rasoir, chaude et finement amenée pour faire sonner ce « Voice Of Rebellion » qui répond à toutes les attentes d’un album du genre.

Côté patte PRO-PAIN, la voix écorchée, ou en growl de Gary Meskil reste bluffante, tout autant que sa basse ou encore les solos d’Adam Phillips qui se balade littéralement avec cette technique de guitare, au feeling au service de l'intense, quant aux gimmicks rythmiques imparables de Marshall Stephens à la six cordes et à la double grosse caisse, les puissants tambours de ‘Rebellion’ de Jonas sanders, les deux marquent et rejoignent leurs compères précités pour faire de « Voice Of Rebellion », un carton plein, au point de se dire, que, non décidément, pas un seul morceau n’est en dessous sur ce quinzième album : signe au combien flagrant d’un groupe au top de son art et effectivement, PRO-PAIN l’est.

S’il devait être néanmoins sortis du lot, quelques morceaux, alors, let’s go pour : … et puis, non, faites votre choix par vous-mêmes, vu que, sinon, cette chronique se retrouverait à citer en meilleurs titres, quasiment l’intégralité de l’album :)

Du grand art plein la tête avec PRO-PAIN, qui assurent une nouvelle fois avec "Voice Of rebellion" où s'exprime à plein, leur Metal / Hardcore bardé de tout ce qu'il faut pour satisfaire tout fan du genre et en attirer de nouveaux

A ne pas manquer, leur prestation live au Rock'n Roll Train Festival, le 11 juillet prochaindétail ici ;)

Tasunka

 


Tracklisting Jewel Case:

01- Voice Of Rebellion
02- No Fly Zone
03- Righteous Annihilation
04- Souls On Fire
05- Take It To The Grave
06- Age Of Disgust
07- Bella Morte
08- Cognitive Dissonance
09- Blade Of The Cursed
10- Crushed To Dust
11- Enraged
12- Hellride
13- DNR (Do Not Resuscitate)
14- Fuck This Life


Tracklisting LP:

Side A
01- Voice Of Rebellion
02- No Fly Zone
03- Righteous Annihilation
04- Souls On Fire
05- Take It To The Grave
06- Age Of Disgust
07- Bella Morte
Side B
01- Cognitive Dissonance
02- Blade Of The Cursed
03- Crushed To Dust
04- Enraged
05- Hellride
06- DNR (Do Not Resuscitate)
07- Fuck This Life


 

PRO-PAIN Line-Up:

-Gary Meskil: Bass / Vocals
-Marshall Stephens: Rhythm Guitar
-Adam Phillips: Lead Guitar
-Jonas Sanders: Drums


 

PRO-PAIN Tour 2015:

 

03.07. D-Roitzschjora - With Full Force Festival
04.07. B-Antwerpen - Antwerpen Metal Meeting
08.07. D-Pfarrkirchen - Bogaloo

11.07. F-Longwy - Rock N´Roll Train Festival (détail ici ;)

12.07. NL-Leiden - Werfpop

15.07. E-Viveiro - Resurrection Fest
07.08. CZ-Jaromer - Brutal Assault Festival
09.08. GB-Derbyshire - Bloodstock Festival
14.08. D-Hamburg - Logo
15.08. D-Dresden - Atomsmasher Fest
17.08. D-Nürnberg - Hirsch
18.08. D-Erfurt - From Hell
19.08. D-Düsseldorf - Tube
20.08. D-Alsfeld - Ehrlich&Laut Rocknacht
21.08. NL-Alkmaar - Victorie
24.08. D-Viersen - Rockschicht
25.08. D-Saarbrücken - Garage
28.08. CZ-Brno - Melodka
29.08. SK-Bratislava - Randal Club
04.09. D-Fraureuth - Open Air

 

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3 juillet 2015

PURPOSEFUL PORPOISE "Purposeful Porpoise" (Review In french) + Videos "Cycles" / "Unexplored"

PurposefulPorpoiseCover4

PP-logo4"Purposeful Porpoise"

(GEP Records)

 

Release: July 06th, 2015

 

