Philip SAYCE, débuts parisiens demain, 26 mai 2010 !!
Mercredi 26 mai 2010, à Paris, au Réservoir, Philip SAYCE donnera son premier concert "solo" en France !
Des débuts à ne manquer sous aucun prétexte, car d'ici quelques temps il y a fort à parier que vous pourrez vous "vanter" d'avoir assister à ce concert "club" de ce guitariste / chanteur / compositeur exceptionnel !
Vous en doutez ?
Jetez donc un oeil aux vidéos suivantes :
Bande annonce de la tournée ICI
Philip Sayce live avec Jeff Healey ICI
Philip Sayce live avec Melissa Etheridge ICI
Bon Jovi à la sauce Melissa Etheridge / Philip Sayce ICI
Message musical de Philip Sayce ICI
Né en 1976 au pays de Galles, Philip Sayce a grandi à Toronto, au Canada, où il a découvert la guitare en écoutant Eric Clapton, Ry Cooder et Dire Strait. Outre Jimi Hendrix et Stevie Ray Vaughan, il cite aussi B. B. King, Albert King, Albert Collins, Buddy Guy et Robert Cray comme principales influences.
Pour « Innerevolution », son nouvel album est sorti en France le 22 avril dernier (sur Provogue / Wagram), il s’est entouré de Fred Mandel (Queen, Supertramp, Elton John, Alice Cooper) aux claviers, de Joel Gottschalk à la basse et de Ryan MacMillan (Matchbox 20) à la batterie. C’est d’ailleurs ce trio de choc qui l’accompagne aussi sur scène.
Après avoir accompagné Jeff Healey, Uncle Kracker et Melissa Etheridge, Philip Sayce avait sorti un premier album solo « Peace Machine » en 2005 (voir chronique ici ;). Aujourd’hui, avec « Innerevolution » il prouve qu’il est non seulement l’un des meilleurs guitaristes « blues rock » du circuit, mais aussi un chanteur irréprochable doublé d’un excellent compositeur.
Pour cet album Philip a porté une attention toute particulière aux compositions. C’est ainsi qu’il a collaboré avec Richard Marx, Busbee, Mike Bradford, Dave Cobb et Marti Frederiksen, des noms synonymes de succès sur bien des disques.
La production est l’un des autres atouts majeurs de cette galette. Plus travaillée et peaufinée que sur « Peace Machine », elle offre à chaque chansons les éléments nécessaire pour mettre en relief les talents de ce musicien hors pair.
Bien entendu l’ombre d’Hendrix et des Beatles plane ici et là, au détour d’un riff ou d’un refrain, du coup on serait presque tenté de présenter Philip Sayce comme une sorte de « jeune Lenny Kravitz », d’autant que sur certains titres notre homme sait aussi se la jouer funk… Fort heureusement Philip possède toutes les aptitudes pour mettre en avant sa propre personnalité et s’imposer ainsi comme un artiste qu’il faudra suivre de près dans les mois et les années à venir.
A noter une reprise intéressante d’Automatic Man « My Pearl ».
www.philipsayce.com
http://www.myspace.com/philipsayce