‘L’année 2017 appartient à CUt UP’, comme le déclare le guitariste/chanteur du groupe, Andreas Bjornson et à l’écoute de leur formidable dernière machine de sauvagerie, de brutalité qui repousse loin et avec délectation, les frontières du superbement brutal, « Wherever They May Rot », on ne peut qu’acquiescer.
Ce nouvel album est une tuerie, un brulot qu’on se prend en pleine face, qui voit tout l’art et il est grand, de chaque membre de CUT UP, exploser en une déflagration bluffante d’intensité violente sans répit aucun de A à Z, une déflagration tranchante comme des lames de rasoir aiguisée avec délectation par CUT UP.
Le Death qui ravage tout sur son passage, gronde et éructe, à pleine vitesse sonique ou plus en force, est ici au summum de son expression riche à souhait via des suédois maitres de leur sujet et qui savent tirer le meilleur que ce soit de la marque de fabrique du groupe, à savoir les vocaux doubles et incisifs de Andreas Bjornson et Erik Rundqvist (également à la basse ravageuse ), que ce soit aussi des guitares percutantes de Anders Bertilsson - Andreas Bjornson et de la batterie tout autant redoutable, de Tobias Gustafsson. La bande a pris du temps en 2016 pour peaufiner le successeur de leur très salué premier opus « Forensic Nightmares », et délivrer avec « Wherever They May Rot », le meilleur de leur Death à la puissance brutale, violente maximale et avec un savoir faire de premier ordre, s’il vous plait ! Ce qui donne un résultat bluffant, sans écueil bourrin mais avec toute l’agressivité intense et bien sentie, voulue.
« Wherever They May rot » vous prend, vous secoue sans vergogne du premier au dernier titre, tel un tsunami Death semeur d’agression et on redemande! Le fait que l’album sonne comme jamais, rend toute la sauvagerie des compositions et de l’interprétation, d’autant plus imparable.
« Wherever They May rot » est un must, un indispensable d’album tout simplement délivré par un indispensable de groupe ! Alors, oui, ‘2017 appartient bien à CUT UP’ et ils le prouvent !
Tasunka
“Wherever They May Rot” Track-Listing:
01. From Ear To Ear 02. Necrophagic Madness 03. Behead The Dead 04. Wherever They May Rot 05. Vermin Funeral 06. By Hatred Bound 07. Psychosurgery 08. In The Aftermath 09. Master Dissector 10. Cranium Crusher 11. Raped By The Blade
Artwork by Lukasz Jaszak
Again, CUT UP have entered Big Balls Productions Studio in Karlstad/Sweden with engineer Mats Lindstrom
The mixing and last touches have been done by no less than Dan Swano at Unisound
Un hommage aux légendes Heavy, Thrash, à l’esprit Hard Rock seventies intemporel dans l’âme, fait par des vétérans de la scène précitée, telle est l’essence de ce side project nommé BLOOD DIVISIONS. On retrouve sous l’identité des fondateurs, non moins que des pointures passées maitres dans leur art : Chris Jericho (FOZZY, WWE), David Austin (NASTY SAVAGE) et Ed Aborn (INTERSONIC CYBER SYMPHONY), des membres présents ou passés de, au choix, NASTY SAVAGE, OBITUARY, TESTAMENT, DEATH, ICED EARTH, MASSACRE ou SIX FEET UNDER.
Fondé pour le fun avant tout, le plaisir de se faire plaisir et faire plaisir en délivrant la musique qu’ils aiment et doublé d’une belle intention, que les recettes soient perçues à titre caritatif pour Rock And Rescue, inutile, alors, de dire combien BLOOD DIVISIONS avait ses atouts et as, portés à leur maximum dès le départ. Un premier EP éponyme en 2015, s’était vu salué unanimement autant du public que de la critique et à présent ce second EP, « Cardinal One », enfonce le clou et signe, une fois encore, la haute qualité et l’accroche à tous niveaux, de ce que ce projet collectif du 4best of4 de la scène US et particulièrement de Floride, peut offrir.
Au travers de quatre reprises de classiques des pionniers du Thrash, NASTY SAVAGE (« The Morgue », « No Sympathy ») pour deux d’entre eux, de SCORPIONS (« Top Of The Bill ») et UFO (« Hot n Ready »), plus deux morceaux originaux estampillés BLOOD DIVISIONS, « Cardinal One » sait séduire et avec aisance, encore ! On sent tout le savoir-faire, l’expérience et avant tout la passion toujours aussi intacte et contagieuse de la part non seulement des membres fondateurs, mais aussi des nombreux guests stars ( voir liste et crédits ci-dessous), qui se sont tout autant éclatées et investies que le trio fondateur. Rien à dire, les versions fidèles à l’esprit des classiques et portant tout à la fois, la touche moderne et l’énergie de BLOOD DIVISIONS, donnent un cocktail qui fonctionne efficacement bien et que dire de deux compositions originales, qui mixent esprit seventies, Thrash et Heavy, les forts bons "March of the Machine Elves », « Return to the Garden of Temptation », si ce n’est qu’elles se distinguent et donnent au final, une sacrée envie d’en entendre plus, à l’avenir.
« Cardinal Blood » est certes un EP de seulement six titres, pourrait-on dire, oui mais c’est un concentré du meilleur: très réussi, donc !
Tasunka
BLOOD DIVISIONS - "Cardinal One" EP track-listing + credits :
- 01. The Morgue (NASTY SAVAGE cover) Written by David Austin Vocals: Chris Jericho Rhythm Guitars: David Austin Lead Guitar: David Austin Lead Guitar: Ben Meyer Lead Guitar: John Mahoney Lead Guitar: Ralph Santolla Lead Guitar: Bill Owen Bass Guitar: Terry Butler Drums: Greg Gall Intro and Orchestration: Ed Aborn
- 02. Hot 'n' Ready (UFO cover) Written by UFO Vocals: Chris Jericho Rhythm Guitars: Ralph Santolla Lead Guitar: Ralph Santolla Lead Guitar: David Austin Lead Guitar: Todd Grubbs Lead Guitar: Johnny Chromatic Lead Guitar: Bill Hudson Bass Guitar: Terry Butler Drums: Ed Aborn
- 03. March of the Machine Elves Written by David Austin Interlude Written by Ed Aborn and Jennifer Mills Rhythm Guitars: David Austin Lead Guitar: Ken Andrews Lead Guitar: David Austin Lead Guitar: Todd Grubbs Lead Guitar: Andy Wallace Lead Guitar: Trevor Peres Bass Guitar: John Fronza Drums: Greg Gall Additional Instrumentation: Ed Aborn
- 04. Top of the Bill (SCORPIONS cover) Written by Scorpions Vocals: Chris Jericho Rhythm Guitars: David Austin Lead Guitar: David Austin Bass Guitar: Ed Aborn Drums: Ed Aborn
- 05. Return to the Garden of Temptation Written by David Austin Orchestration by Ed Aborn and Jennifer Mills Bass Guitar: Fred Dregischan
- 06. No Sympathy (NASTY SAVAGE cover) Written by David Austin, Ron Galletti Vocals: Chris Jericho Vocals: Ron Galletti Rhythm Guitars: David Austin Rhythm Guitars: John Mahoney Lead Guitar: David Austin Lead Guitar: John Mahoney Lead Guitar: Jerry Mortellaro Lead Guitar: Ken Andrews Bass Guitar: Terry Butler Drums: Greg Gall
***********
-Executive Producer: Chris Jericho -Co-Producers: Ed Aborn and David Austin -Recorded at Intersonic and other, private studios -Engineered and Mixed at Intersonic by Ed Aborn
Chris Jericho (Fozzy, WWE) David Austin (Nasty Savage) Ed Aborn (Intersonic Cyber Symphony)
Terry Butler (Obituary) Ken Andrews (Obituary) Ralph Santolla (ex-Deicide, ex-Obituary) Jerry Mortellaro (Diabolic) Todd C. Grubbs (Todd Grubbs Group) John Mahoney John D Fronza (ex-Voyage of Slaves) Bill Owen (ex-Purgatory) Andy Wallace
Déjà sur leur accrocheur ‘debut album’ « Darkness Will Rise » (chez BMG, le 17 mars 2017),THE RAVEN AGE fleuraient bon la passion et la détermination, mais ce jeudi 16 mars 2017, en interview et juste avant leur dernier concert de la tournée en support de ANTHRAX, la chose se révélait encore plus vraie.