Formé par le lead guitariste, compositeur, chanteur, Alex Cora, PURPOSEFUL PORPOISE fait forte impression, tout d’abord de par son « all star » line-up et avant tout, car la musique seule compte, par son Rock progressif ambitieux et digne du meilleur de la vague anglaise du même style, des seventies. Les influences de Alex Cora allant de GENESIS à FRANK ZAPPA, JEFF BECK ou JONI MITCHELL, il est aisé de comprendre combien l’esprit Prog’ Rock et ses vibrations peuvent s’être posés sur ce premier double opus éponyme; esprit seventies tout en étant moderne, tourné vers le futur et finement diversifié dans ses thèmes musicaux

 Esprit respecté d’autant qu’il n’a pas, ici, été fait appel aux technologies digitales, non, on est en présence d’enregistrement live, du jam avec prises en direct entre musiciens passionnés et au talent mondialement affirmé

Soutenu par une production ciselée comme du diamant, ce feeling live s’entend, se ressent à vous en faire vibrer sur chaque morceau. Effectivement, la sensation qui vous parcoure tout au long de ce premier double album éponyme, peut se résumer par : musique organique et vivante.

« Purposeful Porpoise » est le premier chapitre d’un projet de trois albums narrant la saga épique de « Jeux D’eaux » (en français dans le titre ;), une bataille entre le bien et le mal, un combat pour la survie sur fond d’univers futuriste aquatique appelé « Nommos ».

Tout, ici, s’exprime et concoure à donner vie à l’univers créatif et au combien mélodique de Alex Cora, que ce soit des solos de guitares qui ronflent, grondent comme un animal sauvage, captivant sans jamais lasser, ce qui est à souligner: au contraire, on tape du pied, s’émerveille, vibre à l’unisson et de même pour les solos de batterie ou de violon, la basse, les claviers qui s’expriment en étant mis sur un pied d’égalité très intelligemment pensé, avec la guitare. Les vocaux utilisés avec parcimonie et à bon escient, sont, quant à eux, de même niveau, même si la place d’honneur est faite aux instruments, à l’atmopshère organique.

En somme, tout brille sur ce long et inlassablement captivant premier volet de la saga car, oui, on plonge aux côtés de PURPOSEFUL PORPOISE sans retenue aucune, que les morceaux soient de pur Rock Progressif, de Prog Pop / Rock qui évoquent les BEATLES ou PINK FLOYD.

‘Pioche dans le passé, ancré dans le présent et tourné vers le futur’, PURPOSEFUL PORPOISE fait sensation en employant avec brio ces trois points! Aussi, après avoir vibré sur le premier double opus, l’impatience se fait-elle de découvrir les deux autres volumes de ce projet ambitieux !

Superbe !

Tasunka

 

Tracklisting "Purposeful Porpoise":

CD1:

01-Crossing Into The Unknown
02-The Air Pirate
03-Cycles

CD2:

01-Unexplored
02-iPhone
03-Lost
04-Serena Song
05-Nowhere Bound
06-Which Way Is Up
07-Air Pirate Jam (Bonus Track)

 

Purposeful Porpoise Line-Up:

-Guitarist / Vocals:  Alex Cora
-Legendary drummer : Vinnie Colaiuta (Sting/Frank Zappa)
-Keyboardist :  Derek Sherinian (Dream Theater/Yngwie Malmsteen)
-Bassist :  Ric Fierabracci (Chick Corea/Dave Weckl)
-violinist : Ginny Luke (Meatloaf/Dave Matthews)

 


 

 


 

 


 

 

AlexCora

 

 

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29 juin 2015

PRONG “Songs From The Black Hole” (Review In French) + Teaser “Songs From The Black Hole”

PRONG_SongsFrom

PRONGlogo2014“Songs From The Black Hole”

(Steamhammer / SPV)

 

Street date Scandinavia: March 25th , 2015
Street Date GSA: March 27thth, 2015
Street Date Europe: March 30th , 2015

 

Envie d’explorer les racines musicales de PRONG en leur compagnie? Alors, leur album de reprises, “Songs From The Black Hole”, est pour vous

Le Power Trio pose sa patte, son son, sur dix morceaux plus ou moins connus de groupes ayant compté dans leurs influences et le choix est varié, tout comme l’interprétation de PRONG qui sait, en fil rouge, toujours rester fidèle à son esprit unique tout en le combinant à celui du titre original : il en résulte un mixage intéressant et récréatif

