-17 Jul Resurrection Fest - Spain -06 Aug Leyendas Del Rock - Spain -07 Aug Getaway Rock - Sweden -08 Aug Kubana Festival - Russia -10 Oct Loud Park 15 - Japan -05 Nov Markthalle Hamburg - Germany -06 Nov C-Club Berlin - Germany -07 Nov Hirsch Nuremburg, Germany -08 Nov Backstage Halle Munich, Germany -09 Nov Szene Vienna, Austria -10 Nov Gaswerk Winterthur, Switzerland -11 Nov L'Usine Geneva, Switzerland -12 Nov Live Club Milan, Italy -17 Nov La Maroquinerie Paris, France -18 Nov Luxor Cologne, Germany -21 Nov Speedfest Eindhoven, Holland -22 Nov Slade Rooms Wolverhampton, UK -23 Nov O2 ABC2 Glasgow, UK -24 Nov Academy 3 Manchester, UK -25 Nov Islington Academy London, UK
"…Coma Ecliptic is a 68-minute cosmic opera that's part Stravinsky, part Queensrÿche." - Rolling Stone
Upcoming Tour Dates: Tour w/ Animals As Leaders, The Contortionist:
North America:
07/25 Boise, ID Knitting Factory Concert House 07/27 Salt Lake City, UT The Complex 07/29 Des Moines, IA Wooly's 07/30 Joliet, IL Mojoes 07/31 Columbus, OH Newport Music Hall 08/01 Grand Rapids, MI The Intersection 08/02 Bloomington, IL The Castle Theatre 08/04 London, ON London Music Hall 08/06 Buffalo, NY The Town Ballroom 08/07 Pittsburgh, PA Stage AE 08/08 Norfolk, VA The NorVa 08/09 Wilmington, NC Ziggys by the Sea 08/11 Clifton Park, NY Upstate Concert Hall 08/12 Providence, RI Lupo's Heartbreak Hotel 08/13 Sayreville, NJ Starland Ballroom 08/14 Winston-Salem, NC Ziggys 08/15 Nashville, TN Marathon Music Works
...Check on Metal Blade Records for all the other European tour dates:
Coup de cœur pour « Shad8wmaker » d’APOCALYPTICA»!
Revoilà les Violoncelles au top avec ces nouvelles compositions et qu’il fait bon découvrir combien ce trio de talentueux et inspirés violoncellistes finlandais,a enfin remis en avant ses instruments et leur interprétation ‘classique au service du Metal’, en les jouant comme tels: c'est-à-dire, des violoncelles qui remplacent basse, guitare et non plus en les interprétant comme une copie des instruments précités. C’est appréciable cette distinction, puisqu’on retrouve ici et avec plaisir, cette patte, cette originalité au long de « ShadowMaker », à savoir la marque de fabrique APOCALYPTICA due au son si particulier et unique des violoncelles furieusement interprétés Metal mais fidèles à eux-mêmes : vous savez ce ‘plus’ qui a enthousiasmé l’univers musical dans son intégralité, du public aux autres artistes et professionnels inclus, depuis leurs débuts en 1993.
Le trio, accompagné de son complice de batteur, Mikko Sirén, marque, avec "Shadowmaker", l’ouverture d’un nouveau chapitre en incorporant à la troupe, un chanteur, une voix qui éclipse le choix originel de n’avoir que des guests vocaux de prestige. L’apport de Franky Perez donne, donc, une identité vocale propre à APOCALYPTICA, ce qui marquera une continuité appréciable au chant, sur album et sur scène. L’homme se révèle, qui plus est, fort doué et prouve pouvoir assurer vocalement autant dans les parties mélodiques ou rauques, en attaque, éraillées ou douces, accompagnant ainsi de sa voix la diversité des compositions qui passent du Metal, Neo Metal au Pop/ Rock et ce, avec une de ces aisances qui fait apprécier l’ensemble de ce « ShadowMaker ».
Les instrumentaux où les trois violoncelles, la batterie, explosent tout, en délivrant une atmosphère d’une richesse, d’un punch, d’une mélodie, d’une fine hargne bluffantes, font penser qu’il faut reconnaître que les meilleurs moments sont à trouver dans les passages instrumentaux, comme sur le superbe « ShadowMaker » ou tout instrumental tels les musts que sont « Reign Of Fear », « Riot Of Lights », « Till Death Do Us Part ».
Mais même si ce n’est que le début de ce nouveau chapitre dans l’histoire d’APOCALYPTICA, le chant participe néanmoins déjà à la réussite de « ShadowMaker » et le meilleur est encore à venir de la part de ce désormais quintet: cet opus en étant un bel aperçu.
Quant aux production et enregistrement confiés aux bons soins de Nick Raskulinecz (producteur des FOO FIGHTERS), ceux-ci sont ciselés, chauds, vigoureux comme le demandent les nouvelles compositions. D’ailleurs, ce dernier fait une apparition violoncelle sur « Waltz Of Death ». Enfin, pour conclure et par non des moindres, la pochette ainsi que son livret, sont à l’image de l’album-même : une pièce unique !
Tasunka
Le concert au Zénith de Paris du 25 avril 2015 ayant été reporté au 6 novembre, les chanceux qui vont y aller, vont s’en rappeler longtemps !
Release Dates: July 31st 2015 (EU) / August 18th (US) 2015
(DVD/2CD/2LP)
En un effort créatif commun, entre l’incontournable pièce maitresse du Heavy Metal allemand, U.D.O. et l’orchestre symphonique du corps de marine allemande de la mer du Nord (Marinemusikkorps Nordsee), voici le « rêve devenu réalité », du frontman de U.D.O., Udo Dirkschneider, à savoir l’union du symphonique classique et du Heavy Metal, se produisant ensemble sur la même scène.
Le concert démarre avec l’intro d’un sonar de sous-marin seul, qui donne le ton, puis, sur le thème original, joué par l’orchestre seul, de la musique du fameux film allemand de 1981 « Das Boot » (‘Le Bateau ‘ pris dans le sens de sous-marin) qui décrivait le courage, la valeur et la cruelle réalité des sous-mariniers allemands lors de la seconde guerre mondiale, alors que le vent tournait pour les armées du Reich.
L’ambiance est posée : Udo Dirkschneider précise après cette intro, ce premier titre interprété avec orchestre seul et à la fin du premier morceau incorporant Heavy et orchestre, le frontman s’adresse donc au public pour préciser combien cette soirée est spéciale.
C’est effectivement à un live unique auquel on assiste car classiques symphoniques et classiques Heavy du groupe vont s’accoupler en un feu d’artifice musical où la puissance, les mélodies du Metal et du classique prouvent avec brio être égales, de même valeur et de la même famille.
Sur « Independence Day », la section de cuivres donne une saveur originale à un titre qui excelle déjà côté accroche dans sa version Metal seule : une pure claque! Notamment sur l’hymnique refrain qui vous donne la chair de poule autant de par ses chœurs que son solo, avec grand renfort de cuivres et de tout l’orchestre de Marine. Ce même effet 'chair de poule' se retrouvant d’ailleurs sur « Days Of Hope And Glory ».