A l’image de son cool et talentueux chanteur, Michael Burrough, THE RAVEN AGE savent faire ressentir ce feu sacré qui les anime.
Un grand merci à Michael Burrough pour cette interview et pour à la fois lui et George Harris (G), pour une session photos aussi cool que l’entrevue même.
(Interview, photos : Tasunka)
Ce soir, c’est la dernière date de votre tournée en support d’ANTHRAX, comment ça a été ?
Super bien, le groupe et toute son équipe nous ont très bien accueillis et supportés. Pareil pour le public au long des dates, on a eu un très bon accueil, même si bon nombre d’entre eux, majoritairement venus pour ANTHRAX ne nous connaissaient pas et que nos deux groupes jouent un style différent, mais non, aucun problème au contraire, l’accueil a été génial. Ce soir c’est la dernière date de la tournée et c’est toujours un sentiment mêlé avec à la fois du plaisir de savoir qu’on va revoir ses proches et aussi de ce sentiment drôle que tu as malgré tout que la tournée et son rythme de vie auquel tu t’étais habitué, s’arrête net, d’un coup.
THE RAVEN AGE a tourné alors que votre debut album «Darkness Will Rise » n’était pas encore sorti, il sortira le lendemain de cette dernière date, c'est-à-dire le 17 mars : ce n’était pas bizarre de jouer chaque soir alors que le public n’ayant pas l’album, n’était donc pas familier des morceaux ?
Cela a été mais il faut dire que «Darkness Will Rise » devait sortir avant cette date, avant le 17 mars 2017. Il était déjà prêt fin 2016. C’est certain qu’il est plus logique de livrer un disque en premier et enchainer avec une tournée pour le promouvoir. On avait d’ailleurs eu un live qui servait de ‘teaser’, d’avant goût à l’album à sortir. Auparavant, on a bénéficié d’une exposition incroyable lorsque nous avions tourné avec IRON MAIDEN, au point d’avoir eu plus de 100 000 écoutes sur le net, sur Spotify, notamment, grâce à ça. A peine étions-nous sortis de jouer avec IRON MAIDEN, qu’on a appris que BMG étaient intéressés par THE RAVEN AGE. En fait, on avait déjà auto-réalisé « Darkness Will Rise » nous-mêmes, avant de signer avec BMG.
Ce qui veut dire que votre premier album était déjà prêt avant même de signer?
Quasiment, oui et nous étions prêts depuis un moment. On avait du temps pour soigner l’artwork en plus, du coup comme cela été décalé. Notre grande chance malgré ce retard a été que nos fans ont pré-commandé le disque en nombre dès qu’ils ont su, ce qui fait que pour la plupart, les morceaux étaient connus lors de la tournée. Mais tout cela valait le coup, y compris ce délai, vu que, comme nous voulions que notre ‘debut album’ soit le plus fort possible, alors, avoir BMG derrière nous, c’est plus qu’appréciable et valait bien un délai.
Qui a contacté qui en premier ?
On a très honnêtement bénéficié de l’exposition qui a découlée de la tournée avec IRON MAIDEN et BMG ont entendu parler de nous, du coup. Ce qui est au top avec eux, c’est qu’ils nous laissent toute liberté, qu’ils sont contents de la façon dont nous gérons le groupe, alors. ils n’interfèrent pas. Ils nous soutiennent logistiquement. Par exemple, l’artwork était déjà prêt avant et quand nous l’avions à d’autres labels, on avait eu comme commentaire qu’ils le trouvaient trop sombre, que ça ne collait pas avec la musique, mais avec BMG rien de tout ça : ils ont respecté notre choix et conservé intact ce que nous leur amenions. On s’était toujours tenu au conseil que George (Harris) nous a donnés quand nous avons commencé le groupe : de rester sur tes positions, tes choix. Quand le gars de BMG à Berlin, très enthousiaste, nous a contactés, on était très contents : tout se passe au mieux avec eux et ils respectent le groupe.
THE RAVEN AGE a signé pour combien d’albums avec BMG ?
(En souriant) je ne sais pas si j’ai le droit d’en parler. Disons que vu qu’ils aiment ce que nous faisons, on verra de quoi le futur va être fait, mais je pense qu’il ne devrait pas y avoir qu’un seul album avec eux. (et d’ajouter avec humour) Qui sait dans le futur, à une nouvelle interview, on pourra, en regardant en arrière, se remémorer le nombre de sorties de THE RAVEN AGE qu’il y aura eues depuis, chez eux, et se dire : quand on songe qu’en 2017, c’était seulement le premier.
On vous le souhaite :)
Vous aviez déjà joué à Paris, une première fois le 14 juillet 2014 en support de BRITISH LION, le side project de Steve Harris ( IRON MAIDEN) et ce soir à l’Elysée Montmartre, le 16 mars 2017 : c’est la seconde fois, à Paris, cette première partie d’ANTHRAX ?
Aussi en novembre-début décembre 2015, je crois, mais en tout cas, mon souvenir préféré a été la salle du Divan Du Monde (Paris – 14 juillet 2014). On a tous hâte de jouer à nouveau à Paris, ce soir !
Il s’en est passé tant de choses entre votre premier EP autoproduit et ce ‘debut album’ signé chez BMG, sans compter que vous avez aussi tourné partout dans le monde ? Tu peux retracer briévementle parcours de THE RAVEN AGE et comment tu as rejoint le groupe ?
Oh oui, et c’est incroyable tout ce qui a pu nous arriver. THE RAVEN AGE a été crée par George et Dan (Wright) en 2009 et pour ma part, j’ai rejoint le groupe quand George m’a contacté via internet (NDT : en 2013). En fait, je n’avais aucune idée de qui il ou le groupe était et je n’ai pas vraiment, du coup, donné suite quand il m’a contacté, mais il l’a fait plusieurs fois, me laissant des messages pendant trois mois ; c’est mon ex petite amie qui m’a, à l’époque, poussé à donner suite, ce dont je suis plus que content : avant, je chantais dans un groupe de reprises mais j’en avais marre de ne faire que cela, ça trouve très vite ses limites, j’étais même sur le point de laisser tomber quand George m’a contacté. Maintenant, je suis avec des mecs géniaux, je chante dans TRA qui est génial et on a tourné partout autour du monde et joué avec des groupes géniaux dont GOJIRA, MASTODON OU MAIDEN…ça a été et cela reste un vrai rêve éveillé !