Dedans et dehors, ce “Songs From The Black Hole” a des atouts. De l’artwork à la musique, l’album portant bien son nom, on plonge dans le thème de la décadence urbaine, la désolation, l’insécurité et le changement ultime qui prévaut dans la musique se fait jour via le visuel dû à Mike Lopez, leur directeur artistique. Musicalement, Indus, Punk, Hardcore se croisent à la sauce PRONG, qui ostensiblement a pris un de ces pieds à faire ces covers, chose évidente au long des morceaux et d'autant plus quand arrive le final: là, c’est la surprise que d’avoir un titre du Rocker Neil Young pour clôturer l’album : « Cortez The Killer », mais sur lequel les chant et guitare de Tommy Victor affirment leur patte, avec brio

Même si ces reprises peuvent diviser, ce serait risquer de passer à côté d’un album qui vaut de s’y plonger, que de ne pas avoir l'esprit ouvert : en effet, “Songs From The Black Hole” se révèle être un exercice passé haut la main par PRONG et non pas un album de reprises sans fun ou intérêt; au contraire on est, ici, en présence d’un album qui permet de mieux découvrir PRONG et donne envie de redécouvrir les titres repris, dans leur version originale


Tasunka

 

Tracklisting “Songs From The Black Hole” :

01) Doomsday (originally by DISCHARGE)
02) Vision Thing (originally by SISTERS OF MERCY)
03) Goofy’s Concern (originally by BUTTHOLE SURFERS)
04) Kids of the Black Hole (originally by ADOLESCENTS)
05) The Bars (originally by BLACK FLAG)
06) Seeing Red (originally by KILLING JOKE)
07) Don’t Want To Know If You Are Lonely (originally by HÜSKER DÜ)
08) Give Me The Cure (originally by FUGAZI)
09) Banned In D.C. (originally by BAD BRAINS)
10) Cortez The Killer (originally by NEIL YOUNG)

 

Line-Up PRONG:

-Tommy Victor – G / V
-Jason Christopher – B
-Art Cruz – D

 


 

PRONGlogo2014

27 juin 2015

NASHVILLE PUSSY "Ten Years Of Pussy" (Review In French)

NashvillePussy_10yearsofPussy

NashvillePussy_Logopinkw “Ten Years Of Pussy”

(Steamhammer / SPV)

 

Release Date Scandinavia: May 06th, 2015
Release Date Germany: May 08th, 2015
Release Date Europe: May 11th, 2015
Release Date USA/Canada: May 12th, 2015

 

 

La route du Rock est parfois semée d’embuches, pour les fervents pélerins tatoués, en cuir, chevelus, hommes et femmes qui l’empruntent, mais ce n’est pas ce les quelques aléas passés, entre galères de bassiste et de label, qui auraient pourrait ralentir NASHVILLE PUSSY, ce groupe inoxydable au Rock péchu, couillu, à l’humour ravageur comme son Rock’n Roll, devenu aussi incontournable que peut l’être MOTÖRHEAD

En effet, l’amour du pur Rock de son fondateur chanteur-guitariste-compositeur, Blaine Cartwright et de son amazone de femme et lead guitariste talentueuse qu’est Ruyter Suys, ne s’est jamais amoindri depuis les débuts en 1997; au contraire, il s’est renforcé, solide comme le Rock, concert après concert, album après album. Enfin stabilisé coté label et leur signature en 2005 avec SPV et fort d’un line-up fixe à la basse, depuis « Up The Dosage » en 2014, NASHVILLE PUSSY envoie du bois encore et toujours plus fort, et vous met un des ces coup de pied là où il faut, comme on l’aime !

Aussi, était-il temps pour SPV de sortir ce best-of des 10 ans du groupe dans son écurie : « Ten Years Of Nashville Pussy ». Regroupant 22 morceaux sur 2 CDs dont 16 tirés des trois albums studios SPV et 6 d’un live de folie à Birmingham en 2009. En somme, de quoi faire une de ces fêtes Rock volume à 10 pour célébrer ça

A l’instar des guests sur l’album, dont Lemmy sur un « Lazy Jesus » d’anthologie, Danko Jones de même pour « I’m So High », ou encore le guitariste de THE SUPERSUCKERS, Ron Heathman, sur l'explosive reprise live du classique « Nutbush City Limits », bref, à leur instar, les nombreux aficionados célèbres et inconnus du groupe d’Atlanta, ont raison d’aimer les Pussy :)