Et cela continue en feu d’artifice entre le thème instrumental ultra connu de musique classique composé par Edvard Grieg au 19ième siècle et joué par l’orchestre : « In The Hall Of The Mountain King » ou la très acclamée version instrumentale symphonique avec saxo, trompettes, cuivres, de « Ride ». De quoi vous faire aimer la musique classique symphonique, si ce n’est déjà fait.
La voix de Herr Dirkschneider, éraillée et maitrisée par des années d’expérience, fait merveille autant qu’un instrument seul. Le classique Heavy « Man And Machine » et son intro aux tambours seuls sur lesquels vient se greffer un fifre militaire pour entamer la ritournelle si connue du hit de U.D.O, vous donne envie de tout péter : c’est trop bon :)
Et pour calmer le jeu sans cesser de rester dans l’intense, la ballade « Dancing With An Angel » toujours mixée entre le groupe et l’orchestre, assure d’autant que Udo est rejoint par une autre voix mythique du Metal allemand et international, à savoir Doro; et oui, on vous gâte. Le public en a apparemment amplement conscience, lui qui ne cesse de réclamer à l’issue du titre, « une autre, une autre ». Vœu exaucé avec les mélodiquement hymniques « Faceless World », et cette inattendue version swing toutes trompettes, saxo et chœur dehors, du classique du groupe « Cut Me Out » sur laquelle on trouve seulement la voix originale du Udo et sans instrument autre que ceux de l'orchestre : ah ce solo de saxo, cette contre basse qui swinguent ! c’est finement inspiré.
Et que dire aussi du très bon « Trainride In Russia » avec son solo d'accordéon, ses chœurs masculins russes, avec guitare, refrain hymnique, si ce n’est que tout y est… Enfin, le feu d’artifice qui s’est poursuivi tout au long du live, se conclue par un bouquet final sur un « Animal House » qui allie la dynamique du pur Heavy aux guitares en attaque et la force de tout un orchestre classique comme partie intégrante, avec chœurs féminins, voix d’Udo, le tout formant un cocktail détonnant parfait pour conclure un concert hors norme
U.D.O. est fertile en lives au point d’épuiser le porte-monnaie pour qui veut suivre et d’avoir du mal à résoudre le casse-tête épineux de savoir lequel choisir, car tous ne sont pas indispensables et bien, réjouissez-vous,car
s’il n’y a qu’un live récent à se procurer, les yeux fermés, c’est celui-là, « Navy Metal Night »!
De l’aveu de Udo Dirschneider, le frontman charismatique du groupe, ce concert en collaboration avec un orchestre classique qui revisite en commun ses classiques, est un rêve devenu réalité : et vous savez quoi ? Il a raison, tout y est impeccable, du choix de la set list, de la production, de l’orchestre et bien sûr du groupe même, d’autant que, unis sur scène, tous prennent un plaisir évident et nous aussi.
Un « Navy Metal Night » chaudement recommandé pour les fans de U.D.O. et pour tous. De quoi aimer le Metal autant que le classique et inversement : superbe passerelle entre deux genres qui prouvent combien ils sont parents !
A noter que U.D.O. joueront sur la scène du W.O.A. (Wacken ;)allemand, le 30 juillet prochain, à nouveau accompagnés par un orchestre militaire, mais le "Musikkorps Bundeswehr", cette fois: sortez cravates et cuir, ça va assurer :)
Tasunka
Tracklisting “Navy Metal Night”:
01-Intro (Das Boot) 02-Das Boot 03-Future Land 04-Independence Day 05-Animal Instinct 06-In The Hall Of The Mountain King 07-Heart Of Gold 08-Man And Machine 09-Dancing With An Angel (Featuring DORO Pesch) 10-Faceless World 11-Ride 12-Days Of Hope And Glory 13-Cut Me Out 14-Trainride In Russia 15-Stillness Of time 16-King Of Mean 17-Book Of Faith
Line-Up U.D.O. :
-Udo Dirkschneider - V -Fitty Wienhold - B -Andrey Smirnov - G -Kasperi Heikkinen - G -Francesco Jovino- D
Release Dates: Europe Sept 12 / UK Sept 15 / US Sept 16 – 2014
Jay Lansford, responsable marketing du nouveau label de PHILM, UDR, déclare être honoré de collaborer avec le power trio formé de non moins que Dave Lombardo à la batterie (ex-SLAYER, GRIP INC., FANTÔMAS, TESTAMENT..), Gerry Nestler (catégorie Prog-Metal avec CIVIL DEFIANCE) et Pancho Tomaselli (du collectif Funk Rock californien WAR, TOWER OF POWER). Dave Lombardo et Jay Lansford se connaissaient et s’appréciaient depuis leur travail commun pour GRIP INC. quand le batteur y officiait . Signature naturelle, donc, pour PHILM auprès de ce nouveau label et le premier album qui en découle, « Fire From The Evening Sun » est simplement une tuerie, droit dans ta face du début à la fin.
Efectivement, les nouveaux morceaux se distinguent de ceux de son prédécesseur et premier effort car, si les titres de « Harmonic » se nourrissaient d’improvisation et de côté brut, c’est tout le contraire pour « Fire From The Evening Sun » puisque l’album marque un tournant volontaire dans leur parcours musical, en étant réfléchi et tourné vers un seul but : être puissamment intense par le biais d'une fusion intelligente de Metal / Noise / Funk / Jazz / Punk / Funk , riche de puissance, qui arrache tout sur son passage et ce, avec une telle créativité et une technique racée au service du feeling subtilement rentre-dedans, que le voyage en la compagnie de PHILM ne vous laissera pas intact.
Bousculé et avec délectation, on ne sort pas indemne de l’écoute des 12 titres, non, on en sort, sonné et avec un sourire beat de plaisir aux lèvres, doublé d’une furieuse envie de remettre ça, la toute dernière note à peine entendue.
« Fire From The Evening Sun » est tel une montagne russe magnifiquement déjantée qui va à un train d’enfer, pleine de surprises pour un album studio de trois musiciens-chanteur qui ont gagné leurs lettres de noblesse depuis fort longtemps et n’ont rien à prouver seulement s’éclater et ils y parviennent avec panache: effectivement, leur liberté de ton, d’inspiration et d’expression, touche les sommets, faisant de ce deuxième opus, un must à posséder
Excellente production due, une nouvelle fois, à Dave Lombardo en personne qui s’est adjoint les services, cerise sur le gâteau, de pointures que sont le compositeur de musique de films Tyler Bates (Watchmen, 300… ) et l’ingénieur du son Robert Carranza (The Mars Volta, Los Fabulosos Cadillacs…). C’est dire si l’album sonne avec toute la précision et la richesse que l’exercice demandait : du haut vol pour un groupe bluffant et pour leur second album qui l’est tout autant !
"Fire From The Evening Sun" est jouissif, rien d’autre. Vous aurez été prévenus !