Mais pour être juste, c’est aussi et avant tout, le résultat d’une somme de dur travail, d’une complète implication dans le groupe, de la part de nous tous. Bien sûr, des gens vont rétorquer que le fait que George soit le fils de Steve Harris le bassiste d’IRON MAIDEN a aidé, mais je leur répondrai que cela n’a rien à voir, que c’est notre travail qui a rendu cela possible.
C’est pourquoi je n’allais pas poser de question sur cette filiation, vu qu’il semble clair que c’est cela n’a rien à voir avec la qualité de THE RAVEN AGE, le groupe existant par lui-même, c’est clair.
Tu sais quoi ? J’en suis content que tu n’allais pas demander, parce que cette question ressort tout le temps. Certes, cela a facilité des contacts mais aussi amener un poids : on a, du coup, à prouver que nous faisons ce que nous faisons parce que c’est simplement ce que nous aimons. Heureusement, lors de la tournée avec IRON MAIDEN, les gens ne savaient pas à quoi s’attendre avec THE RAVEN AGE, aussi ça a été très sympa de voir autant de bons commentaires, après les shows, disant que nous étions le meilleur groupe de première partie et ce, depuis un moment. Avec ANTHRAX, même si nos musiques sont différentes, les réactions sont bonnes elles-aussi et c’est bien de jouer avec des groupes similaires au sien ou comme là, différents. Les gens sont, en général, ouverts d’esprit pour accueillir une formation d’un style différent de la tête d’affiche, heureusement. C’est cool de voir des gens portant le T-Shirt d’ANTHRAX venir nous trouver et dire qu’ils ont aimé ce que nous faisons. Pour moi, quand la musique est bonne, c’est tout ce qui compte, et ce, quel que soit le style pratiqué. C’est le top quand tu vois le public reprendre et chanter les morceaux en chœur. En tant que frontman, j’aime désigner du doigt telle ou telle personne dans la foule qui le fait et créer ainsi un lien entre le groupe et le public et ça, où que l’on soit et quelque soit la taille de la foule, 5 6 000 personnes ou comme avec IRON MAIDEN, 50 000, ça ne change rien : quand je vois quelqu’un qui me regarde dans la foule, je le pointe du doigt et m’assure qu’il sait que ce geste est pour lui, ce qui est plus qu’apprécié et fait plaisir de part et d’autre.
Ce soir est le dernier gig de la tournée : il y a un échauffement spécial pour ta voix ?
(En riant) Non et en général, je ne pratique pas d’exercice particulier ou reste silencieux avant le show comme il est fréquemment recommandé : au contraire, souvent, je discute, ris avec le groupe. Et ce soir, comme c’est le final, je ne vais pas faire attention à ma voix sur scène ; au contraire, je sais que c’est la dernière, alors, je vais y aller encore plus à fond et tout donner sans m’inquiéter de si je pourrai encore chanter dans les jours qui suivent, étant donné qu'il n’y a pas de gig le lendemain. Tout le groupe va se donner encore plus à fond.
On attend ça avec impatience :) Pour revenir au style de THE RAVEN AGE, si je dis Melodic Metal, tu approuves ?
Entièrement, c’est bien ces deux termes-là. On a été qualifiés de Metalcore, mais de toute façon, dès que tu mets une étiquette, c’est trop réducteur et étroit d’esprit. C’est vrai qu’il y avait des touches de vocaux en ‘scream’ sur le EP, mais c’est tout et personnellement, les vocaux de ce style ne me gênent pas à condition que ce soit un peu, mais tout un morceau en ‘scream’, je pense que ça ne fonctionne pas, en tout cas pas pour moi. On en a discuté au sein du groupe et décidé que ce serait mieux de conserver le chant en mode mélodique. D’ailleurs BMG qui nous soutiennent, sont heureux de la direction dans laquelle nous poussons THE RAVEN AGE.
Un bon choix assurément. En parlant de bon choix, celui du titre « Salem’s Fate » pour le single, en est un: qu’en dis-tu ?
C’est un titre dynamique, Heavy et c’est, en plus, un morceau qu’on adore jouer en concert, alors ? je ne te dis pas, ce soir à Paris, ça va être un régal. On a fait une vidéo de ce titre et même s’il n’y a pas un paquet d’argent qui a pu être investi de notre poche, on y a néanmoins tout mis dedans et gardé l’ensemble. On a fait ce qu’on a pu et ça a marché. C’est évident que si, dans le futur, BMG qui nous laisse libre sur aussi tout l’artistique, veulent s’impliquer aussi dans ce domaine avec nous, ce sera sympa, c’est sûr (rires).
Nickelback viennent tout juste de signer chez eux et pour nous qui sommes un groupe qui débute, c’est une telle fierté d’être chez BMG aux côtés d’une telle formation, c’est incroyable !
THE RAVEN AGE a été fondé par deux guitaristes : comment se passe la composition des titres, du coup ?
Comme c’était George et Dan qui ont formé le groupe et vu qu’ils ont passé du temps au début à composer tout à eux deux et seulement ensuite, fini de boucler le line-up, il est clair que l’écriture se fait via eux deux. George s’est aussi occupé des paroles, entre autres nombreuses choses qu’il assure. Mon apport personnel sur « Darkness Will Rise » provient de mes vocaux, c’est tout. Ce qui ne veut pas du tout dire que le duo est fermé à toute suggestion, c’est juste que l’album était déjà écrit. Par contre, pour un second disque, si je leur parle de suggestions au niveau de ma voix, je sais qu’ils seront ouverts à ce que je dirai. Ce n’est pas du tout comme si c’était le groupe de George et que par conséquent, il n’écoute pas, non, ce n’est pas le cas, il est très ouvert. Il faut dire que les deux ont fait et font du bon travail et que je suis content de chanter ce qui a été écrit, alors, ça me va. Ah si, là où je me plains auprès de George, c’est vocalement parlant, du fait quand le chant doit être si haut, surtout que sur tout un set, ça finit par faire atteindre les limites de ta voix, de chanter en haut. Je peux le faire, mais bon. Je suis atypique, je ne reste pas silencieux pour présever ma voix, au contraire, je ris, discute tout le temps, plaisante avant le show. En fait, j’ai appris avec l’expérience : en effet, au début, je reposais ma voix et je me suis aperçu que le concert n’était pas aussi bon alors, depuis, je fais le contraire et pousse ma voix avant le gig, et ça marche, le concert est bien meilleur. C’est étrange, mais ça marche. La seule chose que je fais toujours est de boire une boisson chaude avec du miel, avant, je ne sais pas si c’est juste un effet placebo mais ça a l’air de fonctionner. Pas d’alcool, avant, donc, mais après la dernière date de tournée ce soir, un Whisky pour fêter ça, ce ne sera pas assez (rires de délectation)
C’est George qui s’est chargé de l’enregistrement de « Darkness Will Rise » ?