Ce « Ten Years Of pussy « vous les fera aimer aussi, si ce n’est déjà fait :)


Et comme le dit Lemmy : « S’il existe un meilleur groupe que Nashville Pussy pour ouvrir pour MOTÖRHEAD, je ne l'ai pas entendu »


Tasunka

 

TRACK LISTING “Ten Years Of Pussy”:

CD 1 - Best of

01. Come On Come On
02. Rub It To Death
03. I'm So High (with Danko Jones)
04. Going Down Swinging
05. Before The Drugs Wear Off
06. Hate And Whisky
07. The South Is Too Fat To Rise Again
08. Pussy Time
09. Til The Meat Falls Off The Bone
10. Pillbilly
11. Why Why Why
12. Up The Dosage
13. Lazy Jesus (with Lemmy)
14. Ain't Your Business
15. Good Night For A Heart Attack
16. Stone Cold Down

CD 2 - Bonus “Live in Nottingham” CD

01. One Way Down
02. Nutbush City Limits (with Ron Heathman on guitar THE SUPERSUCKERS)
03. Struttin' Cock
04. Late Great USA
05. Go Motherfucker Go
06. You're Goin' Down

 

LINE-UP NASHVILLE PUSSY:

-Blaine Cartwright - G / V
-Ruyter Suys - G
-Bonnie Buitrago- B
-Jeremy Thompson – D



SPV – NASHVILLE PUSSY Discography:

-2005 – Get Some (CD)
-2008 – Live In Hollywood (DVD)
-2009 – From Hell To Texas (CD)
-2012 – From Hell To Texas –Live And Loud in Europe (CD+live CD)
-2014 – Up The Dosage (CD)

 

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25 juin 2015

SpitFire "Welcome To Bone City" (Review In French) + Offical Video "Fall From Grace"

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SpitFire_logo  “Welcome To Bone City”

(Rookies & Kings / SPV)

 

Release Date Europe: April 20th , 2015

 

Punk Rock, Metal, Rockabilly, Southern Rock, vous aimez? Alors, imaginez un groupe qui mélange le tout avec leur patte Heavy Rock’n Roll unique, en un feu d’artifice tellement entrainant, joué avec les tripes, honnête et droit au but tout en étant intelligemment mené, qu’il en arrache tout sur son passage…

Oui, cela existe et ce sont les allemands de SpitFire qui réussissent ce tour de force non seulement avec leur premier opus fort goutu et qui sentait bon la sueur, en avril 2013 : « Devil’s Dance » (chronique ici ;) mais aussi en 2015, avec leur nouvel album « Welcome To Bone City »

En effet, voici que le trio est sur la route à nouveau à bord de son puissant bolide Rock toujours chargé ras la gueule de la dynamite nitrous oxide (toujours ce même mélange détonnant qui fait rugir les dragsters ;) pour vous emmener au sein de « Bone City », ville de toutes les perditions et des possibles. Au long de « Welcome To Bone City », SpitFire assurent, il faut le dire, en achevant de confirmer la forte impression qu’avait laissée leur premier effort précité, de 2013, et en parvenant même à sceller leur Rock’n Roll tout en le faisant évoluer autant du point de vue des paroles que musicalement, le tout en restant fidèles à leur esprit Rock de départ et en le développant : en résumé, on s’éclate au long des nouvelles compositions et on en redemande

Effectivement, difficile de stopper le lecteur après qu’ait résonné le dernier morceau, comme une envie irrépréssible de remettre ça :)
Et cerise sur le Rock, la voix du chanteur-guitariste, Dick Dropkick, est et reste parfaite pour le style pratiqué, sans compter que son jeu de guitare, ainsi que les basse et batterie de ses acolytes, Johnny Jailbreak, Nikk Nitro, les chœurs hymniques à plein et la production, se montrent au top !

En bonus, à noter que la version SpitFire-ienne du tube « Danger zone » tirée du film à succès « Top Gun » (1986), vaut le détour!