Et encore, c’est juste sur album, imaginez en live… ! Justement, le power trio sera en France, pour quatre concerts immanquables en septembre 2015 ;)
01-Train 02-Fire From The Evening Sun 03-Lady Of the Lake 04-Lion’s Pit 05-Silver Queen 06-We Sail At Dawn 07-Omniscience 08-Fanboy 09-Luxhaven 10-Blue Dragon 11-Turn In The Sky 12-Corner Girl
PHILM Line-Up:
- Gerry Nestler : V / G - Pancho Tomaselli : B - Dave Lombardo : D
‘Joe Bonamassa compte parmi les plus grands guitaristes vivants et est incontestablement destiné à compter parmi les plus grands toute époque confondue’, cette citation est amplement justifiée et méritée par cet artiste au talent qui frise le sublime, sublime de sensualité, de passion, de pur talent, de technique qui sait groover, faire parler le Blues dans son expression la plus authentique et magnifique de ce feeling à l’état brut.
Sur album, l’homme place déjà la barre haute avec des efforts aussi ambitieux que « Different Shades Of Blue » (2014), mais sur scène, c’est l’apothéose : JB y est plus que chez lui, faisant montre en direct d’une telle finesse de jeu, d’un tel art animé par la passion, par son respect des grands qui l’ont précédé et influencé, que la magie est au rendez-vous et sa guitare est telle une extension de lui-même, montrant son âme et son cœur à nu.
A nu, car Joe Bonamassa ne fait pas les choses autre qu’en s’exprimant en donnant tout et le plaisir ressenti de par et d’autre de la scène, le régal, l’envoutement et le charme, opèrent. Fort occupé et fort riche de ses précédents disques et nombreuses prestations live, Joe Bonamassa a pris le temps de s’adjoindre la participation des pointures de son groupe ainsi que l’adjonction de cuivres, pour sortir un nouveau live, « Muddy Wolf At Red Rocks » et ce double album live de Blues / Blues –Rock enfiévré est un cadeau, du genre qui ne vous quitte plus et dont on a envie encore et encore de replonger dedans tant l’effet est addictif.
Avec ce live qui est un superbe hommage aux grands des grands, Howlin’ Wolf (Sur le CD2) et Muddy Waters (sur le 1), vous êtes certains d’avoir pris un ticket au premier rang d’un concert où il fallait assurément être, alors, savourez !
d’autant que la production à nouveau confiée aux bons soins de Kevin Shirley (The Black Crowes, Aerosmith, Led Zeppelin…) est un must pour faire briller l’âme du Blues avec la classe et la netteté d’un diamant : Howlin’ Wolf et Muddy Waters ont du en sourire de contentement depuis le paradis des légendes du Blues ;)
Et ce plaisir d’entendre, en intro de chacun des deux disques, la voix de Muddy Waters pour le CD1 et de Howlin’ Wolf sur le second : très émouvant !
Joe Bonamassa réussit, une nouvelle fois, à garder le Blues vivant et bel et bel vivant, tout comme sa fondation « Keeping The Blues Alive » le fait, elle qui promeut l’enseignement de la musique dans les écoles.
Concert unique donné un 31 août 2014 devant 9 000 chanceux en plein air dans l’amphithéatre ‘Red Rocks’ (Colorado), ce « Muddy Wolf At Red Rocks » est un ambitieux live sur lequel les classiques à la fois de Howlin’ Wolf et de Muddy Waters sont à l’honneur, mais aussi les morceaux de Joe Bonamassa même, le tout en un mélange réussi qui fait honneur au Blues, créant une continuité entre passé - présent et rendant, par la même, hommage aux influences d'un Joe Bonamassa au sommet de sa carrière et de son art: double live archi recommandé, donc , en version CD ou encore mieux en DVD !
Tasunka
Track Listing « Muddy Wolf At Red Rocks »:
CD 1 : We Went Down To the Mississippi Delta Muddy Waters Talking Tiger In Your Tank I Can't Be Satisfied You Shook Me Stuff You Gotta Watch Double Trouble Real Love My Home Is On The Delta All Aboard
CD 2 : Howlin' Wolf Talking How Many More Years Shake For Me Hidden Charms Spoonful Killing Floor Evil (Is Going On) All Night Boogie (All Night Long) Hey Baby (New Rising Sun) Oh Beautiful! Love Ain't A Love Song Sloe Gin The Ballad of John Henry Mississippi Heartbeat Muddy Wolf Credits
3 Kings Tour 2015 + Fall European Tour 2015 + Fall North American Tour Dates 2015 : click above ;)
==> Dont deux dates en France en octobre 2015 !! :)
Joe Bonamassa - You Shook Me - Muddy Wolf at Red Rocks
Release Date Scandinavia: June 17th,2015 Release Date Germany: June 19th , 2015 Release Date: Europe: June 22nd , 2015 Release Date USA/Canada: June 23rd , 2015
Peu adeptes de la sortie en chaine de leurs albums, les vétérans de VIRGIN STEELE, vétérans puisque la bande du talentueux David DeFeis existe tout de même depuis 1981, ont mis cinq années fort longues pour leurs fans, afin de donner le jour à cette nouvelle pièce de Heavy Metal Epique qui peut se targuer d’être appelée 'pièce maîtresse', puisque l’on y retrouve la grandiloquence, cette marque de fabrique qui a fait remarquer, aimer ou pas, la formation d’outre atlantique, depuis ces dernières décennies : Aimer, certes le duo des guitares fonctionne, ici, à plein avec riffs / solos sensuels, profonds, mélancoliques, puissants toujours qui se donnent toute âme et souffle dehors comme si leur vie en dépendait, et puisqu’il est question de tout donner, corps et âme, toute passion sortie, le charismatiquement mégalomane chanteur, multi-instrumentaliste et bien sûr compositeur qu’est David DeFeis, procède et génère cette même passion ostensible au long de l’album.
Mais il y a une réserve : oui, cet opus est bon, très bon même, oui, le talent est là, l’inspiration idem, oui, tel un opéra musicalement somptueux, aux paroles métaphysiques sur l'interaction entre créatures divines, vivantes, est fort, oui, la production est racée, ciselée et met en valeur les attraits de ce « Nocturnes Of Hellfire And Damnation » , mais le côté dynamique, mélancolique, vivant de l’album qui fait toute sa qualité, est aussi son propre ennemi par moments ; en effet, c’est riche, trop riche quelque fois, on en a de partout, trop, ce qui peut amoindrir la beauté du propos. Certes juste par instants, mais on peut frôler à la fois le sublime et en instant, l’indigeste, ce qui fort heureusement ne dure que peu de temps.