Il a enregistré chez lui, avec le même logiciel et procédé que pour le EP (2014), puis, envoyé le tout à cette pointure qu’est Matt Hide (SLIPKNOT, Trivium, Bullet For My Valentine, Funeral For a Friend). On l’aime beaucoup, il a fait un très beau travail de production. L’album sonne et cela s’entend notamment sur "Behind The Mask" et particulièrement sur une partie du titre, qui est emblématique et démontre tout ce que THE RAVEN AGE peut offrir.
Côté artwork, vous avez aussi mis dans le mille.
Merci ! George l'a contacté: je ne sais comment, mais il le connaissais déjà. C’est un artiste graphique et aussi côté tatouages, qui est aussi en contact avec MAIDEN. Il est arrivé avec ce qu’on lui avait dit de l’album et ce qu’il nous a montré, nous a plu et est donc devenu la pochette que tu vois.
En parlant art et tatouage, il semble que bien des membres de la bande soient tatoués et principalement, George. Toi aussi ? Et est-ce que certains des tatouages des autres membres du groupe ont un lien avec THE RAVEN AGE ?
En riant : moi, je suis encore une page blanche, sans aucun tatouage. Par contre, George notamment, en a de très beaux, mais je ne pense pas qu’il y avait un lien avec le TRA, quand il les a faits. Pour un groupe c’est une fierté quand tu vois tes fans se faire tatouer quelque chose en rapport avec toi, mais même su je comprends et respecte, ce n’est pas pour moi-même. Parce que je pense que, si un jour le groupe que tu as tatoué sur la peau, tourne mal, se retrouve mêlé à un sale affaire, tu vas te sentir embarrassé d’avoir un tel tatouage.
Parlons du futur : des nouveaux morceaux ont-ils déjà été écrits ?
Oui, pas mal, d’ailleurs, l’ont été à l’issue de la dernière tournée. En fait, tant, qu’on a été tentés de sortir non pas un simple debut album mais un double. Mais cela aurait été trop dingue et risqué, d’où une sélection pour « Darkness Will Rise ». Même si on est déjà très heureux du résultat, il y a définitivement bien plus à venir. Cela aurait été bien un second album en fin 2017, mais d’un point de vue logistique, cela serait compliqué de sortir deux disques la même année. Pour être franc, on pourrait quasiment sortir un nouvel album, dès la semaine prochaine, tant on a de matériel, mais on préfère se concentrer et tirer le meilleur de ce premier album « Darkness Will Rise ». Quand j’ai rejoint THE RAVEN AGE, la structure était déjà en place, mais à présent que George et moi, on est devenus amis et se connait tellement bien, il sait ce que je peux faire et dans quoi je me sens le plus à l’aise, cela fait penser qu’il y aura une progression et que les choses iront encore mieux à l’avenir, faisant encore progresser THE RAVEN AGE. Ce qui vaut le coup d’être sensé.
On n’a pas l’intention de devenir IRON MAIDEN deux, mais de faire ce que nous aimons, avec notre identité.
Nous souhaitons devenir de plus en plus appréciés et gagner en renommée.
Pour conclure et puisque le meilleur est encore à venir pour THE RAVEN AGE, j’aimerais te citer cet avis, partagé par tous, de Thomas Jensen, le co-fondateur du fameux festival allemand le Wacken Open Air , qui déclare à votre propos : ‘THE RAVEN AGE sont destinés à de grandes choses’.
C’est un grand compliment ! On souhaite que ce ne soit que le commencement pour THE RAVEN AGE.
C'est tout le mal qu'on leur souhaite, THE RAVEN AGE en ont assurément sous le pied et le prouvent !! ;)
Reconnus comme une valeur sûre du Thrash et particulièrement du Thrash mélodique moderne, DEFICIENCY n’ont cessé de prouver l’étendue de leur talent depuis leur fondation en 2008 et deux albums qui ont su capter l’attention, aussi, cette troisième offrande, « The Dawn Of Consciousness », était-elle attendue pour enfoncer le clou et finir, mais en était-il besoin ?, de confirmer les hautes qualités du groupe.
Effectivement, les nouvelles compositions répondent amplement aux attentes et même plus, puisqu’on est, ici, en présence d’un audacieux concept-album aussi solide que convaincant de par sa maitrise et son inspiration riche autant musicalement que techniquement, ainsi que pour ce qui est des paroles, le tout étant au service total de l’univers créé. Grace à l’habileté, la passion qui animent DEFICIENCY, on vit le propos de cette ‘aube de la conscience’ et la sensation de cet après chaos qui voit l’humanité renaitre et sa façon de saisir cette seconde chance via ce que chaque être sur terre partage, à savoir les six émotions de base que sont la surprise, la tristesse, la joie, la colère, la peur, le dégoût.
Le Thrash mélodique de DEFICIENCY se traduit, cette fois, en une plongée plus profonde dans un mixe réussi où se répondent, se complètent, se défient l’agressivité, les mélodies, l’accroche des chorus, des voix claires et rageuses, pour un effet qui vous prend et ne vous quitte pas. Entre la pochette bien sentie de Ludovic Cordelières – Rusalka Design, la production massive de David Potvin – Dome Studioet de solides compositions bien structurées, la base est posée pour faire de « The Dawn Of Consciousness » un brulot efficace. L’arrivée de l’ancien membre de HEAVENLY, LA HORDE et SEYMINHOL, Thomas Das Neves, derrière les futs en remplacement du départ du fidèle depuis les débuts, Anthony, marche à merveille, le musicien assurant sans conteste comme il l’avait déjà démontré en dépannant DEFICIENCY lors du Motocultor (2016) et pour poursuivre dans le registre ‘ nouveautés qui vont bien’, la signature avec Apathia Records en décembre dernier, est à saluer, tout autant que peuvent être salués les guests sur « T.D.O.C. » : Alain Clément de NO RETURN pour son solo de guitare sur « The Upriser », le chant alto de Noëlle Gisonna sur « The Post Knowledge Day », les choeurs de Cyril Péglion et Guillaume Rossard (ARCANIA) sur « Hopeless fear ».
En somme, « The Dawn Of Consciousness » est un troisième opus qui vaut le détour, via chacun de ses titres et surtout de ses trois derniers morceaux, dont les instrumentaux « And Now Where Else To Go », « Post Knowledge Day » qui se distinguent avec leurs plus de sept minutes de pure inspiration.
DEFICIENCY : ils sont taillés pour durer et longtemps encore :)
Trois ans après la sortie de l’acclamé «All you Can Eat », un après le live acoustique «Live From Lexxi’s Mom’s Garage », les STEEL PANTHERreviennent avec un album studio, « Lower The Bar » et font à nouveau montre de leur talent de musiciens confirmés au service de l’héritage de l’âge d’or du Glam Hard Rock / Heavy, sous un prisme fun et bardé d’humour.
Tout ‘hair spray’, spandex et bien sûr maquillage dehors pour le look qui tue, ou fait sourire comme leur humour délibérément outrageusement graveleux, les ‘Panthers’ assurent une fois encore, que ce soit pour les voix et guitare, basse et batterie, bien carrés, dynamiques, encore plus incisifs côté riffs ou légers et qui tous invitent à faire la fête. Si les vocaux se voient parfois haut perchés, les membres du groupe le sont tout autant et ce, volontairement, mais comme toujours avec STEEL PANTHER, avec beaucoup de savoir faire musical, car, qu’on ne s’y trompe pas, on a encore et toujours affaire à des musiciens et un chanteur qui assurent et savent donner le meilleur de leur art et instruments.