Définitivement, SpitFire ont l’esprit Rock’n Roll qui coule dans les veines, comme le prouve chaque titre de "Welcome To Bone City" : sur album, effet garanti, alors, imaginez en live :)

Tasunka

 

Tracklisting CD :

01. Welcome to Bone City (Intro)
02. Here We Go
03. Too Young to Die
04. Queen of the Night
05. Bone City Radio
06. Fall From Grace
07. Motorman
08. Battlefield
09. Hell & High Water
10. Bridges Burned
11. Last Gang in Town
12. Take Me Home
13. Dust and Bones
14. Desperado
15. Dangerzone - Bonustrack CD (cover from original soundtrack song taken from "Top Gun" movie - 1986)


Line-Up SpitFire:

-Dick Dropkick :      Lead vocals , Guitar
-Johnny Jailbreak : Bass , Backing vocals
-Nikk Nitro :           Drums, Backing vocals

 


 

 


 

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SpitFire_logo

22 juin 2015

WE ARE THE OCEAN "Ark" (Review In French) + Official Lyric Video "Ark" / Officlal Video "Do It Together"

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WE ARE THE OCEAN “Ark”

(BMG)

Sortie: 11 mai 2015

 

Du caractère, de la personnalité, une plongée intense dans la finesse ou dans l’attaque de leur Rock alternatif, le quatrième album de WE ARE THE OCEAN se révèle simplement superbe !

 Celui-ci marque, effectivement, par son intelligence de compositions autant que par l’habileté que montre le quatuor anglais au long d’un « Ark » et que dire des paroles laissées au soin du chanteur-guitariste rythmique, Liam Cromby, si ce n’est qu’elles sont telles les lectures de l’homme, à savoir humaines et un voyage pour la conscience. Depuis deux albums dont celui-ci et le départ de son co-fondateur et alors chanteur, Dan Brown, WE ARE THE OCEAN continue son évolution, se diversifie et en impose de par sa richesse vaste comme l’océan sur lequel navigue « Ark », leur arche aussi forte musicalement que la très réussie pochette, peut l’être. Quant à Liam Cromby, l'homme étoffe avec « Ark » sa palette vocale en surfant du chant clair au plus profond, intense toujours, pour laisser passer les émotions que dégagent chaque instrument en une osmose convaincante s’il en est et ce, d’autant plus que l’album a été enregistré dans les conditions du live, ce qui laisse ce parfum d’intemporel, d’indispensable à cet album à l’identité affirmée et fait y adhérer sans retenue


Tasunka

 

Tracklisting « Ark »:

01. Ark
02. I Wanna Be
03. Good for You
04. Do It Together
05. Shere Khan
06. Hope You’re Well
07. Letter to Michael
08. Holy Fire
09. Wild
10. There’s Nothing Wrong
11. The Midnight Law
12. Remember to Remember Them

 

WE ARE THE OCEAN Line-Up :

- Liam Cromby – V / G
- Alfie Scully – G
- Jack Spence – B
- Tom Whittaker – D


 

 


 

 


 

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21 juin 2015

THE SMASHING PUMPKINS "Monuments To An Elegy" (Review In French) + Videos "Being Beige" / "One And All" On Jimmy Kimmel Live)

TheSPumpkins-Monuments-to-an-Elegy

TheSP_logo“Monuments To An Elegy”

(Martha’s Music / BMG)

 

Release Date: December 9th, 2014

 


La danse continue, côté line-up, au sein de THE SMASHING PUMPKINS et aux dires de son mentor, compositeur principal et guitariste, l’incontournable et indéboulonnable Billy Corgan, les deux seuls membres officiels du groupe, sont sa personne et Jeff Schroeder (guitare). A la batterie, Tommy Lee (Mötley Crüe) remplace, sur album, le talentueux Mike Byrne et c’est Brad Wilk (Rage Against The machine) qui assure la tournée avec SP. Pour ce qui est de la basse de Nicole Fiorentino, le poste est repris par Mark Stoermer (The Killers). « Monuments To An Elegy » voit donc le jour, talonné par un second opus à sortir à quelques mois d’intervale, « Day For Night »

On retrouve ici et avec plaisir, les guitares Rock à l’épaisseur accrocheuse servie en diable par une production lourde ce qu’il faut, à la distorsion affirmée, qui donne cette patte qu’on aime tout comme les vocaux de 'chat perché' de Billy Corgan, même si l’homme est de toute évidence apaisé par rapport au passé, et des compositions de qui vous savez auxquelles ont participé Tommy lee et Jeff Schroeder. Ce qui donne un album avec des hauts et bas, et fait de ce retour des SP à la musique, de ce « Monuments To An Elegy » un album qui sait fédérer et parallèlement, auquel la magie des années 90s, de leur apogée, fait défaut. La magie de ce phénoménal double album de 1995 : « Mellon Collie and The Infinite Sadness »