Des morceaux magnifient le propos avec classe et beauté, tels que « Persephone », « We Disappear », « Delirium », d’autres sont plus classiquement et efficacement Heavy Metal, d’autres encore se révèlent d’un intérêt modéré. Sinon, la large palette vocale de David DeFeis fait, quant à elle, à nouveau sensation particulièrement en exprimant cette point de sourde mélancolie ou en affirmant sa force, ses aigus et s’ils sont typés eighties, pourquoi pas, après tout?! Par contre, après 1 :30 de « Lucifer’s Hammer », éloignez les écouteurs quand l’homme pousse ses cris stridents option sirène pas charmante: ceux-ci sont inutiles à moins de vouloir tester son audition, mais bon, vive l’expérimentation et l’humour dans de tels cas :)
RAS, donc, pour ce « Nocturnes Of Hellfire And Damnation », qui devait s’appeler jusqu’en avril 2015, «Hymns To Damnation », avant de prendre son titre définitif : RAS, donc, car très bel album de Virgin Steele, un peu éclaté sur ses près de 80 minutes, mais qui répond aux attentes de tout fan du groupe et qui, rappelons-le, sans être un concept album, possède cependant une ligne directrice liant chaque titre
A noter avant de conclure, la surprise du titre « Black Sun-Black Mass », puisque ce dernier n’est autre que le réenregistrement d’un morceau dû à un obscur groupe des eigthies, EXORCIST dont il est dit qu’il était, le temps d’un album, l’un des projets secrets / solos de David DeFeis himself
Tasunka
The new album is available in 3 different formats – each with a unique artwork! (Format: CD 14 tracks + Bonus CD 15 tracks // CD 14 tracks // 2 LP 14 tracks + CD)
Tracklisting Jewel Case CD:
01. LUCIFER’S HAMMER 02. QUEEN OF THE DEAD 03. TO DARKNESS ETERNAL 04. BLACK SUN-BLACK MASS 05. PERSEPHONE 06. DEVILHEAD 07. DEMOLITION QUEEN 08. THE PLAGUE AND THE FIRE 09. WE DISAPPEAR 10. A DAMNED APPARITION 11. GLAMOUR 12. DELIRIUM 13. HYMNS TO DAMNATION 14. FALLEN ANGELS
LINE-UP VIRGIN STEELE:
-David DeFeis – V -Edward Pursino – G -Josh Block – B / G -Frank Gilchriest – D
Release dates: March 30th, 2015 (Europe) // March 31st, 2015 (US)
Nominé cinq fois aux Grammy Awards, 35 albums au compteur, sous son nom et avec diverses formations, hautement respecté par ses pairs et aimé par tous dont un public qui le suit fidèlement et apprécie avec justesse et délectation, son Blues, son jeu aux feeling et toucher inégalables de guitare, Robben Ford peut se targuer de compter et avec raison, dans le monde musical.
Et l’homme a toujours la passion de jouer, de composer, de chanter autant chevillée au corps puisque cet artiste unique et incomparable, nous délivre un nouvel album, « Into The Sun », aussi lumineux, chaleureux que dynamique et racé. Robben Ford, le décrit d’ailleurs, lui-même, comme le sommet de ce qu’il a pu faire et c’est effectivement le cas: « Into The Dun » se révélant être un petit bijou qui met en lumière son art, ses compositions et sa technique de jeu couplée à un groove et un feeling sans limites autre que le plaisir de jouer.
Ce qui frappe au long des 11 nouvelles compositions, c’est non seulement l’énergie, les vibrations positives qu’elles procurent, mais aussi la diversité qu’elles offrent, cette variété bluffante de rythmes, de teintes, de façon d’utiliser chaque instrument, de les faire s’exprimer en plein pour un résultat vivant, authentique et contemporain. Car contrairement à son retour aux racines du Blues de son enfance dans les années 60s, lors des albums précédents, cette fois, sur « Into The Sun », avec la tradition comme support, Robben Ford s’appuie dessus afin de s’envoler avec ses bases Blues, Jazz, Pop, Rock intemporelles pour les incorporer et les faire habilement se mêler dans un cadre, sur une structure résolument modernes : oui, on frôle, ici, le grand art et toujours avec cette approche naturelle, sans fards ni fioritures.
Fort d’un chant qui sait faire parler les mélodies, les émotions comme rarement, fort aussi d’un son qui sait magnifier le propos, son dû aux bons soins, une nouvelle fois, de Niko Bolas (Neil Young, My Morning Jacket, Boz Scaggs...), « Into The Sun » a bien des atouts et outre ceux déjà cités, la cerise sur le gâteau arrive en prenant connaissance des guests qui ont apporté leur contribution au long des morceaux, mais jugez par vous-même, car ce sont non moins que: Keb’ Mo’, Robert Randolph, Warren Haynes (Gov’t Mule), ZZ Ward, Tyler Bryant, Sonny Landreth
« Into The Sun » est un bijou pour un bijou d’artiste! Du très, très bon en somme :)
Tasunka
Tracklisting “Into The Sun” :
01. Rose Of Sharon 02. Day Of The Planets 03. Howlin’ At The Moon 04. Rainbow Cover 05. Justified (with Keb’ Mo’ & Robert Randolph) 06. Breath Of Me (with ZZ Ward) 07. High Heels And Throwing Things (with Warren Haynes) 08. Cause Of War 09. So Long 4 U (with Sonny Landreth) 10. Same Train 11. Stone Cold Heaven (with Tyler Bryant)
Fondé en 2007, SANTA CRUZ était déjà prêt à faire parler la poudre dès ses débuts, ainsi que l’a démontré leur EP "Anthems For The Young ´n´ Restless"(2011), qui affichait au compteur un Hard Rock typé californien, festif, à la Slaughter, Skid Row ou encore Guns’n Roses. Un Hard Rockdes plus réjouissants et accrocheurs au point d’avoir attiré l’attention du public et des professionnels puisque le EP a permis au groupe de décrocher une signature mondiale chez SpineFarm Records.
En 2013, la sortie de leur premier album "Screaming For Adrenaline" enfonçait le clou, prouvant que chez SANTA CRUZ, la pure adrénaline était au rendez-vous. Un déferlement de Hard-Rock Glam / Sleaze vitaminé au possible, assurait, alors, combien les passion et hargne positives et communicatives, pouvait habiter Johnny et Archie, le duo de shredders d’enfer de guitaristes et compositeurs principaux du groupe, et de même pour la section rythmique de Middy à la basse (qui a co-écrit quatre titres de ce second opus) et Taz, aux tambours déchainés et efficaces.
Inutile, alors, de dire combien les attentes étaient grandes pour ce second album éponyme, de voir confirmer ou pas, le potentiel de ce quatuor qui sait ce que mettre le feu veut dire : craintes balayées car l’essai est transformé haut la main, ou plutôt haut les cornes de Metal via les 10 nouvelles compositions de SANTA CRUZ, qui font mouche. Entrainants et avec l’avantage de ne pas être linéaires pour ne point lasser, les morceaux s’écoutent sans accroc, que ce soit en attaque ou en mid-tempo, tout fonctionne. Le chant fait penser à celui de Slaughter, les guitares sont le point dominant, l’atout majeur de SANTA CRUZ et les compositions, ainsi que le son plus Heavy que celui du précédent, sont au rendez-vous pour faire de ce second album, un bel effort de Hard Rock qui tire ses racines dans le meilleur du genre des années 80s, 90s, tout en étant moderne.
Non mesdames et messieurs, pas de révolution stylistique ici, mais un héritage bien digéré et exprimé avec une touche perso des plus appréciables!
SANTA CRUZ valent amplement de s’y intéresser : les finlandais promettent ! Mais oui, Hard Rock et look ‘Hair Spray’ californien tout droit sorti des 80s affichent présents et pourtant, c’est bien de Finlande, de HELLsinki, que le quatuor nous vient : l’âme Hard Rock est décidément internationale.