Au long de « Lower The Bar », la ballade se fait avec délectation sur un cycle qui va du Hard Rock, pointe de Rock au Heavy et retour, via des titres bien sentis entre notamment « Poontang Boomerang » aussi entrainant que le morceau est amusant, via aussi du mid-tempo avec « Now The Fun Starts », du Heavy goutu sur « Pussy Ain’t Free », Hard Rock avec intro à l’harmonica sur « Walk Of Shame », ou la reprise de CHEAP TRICK« She’s Tight », qui voit en guest non moins que Robin Zander dudit groupe précité (si, si :), sans omettre de mentionner le très accrocheur single « Anything Goes », qui se montre délibérément un peu différent de ce que la troupe propose d’habitude et se voit être un bon reflet de ce qu’offre leur dernière livraison studio : en effet, STEEL PANTHER s’amusent à repousser les limites musicales et y parviennent avec brio.
« Lower The Bar » ? A savourer sans modération du premier au quarantième degré ;)
Leur venue au Hellfest 2017 va valoir le détour, assurément.
Tasunka
STEEL PANTHER Line-Up:
-Michael Starr (Ralph Saenz) – V / G (acoustic) -Satchel (Russ Parrish) - G -Lexxi Foxxx (Travis Haley) - B -Stix Zadinia (Darren Leader) – D, Piano
Formé en 2012, THE ROYAL n’a pas cessé, depuis, de se distinguer et de faire parler de lui avec son Metalcore mélodique dynamique et habité, qui traverse les genres en fusionnant le groove, le Metalcore et les mélodies, se les appropriant tous pour en faire sa musique, sa marque de fabrique propre.
Si ces jeunes loups sont forts à la fois de leur appétit indéniable d’y arriver et de leur plaisir et envie de jouer la musique qu’ils aiment, les hollandais ont de même une qualité qui les anime et est une solide base, celle de proposer des compositions solides, bien senties et pensées que des paroles aussi inspirées que la musique, viennent compléter. D’ailleurs, pour leur second album studio, « Seven », la ligne directrice est celle-ci : « Recherchez la vérité et la sagesse dans tout ce que vous faites et cherchez les solutions qui se cachent en toute chose ». Musicalement, le quintette donne vie au propos avec brio, puisque on assiste à une déferlante riche et bien calibrée, variée, de pur Metalcore, toujours appuyé par des mélodies qui capent tout l’attention. Des guitares au chant, de la section rythmique basse-batterie à la production, tout y est fort en efficacité et vitalité, notamment via des titres sur lesquels le groupe se remarque plus, c'est-à-dire ceux où la diversité se fait encore plus sentir : « Counterculture », « Draining Veins », « Creeds And The Vultures », « Feeding Wolves », « Viridian », « Seven », pour exemples.
Long Branch Records a eu du nez en signant THE ROYAL et cette première sortie sous la bannière du label, « Seven », convainc largement du potentiel de la troupe.
Jugez-en par vous-mêmes lors la sortie de « Seven » le 31 mars 2017 et même bien avant, puisque THE ROYAL débutera sa tournée en support de Dreamshade, le 19 mars 2017 à Paris. Le quintette s’étant forgé une belle réputation quant à ses prestations scéniques, le concert promet de valoir le déplacement :)
THE ROYAL, retenez ce nom: ils ont les atouts pour aller loin !
Tasunka
« Seven » Track-List :
01-Thunder 02-Feeding Wolves 03-Wildmind 04-Creeds And The Vultures 05-Counterculture 06-Interlude 07-Seven 08-Life Breaker 09-Thalassa 10-Draining Veins 11-Viridian
w/ DREAMSHADE 19.03. FR - Paris - Batofar 21.03. UK - Manchester - Factory 22.03. UK - Birmingham - The Flapper 23.03. UK - Newcastle - o2 Academy2 24.03. UK - Edinburgh - La Belle Angele 25.03. UK - Derby - The Hairy Dog 26.03. UK - London - Boston Music Room 28.03. DE - Dresden - Club Novitatis 29.03. AT - Vienna - Das Bach 30.03. CZ - Prague - Cross Club
w/ SIENNA SKIES 06.04. IT - Verona - Blocco Music Hall 07.04. IT - Bergamo - Joe Koala 08.04. IT - Misano Adriatico - Wave Club
HEADLINE TOUR 10.04. CH - Bellinzona - PIT 12.04. LU - Luxembourg - Spot 48 13.04. BE - Brussels - Rock Classic 14.04. BE - Liege - Le Garage Creative Music 18.04. ES - Barcelona - Sala Rocksound 19.04. ES - Madrid - Starving 20.04. ES - Maliano/Santander - La Tribu
Quand Will Putney, guitariste, producteur et fondateur de FIT FOR AN AUTOPSY, déclare que « The Great Collapse » est l’album le plus fort de leur catalogue, on en salive d’avance. Le groupe étant, effectivement, habitué à tout broyer sur son passage avec son Deathcore novateur de premier ordre, intelligent et très investi, inspiré, alors, il tardait de mettre le brulot dans le lecteur et d’exploser les enceintes volume au maximum, comme il se doit quand on a un grand cru comme ça à savourer.
Et pour un grand cru, « The Great Collapse » en est un: l’humeur, l’atmosphère sont capiteuses et vénéneuses au point de se prendre comme autant de punchs droit dans les tripes, la densité, l’agitation des émotions exprimées avec une de ces forces de conviction et un investissement qui s’entendent, se ressentent, via toute la troupe, des vocaux redoutables au trio de guitares, sans omettre une basse et une batterie au top pour lâcher les chiens à pleine intensité. On est ici en présence d’un album propulsé par son puissant néo-post Deathcore, qui agit tel une déflagration superbe et fédère haut la main. Les paroles font, quant à elles, partie intégrante de la réussite et sont, comme toujours avec Fit For An Autopsy, des brulots engagés dénonçant pour exemple, le chaos engendré par l’homme via son rapport à l’environnement. Quant au son, il assure en plein pour ce qui est de délivrer à son maximum la furie habilement dosée, l’agitation qui animent les titres et que la bande de ces musicien doués, soudés, assure à magnifier. Des morceaux tels que les excellents « Head Will hang », « Black Mammoth » et ses chœurs, le génial final avec « Spiral », en passant par « When The Bulbs Burn Out », « Hydra », « Too Late », "Iron Moon" (avec en guest vocal, Kevin McCaughey-Ion Dissonance), tous vous rentrent sous la peau.
Magnifiquement intense en agressivité bien menée et en émotions, atmosphères puissantes, ce quatrième opus, « The Great Collapse » est
un must d’album: les porteurs de flambeau que sont FIT FOR AN AUTOPSY, ont fait très fort !
Tasunka
"The Great Collapse” Tracklisting:
01. Hydra 02. Heads Will Hang 03. Black Mammoth 04. Terraform 05. Iron Moon (feat. Kevin McCaughey -Ion Dissonance) 06. When The Bulbs Burn Out 07. Too Late 08. Empty Still 09. Spiral
Merci à FIT FOR AN AUTOPSY pour leur vidéo et single « Black Mammoth », pour leur soutien au combat actuel des nations amérindiennes, notamment des Lakotas dans le Dakota du nord (USA):combat contre le désastre environnemental du au pipeline de pétrole qui est en train d’être installé, qui traverse une réserve indienne, des lieux sacrés Sioux et représente un réel danger de contamination pour l’eau et ainsi, de tout ce qui vit. Oui, ça se passe, maintenant, au 21ième siecle !