Non pas que ce nouvel opus manque d’atouts et de moments forts, non, il en a, à commencer par le titre d’ouverture « Tiberius » où les guitares ronflent de leur gimmicks et riffs doublée d’un piano bien amené qui apporte un plus, le très bon « One And All (We Are)», quant à lui, reste dans la lignée puissante et fun, qui évoque au bon souvenir de bons titres du passé, de leur Rock alternatif des 90s..

Moment fort, aussi, sur l’original « Drum + Fife » où une flûte joute en lead et avec brio, le long du morceau, avec la batterie martiale mais au touché sensible de Tommy Lee : un titre abouti. Les bas ou disons les titres dont on prend plaisir à écouter mais qu’on oublie assez vite, sont à trouver auprès de « Being Beige », de « Dorian » pourtant réussis mais dont les claviers peuvent irriter par instants, alors que les guitares le font briller de mille feux, même constat sur « Monuments ». Par contre, irritant, "Run2Me" ou encore « Anaise ! » l’est : trop ostensiblement orienté pour toucher un vaste public mais c’est ce qui peut arriver quand la diversité est de mise au long de « Monuments To An Elegy ». Ce qui fait des 9 nouvelles et c’est à souligner, courtes compositions, des perles qui brillent plus ou moins, mais des perles quand même!

Beaucoup d’attente donc, pour l’album à venir : « Day For Night »

Tasunka

 

"Monuments To An Elegy" Track-listing :

01.Tiberius
02.Being Beige
03.Anaise!
04.One And All (We Are)
05.Run2Me
06.Drum + Fife
07.Monuments
08.Dorian
09. Anti-Hero

 


 

Smashing Pumpkins - "Being Beige"

 


 

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The Smashing Pumpkins - One And All on Jimmy Kimmel Live

 


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20 juin 2015

THE ANSWER "Raise A Little Hell" (Review In French) + Video "Red" / Lyric Video "Long Live The Renegades"

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TheAnswer_logo« Raise A Little Hell »

(Napalm Records)

 

Release Dates:

March 6th 2015 (GSA/Benelux)
March 9th (UK and Europe)
March 10th in North America

 

La très réussie production de leur ami de longue date, Guillermo 'Will' Maya, et l’enregistrement du nouvel album « Raise A Little Hell », à Madrid, ont permis à THE ANSWER d’exprimer en plein leur amour de la musique qu’ils jouent, du Rock pur souche à la touche et au groove seventies. Permis, donc, de se lâcher, donc, sous le soleil espagnol de cet été 2014.

Et le moins qu’on puisse dire, c’est que THE ANSWER ont été productifs et inspirés en puisant au plus profond d’eux-mêmes pour donner vie aux douze nouvelles compositions authentiques et vivantes, au sein desquelles le quatuor a indéniablement mis toutes ses tripes et son âme.

Le charismatique Cormac Neeson fait toujours montre de cette voix éraillée dont il sait si bien jouer pour faire passer l’émotion des textes, des compositions ou de plus de légèreté ; voix qui reste, d’ailleurs, parfaite quelque soit le Rock / Blues Rock / Rock Alternatif / Hard Rock de la formation irlandaise.

Bien sûr, côté maestria à la guitare de Paul Mahon, basse de Micky Waters et batterie de James Heatley, tripes et âme y sont incontestablement présentes, là aussi et le choix fort judicieux d’avoir laissé les peaux de batterie un peu desserrées, les faisant sonner d’un son lourd parfait, ainsi que la saturation des basse et surtout de la guitare, qui est judicieuse pour donner de l’épaisseur et coller à l‘atmosphère vivante, profonde et parlante, qui coure au long de l’album. Le morceau titre « Raise A Little Hell », est un must en soi et peut résumer le nouvel opus, en lui-même, ainsi que le superbe « Last days Of summer ». Et en parlant des atouts, la pochette psychédelique de Sebastian Jerke, compte parmi les nombreux qu'offre l'album. 