01-Bonafide Heroes 02-Velvet Rope 03-Remedy 04-(66)6 Feet Under 05-Bye Bye Babylon 06-We Are The Ones To Fall 07-Wasted ‘N ‘ Wounded 08-Let Them Burn 09-Vagabonds (Sing With Me) 10-Can You Feel The Rain
Release Date Scandinavia: June 17th,2015 Release Date Germany: June 19th , 2015 Release Date: Europe: June 22nd , 2015 Release Date USA/Canada: June 23rd , 2015
PRO-PAIN, les pionniers du Metal/Hardcore mettent les pendules à l’heure en 2015, en signalant avec hargne et brio, leur présence, via un véritable brulot, « Voice Of Rebellion », qui justifie amplement son titre au travers de quatorze nouvelles compositions ravageuses, plus trois morceaux en bonus pour la version digipak.
Contrairement à l’album précédent, le travail de composition a, ici, été un effort commun de toute la bande, ce qui explique, que, si on retrouve en fil rouge les signes distinctifs qui font adhérer autant à PRO-PAIN, à savoir agressivité, précision, passion, exactitude d’exécution, l’atmosphère se balade en toute liberté, pouvant passer du hyper speedé au NY Hardcore fondamental et ce, avec la même intensité. La production est tranchante comme un rasoir, chaude et finement amenée pour faire sonner ce « Voice Of Rebellion » qui répond à toutes les attentes d’un album du genre.
Côté patte PRO-PAIN, la voix écorchée, ou en growl de Gary Meskil reste bluffante, tout autant que sa basse ou encore les solos d’Adam Phillips qui se balade littéralement avec cette technique de guitare, au feeling au service de l'intense, quant aux gimmicks rythmiques imparables de Marshall Stephens à la six cordes et à la double grosse caisse, les puissants tambours de ‘Rebellion’ de Jonas sanders, les deux marquent et rejoignent leurs compères précités pour faire de « Voice Of Rebellion », un carton plein, au point de se dire, que, non décidément, pas un seul morceau n’est en dessous sur ce quinzième album : signe au combien flagrant d’un groupe au top de son art et effectivement, PRO-PAIN l’est.
S’il devait être néanmoins sortis du lot, quelques morceaux, alors, let’s go pour : … et puis, non, faites votre choix par vous-mêmes, vu que, sinon, cette chronique se retrouverait à citer en meilleurs titres, quasiment l’intégralité de l’album :)
Du grand art plein la tête avec PRO-PAIN, qui assurent une nouvelle fois avec "Voice Of rebellion" où s'exprime à plein, leur Metal / Hardcore bardé de tout ce qu'il faut pour satisfaire tout fan du genre et en attirer de nouveaux
A ne pas manquer, leur prestation live au Rock'n Roll Train Festival, le 11 juillet prochain: détail ici ;)
Tasunka
Tracklisting Jewel Case:
01- Voice Of Rebellion 02- No Fly Zone 03- Righteous Annihilation 04- Souls On Fire 05- Take It To The Grave 06- Age Of Disgust 07- Bella Morte 08- Cognitive Dissonance 09- Blade Of The Cursed 10- Crushed To Dust 11- Enraged 12- Hellride 13- DNR (Do Not Resuscitate) 14- Fuck This Life
Tracklisting LP:
Side A 01- Voice Of Rebellion 02- No Fly Zone 03- Righteous Annihilation 04- Souls On Fire 05- Take It To The Grave 06- Age Of Disgust 07- Bella Morte Side B 01- Cognitive Dissonance 02- Blade Of The Cursed 03- Crushed To Dust 04- Enraged 05- Hellride 06- DNR (Do Not Resuscitate) 07- Fuck This Life
Formé par le lead guitariste, compositeur, chanteur, Alex Cora, PURPOSEFUL PORPOISE fait forte impression, tout d’abord de par son « all star » line-up et avant tout, car la musique seule compte, par son Rock progressif ambitieux et digne du meilleur de la vague anglaise du même style, des seventies. Les influences de Alex Cora allant de GENESIS à FRANK ZAPPA, JEFF BECK ou JONI MITCHELL, il est aisé de comprendre combien l’esprit Prog’ Rock et ses vibrations peuvent s’être posés sur ce premier double opus éponyme; esprit seventies tout en étant moderne, tourné vers le futur et finement diversifié dans ses thèmes musicaux
Esprit respecté d’autant qu’il n’a pas, ici, été fait appel aux technologies digitales, non, on est en présence d’enregistrement live, du jam avec prises en direct entre musiciens passionnés et au talent mondialement affirmé
Soutenu par une production ciselée comme du diamant, ce feeling live s’entend, se ressent à vous en faire vibrer sur chaque morceau. Effectivement, la sensation qui vous parcoure tout au long de ce premier double album éponyme, peut se résumer par : musique organique et vivante.
« Purposeful Porpoise » est le premier chapitre d’un projet de trois albums narrant la saga épique de « Jeux D’eaux » (en français dans le titre ;), une bataille entre le bien et le mal, un combat pour la survie sur fond d’univers futuriste aquatique appelé « Nommos ».
Tout, ici, s’exprime et concoure à donner vie à l’univers créatif et au combien mélodique de Alex Cora, que ce soit des solos de guitares qui ronflent, grondent comme un animal sauvage, captivant sans jamais lasser, ce qui est à souligner: au contraire, on tape du pied, s’émerveille, vibre à l’unisson et de même pour les solos de batterie ou de violon, la basse, les claviers qui s’expriment en étant mis sur un pied d’égalité très intelligemment pensé, avec la guitare. Les vocaux utilisés avec parcimonie et à bon escient, sont, quant à eux, de même niveau, même si la place d’honneur est faite aux instruments, à l’atmopshère organique.
En somme, tout brille sur ce long et inlassablement captivant premier volet de la saga car, oui, on plonge aux côtés de PURPOSEFUL PORPOISE sans retenue aucune, que les morceaux soient de pur Rock Progressif, de Prog Pop / Rock qui évoquent les BEATLES ou PINK FLOYD.
‘Pioche dans le passé, ancré dans le présent et tourné vers le futur’, PURPOSEFUL PORPOISE fait sensation en employant avec brio ces trois points! Aussi, après avoir vibré sur le premier double opus, l’impatience se fait-elle de découvrir les deux autres volumes de ce projet ambitieux !
Superbe !