FIT FOR AN AUTOPSY's Political "Black Mammoth" Video Tackles North Dakota Pipeline Controversy
Fit For An Autopsy commented on the themes of the song saying:
"We were recording the new record when the shit hit the fan in North Dakota, and I felt compelled to write a song that would address it," says guitarist and producer Will Putney. "This short clip we pieced together gives a little insight into the events that have transpired over the past few months throughout the protests."
"It got bad, then it got better, then it got worse, and now the natives of North Dakota need more help than ever, so we're launching an additional CD/Shirt bundle in conjunction with the single. All the profits from this sale will go directly to the Standing Rock Sioux Tribe – Dakota Access Pipeline Fund. No one in this country should have their rights denied or their homes taken from them."
==> The band are selling a t-shirt with proceeds going to the Standing Rock Sioux Tribe. Order one here
BLACK MAP étire et étend ses ailes musicales plus largement, et couvre avec son second album, « In Droves », une palette toujours plus vaste en allant du Rock épuré et aux accents années 90s, à l’atmosphérique lancinant, envoutant, via des mélodies et accroches aussi ciselées que les riffs peuvent être incisifs, mélodieux et aptes à laisser le feeling s’exprimer en force.
Le groove est indiscutablement au rendez-vous à tous les étages de ce trio californien des plus inspirés, qui sait être non conventionnel, se joue des limites et ose expérimenter de la voix, de la basse sourde et parlante, de la guitare aux atouts précités tout autant que de la batterie. Cette force de beauté Rock et progressive qu’est BLACK MAP, met dans le mille et obtient l’effet voulu, faire voyager, donner envie de relever le défi qu’ils nous lancent, celui de sortir de ce conformisme qui enferme et empêche de s’envoler, d’être soi. « In Droves » est une belle ode portée et sublimée par un Rock inspiré et sans fioritures, ni contraintes, qui laisse ses groove et sensibilité libres de s’exprimer en plein et ce, de multiples façons. Très accrocheur, ce second album du trio de choc, « In Droves », l’est assurément, d’autant que celui-ci bénéficie d’une production à l’image de la pochette : vive et totalement en adéquation ainsi qu’au service du propos.
Belle surprise que ce « In Droves » bardé de feeling et ce, de bout en bout : quasiment chaque titre pouvant être un hit-single potentiel.
'Bien que nous soyons déjà satisfaits à 200 % de l’affiche actuelle, vos réactions ultra-positives nous ont agréablement surpris (et c’est peu de le dire). C’est bien mais vous vous en doutez, nous n’allons pas nous arrêter en si bon chemin. Nous avons encore quelques noms sympathiques à offrir à nos visiteurs.
En tout une douzaine de groupes viendront s’ajouter dans les semaines à venir mais il y en a déjà cinq que nous pouvons vous dévoiler dès aujourd’hui. Parmi ces cinq noms qui viennent compléter l’affiche de l’Alcatraz 2017, il y en a trois que nos visiteurs annuels connaissent particulièrement bien. Saxon et Testament occupaient déjà le haut de l’affiche en 2009 (la meilleure de nos éditions au ‘Brielpoort’). Les festivaliers présents à l’époque se souviennent certainement que Saxon avait débuté son set avec un retard pour le moins considérable, mais ils se souviendront également que l’attente avait été récompensée par un set d’une tel intensité que les voisins du Brielpoort et le bourgmestre de Deinze en parlent encore aujourd’hui.
La légende Saxon fête cette année ses quarante ans d’existence et pour fêter dignement cette longévité hors norme, le groupe embarque pour une tournée mondialetaille XXL qui les verra faire étape sur la scène de l’Alcatraz.
Testament est une autre valeur sure de l’Alcatraz. Le groupe est une véritable légende de la scène thrash américaine mais c’est aussi et surtout un immense plaisir que nous nous faisons à nous-mêmes tant nous adorons leur vision du thrash et tant nous apprécions Gene Hoglan.
Life Of Agony était déjà de l’affiche 2014 de l’Alcatraz, c’était la première rencontre entre Mina Caputo et le public belge. Le moins que l’on puisse écrire c’est que ça a directement ‘matché’ entre Mina et ses fans belges. Life Of Agony n’a jamais oublié ces moments magiques passés sur la scène de l’Alcatraz et un retour à Courtai était une des priorités du groupe. Ce sera chose faite en 2017 avec en prime quelques titres du nouvel album à vous faire découvrir.
Pour Paradise Lost et Obituary (nous y avons mis le temps mais nous y sommes enfin arrivés) se sera un premier passage par la scène de l’Alcatraz. Paradise Lost nous offrira une sorte de ‘best off’ de son immense discographie et Obituary nous proposera des titres issus de son prochain album (et croyez-nous ce nouvel album est une vraie bombe).
Restez connectés...dans un futur assez proche, d’autres noms vous seront également dévoilés :AMON AMARTH, SAXON, TESTAMENT, DORO, ICED EARTH, DEATH ANGEL, LIFE OF AGONY, SACRED REICH, UFO, OBITUARY, PARADISE LOST, RAVEN, RAGE, DIRKSCHNEIDER, HELL, KROKUS, MORBID ANGEL, ENSLAVED, MOONSPELL, ASPHYX, BRANT BJORK, KING HISS, MONKEY 3, DR. LIVING DEAD, EVIL INVADERS, CARNATION.
Dans peu de temps nous vous dévoilerons les 9 noms manquants.
-----------------------
Alcatraz Hard Rock & Metal Festival tickets:
En plus de vos commentaires enthousiastes sur l’affiche 2017, nous avons enregistré de multiples demandes d’information concernant les tickets d’un jour. N’ayez crainte, toutes les informations relatives à ses ticket d’un jour vous seront communiquées dès que possible, c’est-à-dire dès que la répartition des groupes sera établie. Nous voulons vous garantir un prix d’entrée par jour le plus équitable possible et vous comprendrez bien sûr que dans cette optique, le calcul ne peut se faire qu’après une répartition définitive de l’affiche sur toute la durée du festival. D’avance nous vous remercions de votre compréhension et de votre patience.
Attention. La soirée du vendredi n’est gratuite que pour les visiteurs munis d’un combi ticket. Pour les personnes intéressées par la soirée du vendredi, un ticket ‘spécial vendredi’ sera prochainement mis en vente.
Dès que le cinquième nom de cette affiche du vendredi sera annoncé, il vous sera possible de vous procurer ce ticket ‘spécial vendredi’.