En somme, ‘THE ANSWER sont fiers et excités d’avoir donné vie à « Raise A Little Hell »’ déclarent-ils et ils peuvent l’être :

touchant ou plus léger, mélodique, intense et profond toujours, joué et chanté toutes tripes et âme Rock sorties, au point de donner la chair de poule sur certains passages, THE ANSWER délivrent assurément un album fort et qui compte !


Tasunka

 

Track-List "Raise A Little Hell":

01- Long Live The Renegades
02- The Other Side
03- Aristocrat
04- Cigarettes & Regret
05- Last days Of Summer
06- Strange Kinda’ Nothing
07- I Am What I Am
08- Whiplash
09- Gone Too Long
10- Red
11- I Am Cured
12- Raise A Little Hell

 

THE ANSWER Line-Up :

-Cormac Neeson : V
-Micky Waters : B
-James Heatley : D
- Paul Mahon : G

 


 

The Answer - Red

 


 

THE ANSWER - Long Live The Renegades (Official Lyric Video

 


 

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4 juin 2015

WE BUTTER THE BREAD WITH BUTTER "Wieder Geil ! " (Review In French) + Videos "Berlin, Berlin !" / "Bang Bang Bang"

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WBTBWB_Logo« Wieder Geil ! »

(AFM AFM Records )

 

Release Dates: May 22nd 2015 (EU)   /  June 23rd (US)


WE BUTTER THE BREAD WITH BUTTER sortent un quatrième album et le titre même “Wieder Geil !” (Génial à nouveau) résume, à lui seul, ce que ce très créatif groupe basé à Berlin peut faire, à savoir briller avec son Metalcore teinté d’Electro qui ne suit aucune mode, seulement l’envie du quatuor de tout donner et se faire plaisir.

Recette gagnante comme il se doit, car le tout dernier opus de WBTBWB est un petit bijou !

Au chant, Paul Bartzsch, explose tout en explorant pour la première fois pleinement sa large palette vocale et s’enchainent les growls, le chant clair, avec la même redoutable efficacité et précision, la guitare de son complice de compositeur, producteur, Marcel Neumann, est au diapason, tout comme la section rythmique; d’ailleurs, un titre tel que « Berlin, Berlin ! » se pose en exemple pour illustrer le propos, avec growl, chant clair et apport de vocaux féminins, le tout pour une ritournelle virale qui vous colle à la peau. Pareil effet marquant sur "Gib Mir Mehr"

Et le meilleur arrive avec « Bang Bang Bang » qui démontre ce mixage entre Indus / Metalcore et cette puissance réussie : on y retrouve des growls nerveux, de l’indus, du Metalcore et un pont au milieu de cette avalanche rauque, est fait avec l’apparition d’un violon, fort intelligemment utilisé : du grand art.

«Ich Mach Was Mit Medien » assure, lui aussi, cette fois en mêlant Metalcore et Electro. « Rockstar » fait, quant à lui, sensation autant avec l’humour des textes que cette attaque au tempo de fou tout le long d’un titre, pour soudain surprendre et faire un break en plein milieu, puis reprendre le gimmick qui va bien, retour à un pont au chant clair : trop bon ce morceau, en somme.

Son des plus à la hauteur pour mettre la dynamique des titres en valeur, compositions qui montrent une créativité appréciable au long de l'album, bon groupe et principalement le duo de tête, chant / guitare qui explose de leur présence, sans oublier le mélange chant en anglais et en allemand et voilà, secouez, et vous avec le quatrième opus de WBTBWB, opus qui ne vous quitte pas après l’avoir écouté : oui, ils sont « Wieder Geil ! » :)


Tasunka

 


Tracklisting “Wieder Geil !”:

01-Ich Mach Was Mit Medien
02-Exorcist:
03-Anarchy
04-Berlin, Berlin!
05-Bang Bang Bang
06-Gib Mir Mehr
07-Rockstar
08-Thug Life
09-Warum Lieben Wir Nicht Mehr
10-Zombiebitch


Line Up WE BUTTER THE BREAD WITH BUTTER:

-Paul Bartzsch : V
-Marcel Neumann : G /V
-Maximillian Pauly : B
-Can Özgünsür : B


 

WE BUTTER THE BREAD WITH BUTTER - Berlin, Berlin! 

 


 

WE BUTTER THE BREAD WITH BUTTER - Bang Bang Bang 

 


 

WT_WGeil

 

 

WBTBWB_Logo

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