Tasunka
Tracklisting "Purposeful Porpoise":
CD1:
01-Crossing Into The Unknown 02-The Air Pirate 03-Cycles
CD2:
01-Unexplored 02-iPhone 03-Lost 04-Serena Song 05-Nowhere Bound 06-Which Way Is Up 07-Air Pirate Jam (Bonus Track)
Street date Scandinavia: March 25th , 2015 Street Date GSA: March 27thth, 2015 Street Date Europe: March 30th , 2015
Envie d’explorer les racines musicales de PRONG en leur compagnie? Alors, leur album de reprises, “Songs From The Black Hole”, est pour vous
Le Power Trio pose sa patte, son son, sur dix morceaux plus ou moins connus de groupes ayant compté dans leurs influences et le choix est varié, tout comme l’interprétation de PRONG qui sait, en fil rouge, toujours rester fidèle à son esprit unique tout en le combinant à celui du titre original : il en résulte un mixage intéressant et récréatif
Dedans et dehors, ce “Songs From The Black Hole” a des atouts. De l’artwork à la musique, l’album portant bien son nom, on plonge dans le thème de la décadence urbaine, la désolation, l’insécurité et le changement ultime qui prévaut dans la musique se fait jour via le visuel dû à Mike Lopez, leur directeur artistique. Musicalement, Indus, Punk, Hardcore se croisent à la sauce PRONG, qui ostensiblement a pris un de ces pieds à faire ces covers, chose évidente au long des morceaux et d'autant plus quand arrive le final: là, c’est la surprise que d’avoir un titre du Rocker Neil Young pour clôturer l’album : « Cortez The Killer », mais sur lequel les chant et guitare de Tommy Victor affirment leur patte, avec brio
Même si ces reprises peuvent diviser, ce serait risquer de passer à côté d’un album qui vaut de s’y plonger, que de ne pas avoir l'esprit ouvert : en effet, “Songs From The Black Hole” se révèle être un exercice passé haut la main par PRONG et non pas un album de reprises sans fun ou intérêt; au contraire on est, ici, en présence d’un album qui permet de mieux découvrir PRONG et donne envie de redécouvrir les titres repris, dans leur version originale
Tasunka
Tracklisting “Songs From The Black Hole” :
01) Doomsday (originally byDISCHARGE) 02) Vision Thing (originally bySISTERS OF MERCY) 03) Goofy’s Concern (originally byBUTTHOLE SURFERS) 04) Kids of the Black Hole (originally byADOLESCENTS) 05) The Bars (originally byBLACK FLAG) 06) Seeing Red (originally byKILLING JOKE) 07) Don’t Want To Know If You Are Lonely (originally byHÜSKER DÜ) 08) Give Me The Cure (originally byFUGAZI) 09) Banned In D.C. (originally byBAD BRAINS) 10) Cortez The Killer (originally byNEIL YOUNG)
Line-Up PRONG:
-Tommy Victor – G / V -Jason Christopher – B -Art Cruz – D
Release Date Scandinavia: May 06th, 2015 Release Date Germany: May 08th, 2015 Release Date Europe: May 11th, 2015 Release Date USA/Canada: May 12th, 2015
La route du Rock est parfois semée d’embuches, pour les fervents pélerins tatoués, en cuir, chevelus, hommes et femmes qui l’empruntent, mais ce n’est pas ce les quelques aléas passés, entre galères de bassiste et de label, qui auraient pourrait ralentir NASHVILLE PUSSY, ce groupe inoxydable au Rock péchu, couillu, à l’humour ravageur comme son Rock’n Roll, devenu aussi incontournable que peut l’être MOTÖRHEAD
En effet, l’amour du pur Rock de son fondateur chanteur-guitariste-compositeur, Blaine Cartwright et de son amazone de femme et lead guitariste talentueuse qu’est Ruyter Suys, ne s’est jamais amoindri depuis les débuts en 1997; au contraire, il s’est renforcé, solide comme le Rock, concert après concert, album après album. Enfin stabilisé coté label et leur signature en 2005 avec SPV et fort d’un line-up fixe à la basse, depuis « Up The Dosage » en 2014, NASHVILLE PUSSY envoie du bois encore et toujours plus fort, et vous met un des ces coup de pied là où il faut, comme on l’aime !
Aussi, était-il temps pour SPV de sortir ce best-of des 10 ans du groupe dans son écurie : « Ten Years Of Nashville Pussy ». Regroupant 22 morceaux sur 2 CDs dont 16 tirés des trois albums studios SPV et 6 d’un live de folie à Birmingham en 2009. En somme, de quoi faire une de ces fêtes Rock volume à 10 pour célébrer ça
A l’instar des guests sur l’album, dont Lemmy sur un « Lazy Jesus » d’anthologie, Danko Jones de même pour « I’m So High », ou encore le guitariste de THE SUPERSUCKERS, Ron Heathman, sur l'explosive reprise live du classique « Nutbush City Limits », bref, à leur instar, les nombreux aficionados célèbres et inconnus du groupe d’Atlanta, ont raison d’aimer les Pussy :)
Ce « Ten Years Of pussy « vous les fera aimer aussi, si ce n’est déjà fait :)
Et comme le dit Lemmy : « S’il existe un meilleur groupe que Nashville Pussy pour ouvrir pour MOTÖRHEAD, je ne l'ai pas entendu »
Tasunka
TRACK LISTING “Ten Years Of Pussy”:
CD 1 - Best of
01. Come On Come On 02. Rub It To Death 03. I'm So High (with Danko Jones) 04. Going Down Swinging 05. Before The Drugs Wear Off 06. Hate And Whisky 07. The South Is Too Fat To Rise Again 08. Pussy Time 09. Til The Meat Falls Off The Bone 10. Pillbilly 11. Why Why Why 12. Up The Dosage 13. Lazy Jesus (with Lemmy) 14. Ain't Your Business 15. Good Night For A Heart Attack 16. Stone Cold Down
CD 2 - Bonus “Live in Nottingham” CD
01. One Way Down 02. Nutbush City Limits (with Ron Heathman on guitar THE SUPERSUCKERS) 03. Struttin' Cock 04. Late Great USA 05. Go Motherfucker Go 06. You're Goin' Down
LINE-UP NASHVILLE PUSSY:
-Blaine Cartwright - G / V -Ruyter Suys - G -Bonnie Buitrago- B -Jeremy Thompson – D
SPV – NASHVILLE PUSSY Discography:
-2005 – Get Some (CD) -2008 – Live In Hollywood(DVD) -2009 – From Hell To Texas (CD) -2012 – From Hell To Texas –Live And Loud in Europe (CD+live CD) -2014 – Up The Dosage (CD)
Punk Rock, Metal, Rockabilly, Southern Rock, vous aimez? Alors, imaginez un groupe qui mélange le tout avec leur patte Heavy Rock’n Roll unique, en un feu d’artifice tellement entrainant, joué avec les tripes, honnête et droit au but tout en étant intelligemment mené, qu’il en arrache tout sur son passage…
Oui, cela existe et ce sont les allemands de SpitFire qui réussissent ce tour de force non seulement avec leur premier opus fort goutu et qui sentait bon la sueur, en avril 2013 : « Devil’s Dance » (chronique ici ;) mais aussi en 2015, avec leur nouvel album « Welcome To Bone City »
En effet, voici que le trio est sur la route à nouveau à bord de son puissant bolide Rock toujours chargé ras la gueule de la dynamite nitrous oxide (toujours ce même mélange détonnant qui fait rugir les dragsters ;) pour vous emmener au sein de « Bone City », ville de toutes les perditions et des possibles. Au long de « Welcome To Bone City », SpitFire assurent, il faut le dire, en achevant de confirmer la forte impression qu’avait laissée leur premier effort précité, de 2013, et en parvenant même à sceller leur Rock’n Roll tout en le faisant évoluer autant du point de vue des paroles que musicalement, le tout en restant fidèles à leur esprit Rock de départ et en le développant : en résumé, on s’éclate au long des nouvelles compositions et on en redemande
Effectivement, difficile de stopper le lecteur après qu’ait résonné le dernier morceau, comme une envie irrépréssible de remettre ça :) Et cerise sur le Rock, la voix du chanteur-guitariste, Dick Dropkick, est et reste parfaite pour le style pratiqué, sans compter que son jeu de guitare, ainsi que les basse et batterie de ses acolytes, Johnny Jailbreak, Nikk Nitro, les chœurs hymniques à plein et la production, se montrent au top !