Après quatre ans en sommeil, EVOCATIONrevient avec du nouveau autant pour ce qui est du line-up, ainsi que de leur dernier et attendu, album : « The Shadow Archetype »:
Une machine de guerre de Death Metal technique et naturel, puissant et avec un aspect mélodique à la fois, aux paroles matures qui traitent, et le titre l’indique, du concept de contrôle et de la théorie, dérivée de celle du psychologue Jung à propos des archétypes, où nous serions tous habités du bien et du mal que nous passent nos prédécesseurs. Complexe et parlant, tout comme le Metal délivré au long de cet album accrocheur où les ambiances sont d’une sacrée richesse, maitrisées et bardées de ce coup de poing subtilement redoutable qui vous attaque en pleine face et on en redemande de ce Death Metal, qui affirme sa qualité. Tout est en place avec cet EVOCATION mouture 2017, et ce, pour un bel effet, en passant des riffs et soli assassins, au chant tout droit venu des tripes, à la double grosse caisse d’une batterie redoutable que la basse, vient compléter en force. « The Shadow Archetype » vous prend et ne vous lache plus sur la plupart des titres. Les suédois se permettent même un interlude ou intro, c’est selon, de 01 :48, au milieu de l’album avec guitare acoustique seule, pour ensuite mieux reprendre et envoyer à nouveau la sauce Death à plein régime.
EVOCATION sont de retour aux affaires Death, qu’on se le dise et avec un album dynamique, « The Shadow Archetype », qui fait mouche, d’autant que la production, qui a bénéficié d’une attention toute particulière, est la plus puissante et brute que le groupe ait jamais eue !
Tasunka
« The Shadow Archetype » Track-List :
Artwork from Michał "Xaay" Loranc (since 2010: collaboration with EVOCATION)
01-Into Ruins 02-Condemned to the Grave 03-Modus Operandi 04-Children of Stone 05-The Coroner 06-The Shadow Archetype 07-Blind Obedience 08-Survival of the Sickest 09-Sulphur and Blood 10-Imperium Fall 11-Dark Day Sunrise
Le ‘Doute’-‘Tvilja’ en norvégien, est le thème ainsi que le titre, le moteur, autour duquel s’articule cet EP cinq titres, des toujours très inspirés DUNDERBEIST.
Rodés aux disques à la longueur plus standard, les norvégiens, après dix ans d’existence et huit albums, ont décidé de se renouveler et repasser par le case du plus court, pour démarrer leur triptyque de EPs autour du thème du doute, des hauts et bas, des sentiments variés, multiples, destructeurs ou générateurs de force, de détermination, qu’il peut générer. Le premier de la série, « Tvilja », brille en un voyage où la variété des atmosphères et des sensations assure dans l’accroche et l’efficacité, le tout grâce à des compositions fines, authentiques, portées avec panache par un Rock, Metal de qualité qui surfe entre moderne et touches traditionnelles, tempo fort ou intimiste. On se laisse gagner par le feeling de morceaux tels que « Tvilja », le fort bon « Terpentin », « Grå gås (Isvind) », « Kometen Kom », ainsi que « Vakum ». En fait, la variété des ambiances laisse l’esprit vagabonder selon son humeur, ressentir le propos, se l’approprier. D’ailleurs, le choix de rester encore et toujours en norvégien, pour le chant, participe de cette ambiance qui est propre au groupe et fait adhérer. Ici, les vocaux clairs demeurent seuls et l’alchimie passe néanmoins le plus naturellement du monde au long de « Tvilja ».
De même, DUNDERBEIST, au contraire de l’album précédent et très bon, au passage, « Hyklere » (chronique ici), sont revenus à des enregistrement et mixage maison pour « Tvilja » par Fredrik Ryberg et à un mastering via Alan Douches (Mastodon, Atheist, Nile,..), ce qui qui confère à « Tvilja » le son adequat pour le thème abordé; en fait, le roupe renoue avec la même configuration sonore que pour « Songs Of The Buried » (2012), pour exemple.
« Tvilja » ouvre avec vigueur le triptyque de DUNDERBEIST, prouvant une fois encore que les norvégiens savent y faire dans le voyage Rock émotionnel de qualité!
Tasunka
“Tvilja” Tracklist:
01-Kometen Kom 02-Terpentin 03-Vakum 04-Tvilja 05-Grå gås (Isvind)
Album credits:
Music by Dunderbeist Lyrics byTorgrim Torve Production by Dunderbeist Recorded in Grisebingen Studio, Hamar, Norway Engineered & mixed by Fredrik Ryberg Mastering by Alan Douches, West West Side Music, NYC, USA Artwork by Torgrim Torve Sleeve artwork by Magnie Finnsdatter Nielsen Cover photo by Stian Frøysang
Discography:
2008: Second Hand Theft 2009: 8 Crows & Counting 2010: Rovmord (EP) 2011: Dunderbeist 2012: Black Arts & Crooked Tails 2012: Songs Of The Buried 2015: Hyklere 10 March 2017 : « Tvilja »
DUNDERBEIST Line-up :
-Torgrim Torve : V / songwriter -Fredrik Ryberg : G / V -John Birkeland Hansen : D -Kristian Liljan : B -Ronny Flissundet : G / V
DUNDERBEIST WILL BE HEADLINING X GAMES NORWAY ON MARCH 10!
L’idée de base de THE RAVEN AGE lors de la création du groupe en 2009, était de délivrer un Metal qui soit avant tout mélodique et qui apporte tout autant des montagnes russes de sensations, à l’instar de celles qu’un film épiques peut faire vivre : sensations fortes à vous faire headbanger en cadence et des sensations plus mid-tempos, le tout sur un Heavy moderne aux solides bases classiques.
Le pari des deux fondateurs-guitaristes, Dan Wright et George Harris (oui, le fils de Steve Harris – bassiste d’IRON MAIDEN), leur pari, donc, peut se voir comme gagné et rempli de toutes les attentes formulées, puisque les anglais ont non seulement complété la troupe avec trois autres membres aussi investis et passionnés que les fondateurs mêmes, mais aussi achevé un premier album bardé, dans son entier, d’une efficacité et d’un feeling imparables : « Darkness Will Rise ». On y retrouve, effectivement, le vœu formulé, à savoir de faire vivre les moments forts, rapides et propice au 'headbang', mixés avec les moments plus posés et toujours accrocheurs, en une succession sans temps mort entre les deux humeurs, que ce soit des passages ou des morceaux qui se suivent. THE RAVEN AGE a la qualité de savoir assurément créer une musique qui parle d’elle-même, accrocheuse et qui entraine immanquablement dans son univers quel que soit son tempo, échevelé ou intimiste.
Habitués à la scène depuis 2013, ayant arpenté celles du monde aux côtés de Iron Maiden ou Gojira, notamment, THE RAVEN AGE reviennent pour une tournée et en première partie de pas mois que ANTHRAX, alors, ne ratez ni l’album, ni le moment fort de la tournée, pour la France, puisque celle-ci se termine à Paris, le 16 mars 2017 (voir détail ci-dessous).
THE RAVEN AGE a le panache, la qualité et le dynamisme, la mélodie et les vocaux puissants chevillés au corps : hautement recommandé, donc ! :)
Tasunka
"Darkness Will Rise" Tracklist :
01.Darkness Will Rise 02.Promised Land 03.Age Of The Raven 04.The Death March 05.Salem’s Fate 06.The Merciful One 07.Eye Among The Blind 08.Winds Of Change 09.Trapped Within The Shadows 10.My Revenge 11.The Dying Embers Of Life 12.Angel In Disgrace 13. Behind The Mask
***********
Discography:
“The Raven Age” - EP 2014 “Darkness Will Rise” Debut Album – 17 March 2017
Quand BETWEEN THE BURIED AND ME rencontre HAKEN, un rêve se réalise pour beaucoup de fans des deux formations, et ce rêve devenu réalité, se nomme : NOVA COLLECTIVE.