En bonus, à noter que la version SpitFire-ienne du tube « Danger zone » tirée du film à succès « Top Gun » (1986), vaut le détour!
Définitivement, SpitFire ont l’esprit Rock’n Roll qui coule dans les veines, comme le prouve chaque titre de "Welcome To Bone City" : sur album, effet garanti, alors, imaginez en live :)
Tasunka
Tracklisting CD :
01. Welcome to Bone City (Intro) 02. Here We Go 03. Too Young to Die 04. Queen of the Night 05. Bone City Radio 06. Fall From Grace 07. Motorman 08. Battlefield 09. Hell & High Water 10. Bridges Burned 11. Last Gang in Town 12. Take Me Home 13. Dust and Bones 14. Desperado 15. Dangerzone - Bonustrack CD (cover from original soundtrack song taken from "Top Gun" movie - 1986)
Message fromWE ARE THE OCEANabout "The Pretender" : With Dave Grohl out of action, we thought we'd drop this Foo Fighters classic on you. Get well soon Dave! Catch us on tour in the UK this November!
(Due to injuries sustained in Dave Grohl’s fall from the stage during Foo Fighters’ June 12 show at Ullevi Stadium in Gothenburg, Sweden, doctors have required the cancellation of the remainder of the band’s dates in the UK and Europe)
Après "Do It Together" extrait de leur nouvel album "Ark" (Chronique ici), le quatuor anglais We Are The Ocean continue d’explorer des univers rock inattendus avec une reprise du classique "The Pretender" des Foo Fighters !
Clin d’oeil à Dave Grohl contraint d’interrompre sa tournée après une chute
Actuellement en tournée des festivals d’Europe, We Are The Ocean se produira également ce soir en concert gratuit à Berlin dans le cadre de l’émission Arte Berlin Live, bientôt diffusé cet été sur la chaîne !
Du caractère, de la personnalité, une plongée intense dans la finesse ou dans l’attaque de leur Rock alternatif, le quatrième album de WE ARE THE OCEAN se révèle simplement superbe !
Celui-ci marque, effectivement, par son intelligence de compositions autant que par l’habileté que montre le quatuor anglais au long d’un « Ark » et que dire des paroles laissées au soin du chanteur-guitariste rythmique, Liam Cromby, si ce n’est qu’elles sont telles les lectures de l’homme, à savoir humaines et un voyage pour la conscience. Depuis deux albums dont celui-ci et le départ de son co-fondateur et alors chanteur, Dan Brown, WE ARE THE OCEAN continue son évolution, se diversifie et en impose de par sa richesse vaste comme l’océan sur lequel navigue « Ark », leur arche aussi forte musicalement que la très réussie pochette, peut l’être. Quant à Liam Cromby, l'homme étoffe avec « Ark » sa palette vocale en surfant du chant clair au plus profond, intense toujours, pour laisser passer les émotions que dégagent chaque instrument en une osmose convaincante s’il en est et ce, d’autant plus que l’album a été enregistré dans les conditions du live, ce qui laisse ce parfum d’intemporel, d’indispensable à cet album à l’identité affirmée et fait y adhérer sans retenue
Tasunka
Tracklisting « Ark »:
01. Ark 02. I Wanna Be 03. Good for You 04. Do It Together 05. Shere Khan 06. Hope You’re Well 07. Letter to Michael 08. Holy Fire 09. Wild 10. There’s Nothing Wrong 11. The Midnight Law 12. Remember to Remember Them
WE ARE THE OCEAN Line-Up :
- Liam Cromby – V / G - Alfie Scully – G - Jack Spence – B - Tom Whittaker – D
La danse continue, côté line-up, au sein de THE SMASHING PUMPKINS et aux dires de son mentor, compositeur principal et guitariste, l’incontournable et indéboulonnable Billy Corgan, les deux seuls membres officiels du groupe, sont sa personne et Jeff Schroeder (guitare). A la batterie, Tommy Lee (Mötley Crüe) remplace, sur album, le talentueux Mike Byrne et c’est Brad Wilk (Rage Against The machine) qui assure la tournée avec SP. Pour ce qui est de la basse de Nicole Fiorentino, le poste est repris par Mark Stoermer (The Killers). « Monuments To An Elegy » voit donc le jour, talonné par un second opus à sortir à quelques mois d’intervale, « Day For Night »
On retrouve ici et avec plaisir, les guitares Rock à l’épaisseur accrocheuse servie en diable par une production lourde ce qu’il faut, à la distorsion affirmée, qui donne cette patte qu’on aime tout comme les vocaux de 'chat perché' de Billy Corgan, même si l’homme est de toute évidence apaisé par rapport au passé, et des compositions de qui vous savez auxquelles ont participé Tommy lee et Jeff Schroeder. Ce qui donne un album avec des hauts et bas, et fait de ce retour des SP à la musique, de ce « Monuments To An Elegy » un album qui sait fédérer et parallèlement, auquel la magie des années 90s, de leur apogée, fait défaut. La magie de ce phénoménal double album de 1995 : « Mellon Collie and The Infinite Sadness »
Non pas que ce nouvel opus manque d’atouts et de moments forts, non, il en a, à commencer par le titre d’ouverture « Tiberius » où les guitares ronflent de leur gimmicks et riffs doublée d’un piano bien amené qui apporte un plus, le très bon « One And All (We Are)», quant à lui, reste dans la lignée puissante et fun, qui évoque au bon souvenir de bons titres du passé, de leur Rock alternatif des 90s..
Moment fort, aussi, sur l’original « Drum + Fife » où une flûte joute en lead et avec brio, le long du morceau, avec la batterie martiale mais au touché sensible de Tommy Lee : un titre abouti. Les bas ou disons les titres dont on prend plaisir à écouter mais qu’on oublie assez vite, sont à trouver auprès de « Being Beige », de « Dorian » pourtant réussis mais dont les claviers peuvent irriter par instants, alors que les guitares le font briller de mille feux, même constat sur « Monuments ». Par contre, irritant, "Run2Me" ou encore « Anaise ! » l’est : trop ostensiblement orienté pour toucher un vaste public mais c’est ce qui peut arriver quand la diversité est de mise au long de « Monuments To An Elegy ». Ce qui fait des 9 nouvelles et c’est à souligner, courtes compositions, des perles qui brillent plus ou moins, mais des perles quand même!
Beaucoup d’attente donc, pour l’album à venir : « Day For Night »
Tasunka
"Monuments To An Elegy" Track-listing :
01.Tiberius 02.Being Beige 03.Anaise! 04.One And All (We Are) 05.Run2Me 06.Drum + Fife 07.Monuments 08.Dorian 09. Anti-Hero
Smashing Pumpkins - "Being Beige"
The Smashing Pumpkins - One And All on Jimmy Kimmel Live
March 6th 2015 (GSA/Benelux) March 9th (UK and Europe) March 10th in North America
La très réussie production de leur ami de longue date, Guillermo 'Will' Maya, et l’enregistrement du nouvel album « Raise A Little Hell », à Madrid, ont permis à THE ANSWER d’exprimer en plein leur amour de la musique qu’ils jouent, du Rock pur souche à la touche et au groove seventies. Permis, donc, de se lâcher, donc, sous le soleil espagnol de cet été 2014.
Et le moins qu’on puisse dire, c’est que THE ANSWER ont été productifs et inspirés en puisant au plus profond d’eux-mêmes pour donner vie aux douze nouvelles compositions authentiques et vivantes, au sein desquelles le quatuor a indéniablement mis toutes ses tripes et son âme.
Le charismatique Cormac Neeson fait toujours montre de cette voix éraillée dont il sait si bien jouer pour faire passer l’émotion des textes, des compositions ou de plus de légèreté ; voix qui reste, d’ailleurs, parfaite quelque soit le Rock / Blues Rock / Rock Alternatif / Hard Rock de la formation irlandaise.
Bien sûr, côté maestria à la guitare de Paul Mahon, basse de Micky Waters et batterie de James Heatley, tripes et âme y sont incontestablement présentes, là aussi et le choix fort judicieux d’avoir laissé les peaux de batterie un peu desserrées, les faisant sonner d’un son lourd parfait, ainsi que la saturation des basse et surtout de la guitare, qui est judicieuse pour donner de l’épaisseur et coller à l‘atmosphère vivante, profonde et parlante, qui coure au long de l’album. Le morceau titre « Raise A Little Hell », est un must en soi et peut résumer le nouvel opus, en lui-même, ainsi que le superbe « Last days Of summer ». Et en parlant des atouts, la pochette psychédelique de Sebastian Jerke, compte parmi les nombreux qu'offre l'album.
En somme, ‘THE ANSWER sont fiers et excités d’avoir donné vie à « Raise A Little Hell »’ déclarent-ils et ils peuvent l’être :
touchant ou plus léger, mélodique, intense et profond toujours, joué et chanté toutes tripes et âme Rock sorties, au point de donner la chair de poule sur certains passages, THE ANSWER délivrent assurément un album fort et qui compte !
Tasunka
Track-List "Raise A Little Hell":
01- Long Live The Renegades 02- The Other Side 03- Aristocrat 04- Cigarettes & Regret 05- Last days Of Summer 06- Strange Kinda’ Nothing 07- I Am What I Am 08- Whiplash 09- Gone Too Long 10- Red 11- I Am Cured 12- Raise A Little Hell
THE ANSWER Line-Up :
-Cormac Neeson : V -Micky Waters : B -James Heatley : D - Paul Mahon : G
The Answer - Red
THE ANSWER - Long Live The Renegades (Official Lyric Video)
Release Dates: May 22nd 2015 (EU) / June 23rd (US)
WE BUTTER THE BREAD WITH BUTTER sortent un quatrième album et le titre même “Wieder Geil !” (Génial à nouveau) résume, à lui seul, ce que ce très créatif groupe basé à Berlin peut faire, à savoir briller avec son Metalcore teinté d’Electro qui ne suit aucune mode, seulement l’envie du quatuor de tout donner et se faire plaisir.
Recette gagnante comme il se doit, car le tout dernier opus de WBTBWB est un petit bijou !
Au chant, Paul Bartzsch, explose tout en explorant pour la première fois pleinement sa large palette vocale et s’enchainent les growls, le chant clair, avec la même redoutable efficacité et précision, la guitare de son complice de compositeur, producteur, Marcel Neumann, est au diapason, tout comme la section rythmique; d’ailleurs, un titre tel que « Berlin, Berlin ! » se pose en exemple pour illustrer le propos, avec growl, chant clair et apport de vocaux féminins, le tout pour une ritournelle virale qui vous colle à la peau. Pareil effet marquant sur "Gib Mir Mehr"
Et le meilleur arrive avec « Bang Bang Bang » qui démontre ce mixage entre Indus / Metalcore et cette puissance réussie : on y retrouve des growls nerveux, de l’indus, du Metalcore et un pont au milieu de cette avalanche rauque, est fait avec l’apparition d’un violon, fort intelligemment utilisé : du grand art.
«Ich Mach Was Mit Medien » assure, lui aussi, cette fois en mêlant Metalcore et Electro. « Rockstar » fait, quant à lui, sensation autant avec l’humour des textes que cette attaque au tempo de fou tout le long d’un titre, pour soudain surprendre et faire un break en plein milieu, puis reprendre le gimmick qui va bien, retour à un pont au chant clair : trop bon ce morceau, en somme.
Son des plus à la hauteur pour mettre la dynamique des titres en valeur, compositions qui montrent une créativité appréciable au long de l'album, bon groupe et principalement le duo de tête, chant / guitare qui explose de leur présence, sans oublier le mélange chant en anglais et en allemand et voilà, secouez, et vous avec le quatrième opus de WBTBWB, opus qui ne vous quitte pas après l’avoir écouté : oui, ils sont « Wieder Geil ! » :)
Tasunka
Tracklisting “Wieder Geil !”:
01-Ich Mach Was Mit Medien 02-Exorcist: 03-Anarchy 04-Berlin, Berlin! 05-Bang Bang Bang 06-Gib Mir Mehr 07-Rockstar 08-Thug Life 09-Warum Lieben Wir Nicht Mehr 10-Zombiebitch
Line Up WE BUTTER THE BREAD WITH BUTTER:
-Paul Bartzsch : V -Marcel Neumann : G /V -Maximillian Pauly : B -Can Özgünsür : B
Single tiré de l'excellent album"Destrier", "See Hell"est une merveille de force émotionnnelle musicale à l'image de la vidéo tournée pour le single, comme le décrit le chanteur d'AGENT FRESCO, Arnór Dan Arnarson:
"The emotional trigger for this album was a disgusting encounter with violence that I had a couple of years ago. See Hell raises questions about the nature of violence, the act of revenge and its consequences."states Arnór Dan Arnarson, lead singer of AGENT FRESCO."Waking up and going to sleep with intense anger and angst is such a heavy weight on your heart but I wanted to stay close to these raw emotions and feed off them when making the album, so I kept them animated throughout the entire process. In hindsight, I now realise that it got a bit out of hand that in the end, I almost fell victim to my own personal Stockholm syndrome, and this is what we wanted to capture in the music video. I’ve wanted to collaborate with the Icelandic actor Arnar Dan for some time now, and after working with him on pre-production and being with him on set, I can proudly say he fucking nailed the song with his performance in the video. Being my emotional Doppelgänger always made sense, though, given that our names are almost identical. It was just meant to be!"
TOUR DATES:
-20.06. IS, Reykjavik - Secret Solstice Festival -09.07. IS, Neskaupstaður - Eistnaflug Festival -11.07. UK, Newark - UK Tech-Fest -24.09. GER, Berlin - Privatclub -25.09. GER, Hamburg - Reeperbahn Festival -26.09. GER, Köln - Underground -04.11. IS, Reykjavik - Iceland Airwaves Festival