Initié dès l’automne 2014, par le bassiste Dan Briggs (BTBAM, Trioscapes) et le guitariste Richard Henshall (Haken), ce combo de musiciens de talent a composé quelques arrangements, puis, s’est très vite adjoint les forces vives et tout autant douées, de non moins que Pete Jones (ex- Haken) aux claviers et Matt Lynch (Trioscapes, Cynic) à la batterie, pour finir de composer l’album. Le résultat est un premier album entièrement instrumental qui a tout pour séduire et laisser assez bluffé, de par sa fusion de Prog aux influences Rock / Jazz / World Music, magnifiquement menée au long des six titres.
Le maitre mot est ‘enthousiasme’ et c’est aussi la clé de « The Further Side », puisque la technique est pleinement au service du groove, du feeling, des multiples atmosphères crées par autant de variations à tous les niveaux, par des instruments joués avec toute la force, la conviction d’un quatuor visiblement des plus à l’unisson qui partager le même plaisir d’exprimer ce qu’ils aiment. L’exercice aurait pu être périlleux, de voyager sans vergogne d’un bout à l’autre de l’arc-en-ciel du Prog, du Jazz, mais pas du tout, au contraire même, tel un funambule doué, sûr de lui, jamais le propos ne déraille, créant encore et toujours plus d’accroche de par un équilibre génial et ses prises de risques assumées et bien menées.
Prog Rock, Fusion, Jazz, World Music, tout est ici superbe de naturel, de fluidité et d’un enthousiasme très contagieux : un coup de cœur pour NOVA COLLECTIVE et leur debut album fait avec amour: « The Further Side ». Un disque qui porte bien son nom et vous emmène loin, plus loin en ouvrant largement l’horizon musical: indispensable !
Chapeau à NOVA COLLECTIVE !
Tasunka
01-Dancing Machines (-09 :47) 02-Cascades (-06 :54) 03-Air (-06 :52) 04-State of Flux (-09 :41) 05-Ripped Apart and Reassembled (-05:42) 06-The Further Side (-09 :00)
Recorded with engineer Jamie King (BTBAM, The Contortionist) Mixed by Rich Mouser (Neal Morse, Transatlantic)
Du Rock avec une touche acoustique émotionnelle, imparable, qui entraine dans un voyage chargé en feeling, en affectif, voilà ce qu'offre le talentueux et reconnu multi-instrumentiste, fasciné de World Music, artiste et animateur radio en Suède (Bandit Rock Radio) en plus d’être un musicien doué s'il en est, Martin Rubashov. L'homme a cette patte naturelle, organique, qui lui est propre, qui fait qu’il ressent la musique et sait la faire ressentir. Un atout précieux comme le démontre son tout dernier single « Black Elk », étendard du savoir-faire de l’artiste autant de par ses paroles inspirées par le récit véridique et autobiographique du medicine-man, Black Elk, ‘Hehaka Sapa’ dans sa langue natale Lakota, qu’un savoir-faire qui se traduit autant musicalement que vocalement, surtout qu’en guest, c’est non moins que Anders Fridén (In Flames) qui complète le duo vocal sur le single.
Martin Rubashov avait chanté sur un titre « Dead Eyes » de l’album « Siren Charms » de IN FLAMES, alors, le renvoi d’ascenseur a été accepté et avec plaisir par Anders Fridén, quand celui-ci lui a proposé de venir faire un featuring sur « Black Elk », d’autant que le chanteur de In flames a de suite aimé le titre. Belle musique authentique, son dynamique, sur des paroles fortes qui, inspirées de l’histoire d’Elan Noir’, dépeignent l’oppression qu’a subie le peuple des indiens d’Amérique et plus généralement, tous les aborigènes autour de la planète, avec un écho particulier pour tous les réfugiés de notre époque. Ou quand il semble ne plus y avoir d’espoir, trouver la force au fond de soi et ne jamais abandonner : tel est le message envoyé par le single "Black Elk", un message positif où il est question de survivre !
Fort de déjà deux albums, Martin Rubashov, allèche pour la suite avec son single « Black Elk », qui promet le meilleur !
Tasunka
A lire le récit autobiographique fascinant raconté par Elan Noir (Black Elk – Hehaka Sapa), le medicine–man de la tribu des plaines, celle des LAKOTAS, récit recueilli par son ami blanc, John G.Neihardt et publié sous le titre :
« Elan Noir Parle »
************
Artist: Martin Rubashov
Featuring Artist: Anders Fridén (In Flames)
Drums by Pelle Åkerlind
Music/Lyrics: Martin Boman Recorded by Daniel Lindblom and Martin Rubashov during the summer of 2016. Mastered by Classe Persson. Artwork: Niklas Brodd Publishing: Despotz Music
Directed, edited and filmed by Magnus Ewald. Second camera unit: Tobias Björkbacka.
Des disques vous tombent dessus comme ça, sans prévenir et vous donnent un vrai coup de cœur, vous rentre sous la peau, vous secoue avec leur univers musical et un son unique comme c'est le cas avec le premier album de PIL & BUE, “Forget The Past, Let’s Worry About The Tuture”.
Et quel album, qui voit le mantra des norvégiens se réaliser, à savoir d’être impulsifs et spontanés en live ou sur album, d’offrir ainsi une musique qui joue avec les palettes Rock, Prog et un pointe Stoner en une expérience aux hors normes où les opposés s’attirent, se complètent pour sublimer des explosions d’ambiances fortes, qui expriment avec classe, naturel et dynamique, les sentiments d’un sujet peu léger traité par les textes: le lourd poids que les femmes autour du monde, ont à subir de part les fardeaux qui pèsent sur leur condition féminine. Beau, touchant, mélancolique et avec des sursauts positifs qui font que l’ensemble plane haut, jamais ne sombre, au contraire, vole, emporte et s’élève toujours plus loin. Bluffant de penser que seulement deux musiciens, Petter Carlsen aux chant et guitare, Aleksander Kostopoulos à la batterie, sont le artisans de cette perle d’album, à eux seuls et pourtant le duo sonne tel un groupe au complet. Les harmonies s’envolent tout autant que les mélodies, qui toutes font songer à non moins que Sólstafir, Sigur Rós et Placebo, c’est dire la qualité dont fait montre PIL & BUE. Ajoutez à cela un son unique, pour un groupe unique qui fait une entrée marquante avec son "Forget The Past, Let's Worry About The Future" qui vaut le détour.
PIL & BUE, retenez ce nom, un grand groupe se présente à vous et se montre digne de son patronyme, puisqu’en norvégien ‘Pil & Bue’ signifie ‘arc et flèche’, alors oui, on peut dire qu'ils ont mis dans le mille avec leurs six titres aussi prenants les uns que les autres : un must !
Tasunka
CREDITS:
-Recorded at Oslo Klang -Produced by Rudi Nikolaisen -Co-produced by Christian Wibe -Mixed and mastered by Stamos Koliousis -Published by Waterfall Music AS/BMG Rights Management(Scandinavia) A-B -Artwork byRemi Juliebø / Deformat -A&R by Erlend Gjerde